mardi 4 novembre 2014 - par Herve.C

Et pendant ce temps... fonte de l’Arctique et de l’Antarctique

Alors que l’Union Européenne plastronne en célébrant un accord historique sur le climat, qui consiste à baisser les émissions de carbonne d’ici 2030, les scientifiques nous disent qu’il est déjà trop tard pour sauver les glaces de l’Arctique et de l’Antarctique. La preuve en vidéos.

Faut-il vraiment se réjouir de l’accord climat présenté comme « ambitieux » et « historique » par les médias adopté par Bruxelles ? Deux mots pour démontrer qu’il est ridiculement modeste et à côté de la plaque. D’abord, s ‘il prévoit bien une baisse de 40% des rejets de carbone d’ici 2030, il prend comme année de référence 1990.

Pour info, sur la période 1990-2010, ces rejets Carbonne ont baissé de 7% en France. Pour notre pays, on se donne donc 15 ans pour réduire les émissions de carbonne de seulement un tiers.

Ensuite et surtout, cet accord climat énergie ne prévoit absolument aucune sanction pour les contrevenants. Contrairement à l’austérité budgétaire qui lui mérite d’imposer des amendes, l’accord environnemental sera donc facultatif. Et fait donc de la poursuite accélérée de la fonte des glaces, l’option la plus probable. Une fois de plus, l’Europe qui devrait donner l’exemple, alors même que les technologies sont là pour substituer les énergies fossiles, fait trop peu et trop tard. Cela devient une habitude.

Pour se convaincre du décalage ubuesque entre cet accord et la réalité de la situation, voici le panorama de la fonte des glaces, avec 3 vidéos ici que je recommande de visionner :

1/ D’abord, cette vidéo d’une minute mise en ligne par la Nasa qui synthétise l’ampleur de la fonte des glaces en 26 ans. 

2/ Ensuite, ce très bon documentaire américain traduit en Français (17 minutes)

3/ Et enfin la plus importante chute de glace jamais captée par une caméra. Dans le Groenland, un bloc de 7,4 km du glacier Ilulissat s’est disloqué devant les caméras du National Géographique en 75 minutes. La vidéo est en accélérée (3 minutes)

Pour compléter ces images, on peut préciser que du côté Ouest de l’Antarctique, c’est déjà trop tard si l’on en croit deux études publiées en mai dernier, qui ont suivi l’évolution des six plus grands blocs de la mer d’Amundsen et du glacier Thwaites, large de 120 kilomètres. Pour les scientifiques, « non seulement certains glaciers se désintègrent rapidement mais il est également difficile d’imaginer comment ils pourraient se reformer », résume Le Parisien. « C’est un peu comme lorsqu’un cycliste est lancé en haut du pic d’une montagne, une fois qu’il a amorcé la descente il va dévaler la pente jusqu’à ce qu’il atteigne le plat dans la vallée », explique le glaciologue Gaël Durand au Figaro.

Deux causes de cet effondrement irréversible des glaces sont identifiées. D’abord, des courants marins chaud viennent grignoter les blocs de glace par en dessous. Ensuite, l’eau de fonte se met à geler entre les parois, elle augmente donc de volume et fait exploser les glaciers.

Résultat, le périmètre des glaciers s’affine et leur surface se divise en plusieurs blocs, ce qui vulnérabilise encore les glaces. Le délai de fonte totale de cette zone de glacier est compris dans une fourchette de 200 ans à 1 000 ans.

Des échéances qui paraîssent longues à l’échelle d’une vie, mais restent terriblement courtes à l’échelle de la planète. D’autant qu’en matière de prévisions sur le sujet, les scientifiques nous disent régulièrement à quel point les phénomènes de fontes et leurs conséquences sont beaucoup plus rapides que prévues. On a d’ailleurs longtemps cru que l’Antarctique était épargné par cette fonte de glace. Mais pendant que l’on regardait le Groenland fondre à vue d’œil, la fonte du pôle sud était probablement déjà bien entamé. Pour exemple, en 2001, on envisageait par exemple une hausse du niveau des mers de 30 cm d’ici la fin du siècle. Aujourd’hui même les études les moins alarmistes ne tablent pas sur moins de 60 cm.

Théoriquement, si le Groenland fondait intégralement, le niveau des mers monterait de 6 mètres. Si l’Antarctique fondait intégralement, il ferait monter le niveau des mers de 50 à 60 mètres. Une perte de 5% à 10% de ces glaces d’ici quelques décennies engendrera la submersion de nombreuses régions côtières, mais aussi par des effets de chaîne la démultiplication des catastrophes climatiques.

Depuis vingt ans maintenant, les scientifiques, dès qu’ils ont les moyens financiers de travailler sur le phénomène de fonte des glaces, ne cessent de dire à quel point la fonte est plus bien rapide que prévue. De leur côté, les politiques européens préfèrent se féliciter en mettant des pin’s pour sauver la planète, et tout en évitant de prendre le moindre engagement financier pour mettre leurs mots en actes.



26 réactions


  • revenant 4 novembre 2014 17:24

    Vous auriez pu joindre a votre « article » un lien qui permet de voir l’étendu de la fonte des banquises pour que chacun puisse se faire une idée de l’ampleur du phénomène...
    Sur les graphiques l’étendu de la banquise antarctique bat des records depuis des années ?

    Sea ice page

    Les écolos sont devenus des escrologistes, ils sont près à raconter n’importe quoi pour être entendus, pour nous vendre la taxe carbone.

    En ce moment le Bardarbunga emet 35000 tonnes de SO2 quotidiennement, pouvez vous me dire en deux mois d’éruption ce que cela correspond par rapport à nos émissions à nous ?

    Si la caldéra s’effondre en provoquant une éruption phréatique qui pourrai être entendu un peu partout en Europe, pouvez vous me dire quel conséquence cela aura sur le climat ?

    Vous n’en savez rien ?

    Si ce scénario se produit, j’espère que vous et les autres écolos idiots utiles de l’empire avez quelques économies pour vous gardez au chaud, ce n’est ni avec vos éoliennes tueuses d’oiseaux ni avec vos panneaux solaires au rendement ridicule que vous allez surmonter cela...

    Bardarbunga


    • njama njama 4 novembre 2014 17:56

      j’ai le même genre de graphique

      comme on peut le voir sur ce graphique interactif pour la période de 1981- à 2000 la surface de la banquise reste « relativement » assez constante d’une année sur l’autre en fonction des saisons :

      Nouveau (25 Sept 2014) : Un graphique interactif du NSIDC (et NASA) qui donne les évolutions des banquises arctique et antarctique (cliquer sur arctic/antarctic pour choisir), année après année.

      Il suffit de cliquer sur les années indiquées dans la colonne de droite pour superposer le graphique correspondant sur les graphiques des années déjà représentées. Ces graphiques sont lissés et ne montrent pas les fluctuations telles qu’on peut les voir sur d’autres bases de données.

      La zone en grisé représente la zone d’incertitude à + ou - 2 sigma autour de la moyenne des extensions de la période 1981-2000. 

      http://www.pensee-unique.fr/indicateurs.html#inter

      http://nsidc.org/arcticseaicenews/charctic-interactive-sea-ice-graph/


    • raymond 2 5 novembre 2014 08:42

      Juste une pécision on peu être écolo et penser que le réchauffement du à l’homme est une blague.


    • Daniel Roux Daniel Roux 5 novembre 2014 09:35

      Le charbon, le pétrole, le gaz, sont brulés en grande quantité pour fabriquer de l’électricité, pour le transport, le chauffage, l’industrie. Nier que l’homme produit du CO2 en brulant les énergies fossiles est assez vain.

      Il faut faire une distinction entre le SO2 propulsé dans la stratosphère par les volcans dont la conséquence est le blocage des rayons infra rouges en provenance du soleil, et le CO2 dont la conséquence est l’effet de serre.

      Donc, d’un côté les volcans produisent un refroidissement et de l’autre, les hommes produisent un réchauffement.

      Reste à savoir si les 2 phénomènes s’annulent ou si l’un va l’emporter sur l’autre. Hélas, les stratégies partisanes des uns et des autres pour imposer leur idée et elle seule nuit gravement à la recherche scientifique dans l’intérêt de tous.

      Sachez en outre qu’un épanchement de lave peut durer de quelques mois à des centaines de milliers d’années. Les trappes de Sibérie et du Deccan ainsi que l’ouverture de la dorsale atlantique ont chacune conduit à des extinctions massives.


    • revenant 5 novembre 2014 18:52

      Nous ne nions pas que le CO2 est produit par l’homme, les volcans sont capables d’émettre bien plus de CO2 pendant des pics d’activités, remarquer aussi que ces crises se passent quand le soleil est dans des minimums comme actuellement, simple coïncidence ou bien l’affaiblissement de l’héliosphère et de la magnétosphère perturbe les convections dans le noyau terrestre produisant des points chauds plus nombreux et des mouvements « anormaux » des plaques tectoniques.
      Cette éruption en cour est susceptible de modifier le climat d’une manière brutale si le scénario de l’effondrement de la caldéras se produit et il peut aussi influer d’une manière moins rapide si l’éruption fissurale se poursuit pendant des mois, voir des années.
      Les volcans, l’activité solaire et les cycles des océans pilotent le climat, dire que le CO2 influe sur le climat d’une manière aussi forte que l’affirme le GIEC est une hérésie, la vapeur d’eau est le principale gaz à effet de serre à hauteur des trois quarts...
      Vous les « écolos », ne maitriser ni le soleil, ni les volcans, ni les nuages (la vapeur d’eau) et vous voulez modifier le climat en réduisant les émissions de Co2 ?
      Ridicule, 400 parties par millions ne font que 400 particules contre un million, le CO2 est a l’état de trace, et ce dans les basse couches de l’atmosphère, pensez que ces quantités infimes influes sur le climat est un non sens et une déraison de l’esprit...
      Quand le sage indique la lune, l’idiot regarde toujours le doigt, surtout si dans les mérdias on ne parle que de doigt.

      Webcam Bardarbunga, quand elles fonctionnent le spectacle est assez plaisant.

      Gaz à effet de serre.

      ICE AGE NOW un site qui répertorie l’actualité du refroidissement qui vient, tout ce que les merdias ne diffuse pas.


  • lsga lsga 4 novembre 2014 17:32

    Au revoir la Bretagne, au revoir l’Angleterre, au revoir la Vendée, au revoir les grandes villes de méditerranée....


    Si les pôles fondent, des pays entiers vont disparaître. 

    • lsga lsga 5 novembre 2014 20:39

      espèce de sous doué :


      met des glaçons dans ton verre jusqu’au fond du verre, et pose des glaçons au dessus qui sortent de l’eau, et tu verras si le niveau du verre ne va pas monter...

  • njama njama 4 novembre 2014 17:40

    Votre article tombe à pic, le réchauffement climatique, c’est très tendance dans l’actualité, particulièrement ces jours-ci, mais très controversé également entre les réchauffistes et les climatosceptiques smiley
    On nous raconte que les émissions mondiales de gaz à effet de serre (CO2, méthane, protoxyde d’azote) doivent être réduites de 40 à 70% entre 2010 et 2050, et disparaître totalement d’ici 2100, estiment les scientifiques.
    Et que « Cela implique de se détourner massivement des énergies fossiles, d’améliorer fortement l’efficacité énergétique, de limiter la déforestation, etc, et d’investir pour cela des centaines de milliards de dollars d’ici à 2030. »
    http://tempsreel.nouvelobs.com/planete/20141102.OBS3881/climat-les-4-lecons-alarmantes-du-rapport-du-giec.html

    mais en oubliant de nous préciser que le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau qui en représente à lui seul plus de 99 %
    http://www.youtube.com/watch?v=5TlbLGM1RAM#t=160

    donc il y a comme un gros bug dans cette histoire de réchauffement climatique.

    En admettant qu’il en soit ainsi, il ne devrait pas durer selon certains scientifiques. L’explication est simple, pas besoin d’avoir fait Normale Sup pour la comprendre :

    « Je pense que ce moment de transition nous prépare non pas au réchauffement, mais au refroidissement global. La surface des océans est en train de s’élargir et avec elle, la surface des évaporations », explique Natalia Riazanova, directrice du laboratoire de géo-écologie à l’Université des relations internationales de Moscou (MGIMO). « Résultat, la quantité des nuages au-dessus de ces zones augmente également. Ces nuages constituent un barrage entre la Terre et le Soleil. Et la période de refroidissement va commencer après une brève période de réchauffement. »
    Lire la suite : http://french.ruvr.ru/2014_04_19/Quel-remede-contre-le-refroidissement-global-8970/


  • joletaxi 4 novembre 2014 18:32

    c’est un gag ?
    ou bien vous êtes de service pour assurer un fort problématique succès de la conférence de Paris, dernière chance de Hollande de se refaire une image ?

    Votre blabla sur l’antarctique ne tient pas une seconde
    les océans bordant le continent se refroidissent, et la banquise bat tous les records(connus, car comme pour l’arctique, on n’a des relevés que depuis 30 ans), d’étendue de banquiseau point que cela devient problématique pour les manchots, mais aussi pour ravitailler les stations du grand Sud
    Et la péninsule qui attire tous les regards, se trouve sur une faille active de volcans, ce qui expliquerait une singularité locale.
    Pour l’arctique, contrairement aux prophéties des spécialistes de la NAOA,depuis 2 ans, il y a un renversement de tendance, cette année, les t° moyennes en arctique ont toujours été largement sous la moyenne.A noter que depuis 3 ans, l’enneigement(la neige, cette chose du passé blabla..) de l’hémisphère nord s’accroit.
    La hausse du niveau des océans a ralenti, encore une fois, contrairement aux incantations de la clique.
    Et bien entendu,il n’y a pas de hausse des t+ depuis 20 ans, alors que le taux de CO2 grimpe,

    Ces discours de camelots ne prennent plus,et le titanic du GIEC s’enfonce inexorablement,

    et de toute façon, toute votre agitation et vos prédictions à la Philipulus ne servent strictement à rien

    http://notalotofpeopleknowthat.wordpress.com/2014/11/04/china-expected-to-substantially-increase-coal-fired-capacity-by-2020/

    alors , faites du vélo, trier vos ordures et compostez vos toilettes sèches, mais lâchez nous la grappe


    • tf1Groupie 4 novembre 2014 23:30

      « Et bien entendu,il n’y a pas de hausse des t+ depuis 20 ans »

      Mais non JO, depuis 50 ans au moins, lache-toi un peu.

      Le mois d’octobre 2014 est le plus chaud jamais enregistré, mais il n’y a pas de hausse selon toi.

      Tu ne dois pas recevoir la radio là où tu es.


    • dithercarmar dithercarmar 5 novembre 2014 13:17

      Voir Vincent Coutillot web.tv-univnantes.fr
      Vincent Courtillot est professeur de géophysique à l’université Paris-7 et professeur à l’Institut universitaire de France. Il est l’auteur de plus de nombreux articles scientifiques et d’un livre consacré aux relations entre extinctions en masse des espèces biologiques, éruptions volcaniques massives et changements climatiques. Ses recherches portent actuellement sur le champ magnétique de la Terre, présent et passé, sur la tectonique des plaques et la géodynamique. Président de l’Institut de Physique du Globe de Paris de 2004 à 2010, il est également membre de la Royal astronomical society, de l’Academia europea et de l’Académie des sciences (2003). Depuis 2002 il préside le conseil scientifique de la Ville de Paris.
      ET TOUT DEVIENT CLAIR


  • christophe nicolas christophe nicolas 4 novembre 2014 18:49

    Allons, la chaleur ne produit qu’une hausse minime et comme elle augmente la susceptibilité magnétique, elle soutient le champ magnétique qui baisse, c’est excellent. J’avais fait une petite confusion il y a quelques temps. Ca va monter de combien ? 10 cm en 50 ans et encore... c’est du linéaire, si on se met en variationnel c’est peut-être moins mais c’est incalculable.


    La défaillance du champ magnétique produira des élévations entre 20 et 30 mètres avec Tsunami, irruption volcanique, des orages solaire, une augmentation du flux des rayons cosmiques, des variations de pression atmosphérique sans compter les dégâts sur les structures industrielles, tout ça en très peu de temps sur de très vastes zones, certaines recevant des vrais déluges d’eau.

    Pour lutter contre le CO², on fait les supergrids, des super lignes haute tension en maillage et comme des pistes sérieuses montrent que le champ magnétique terrestre est certainement produit en surface, c’est désastreux. En revanche, les majors du BTP et de l’industrie électrique se remplissent les fouilles avec cette histoire.

    Certains scientifiques sont honnêtes, ils disent : la science du climat n’est pas établie, sage attitude. La mise en place de techniques de production d’énergie qui font baisser l’entropie satisfera tout le monde. Cela arrête le réchauffement et les pétroliers ont maintenant intérêt à faire durer leur production donc a développer ces énergies qui sont gratuites hormis le coût d’investissement, comme pour un bien courant. Il y a quelques milliards de foyers à équiper et on sait que la hausse du niveau de vie fait baisser la natalité donc, il faut une politique de développement responsable où chaque pays se démerde mais il faut de l’entraide si nécessaire, notamment pour les savoirs. Il ne faut pas construire un état mondial qui ne serait qu’une tour de Babel. Le temps que ça se fasse, les pétroliers n’ont pas à s’inquiéter sauf s’ils ne prennent pas le virage.

    Pour l’énergie, on a le nucléaire basse énergie, l’hydrolyse basse énergie, des techniques de production électromagnétique et d’amplificateur de courant et également des systèmes basés sur la gravitation, ce n’est pas ce qui manque. C’est propre, gratuit en consommation, autonome, disponible partout, que demande le peuple ?


  • sylvie 4 novembre 2014 19:51

    en dehors de votre article ce qui me fait marrer c’est ce giec qui arrête pas de dire depuis 21 ans que c’est la dernière limite mais alors la dernière hein ! et tout continue, cependant allez voir dans le SO france et vous aurez déja une réponse concréte sur la montée au niveau du Portugal des zones dites tropicales


  • Renaud Delaporte Renaud Delaporte 5 novembre 2014 09:32

    « Rien que dans les 10 000 dernières années, il y a eu cinq pics de températures comparables à celui que nous vivons. Ces optima correspondent à des cycles naturels. Au Moyen Age, il était par exemple possible d’aller en vallée d’Aoste depuis Arolla avec les troupeaux car le glacier n’existait plus. Lors des deux premiers optima, le Sahara était une savane avec des lacs, des arbres et des éléphants. Avant cela, pendant des centaines de milliers d’années, il a fait plus chaud qu’aujourd’hui. Et parfois jusqu’à 7 degrés plus chaud ! Or le GIEC se concentre sur les 150 dernières années. Autant dire qu’il regarde autour de son nombril. Les reconstructions paléoclimatiques montrent aussi que, pendant des centaines de millions d’années, il n’y a pas eu de corrélations entre le CO2 dans l’atmosphère et la température sur terre. »

    C’est de l’arrogance de croire qu’en 150 ans d’industrialisation nous avons changé le climat !


  • cevennevive cevennevive 5 novembre 2014 10:06

    Et le Groenland se couvrira à nouveau de taïga...


    Merci et bonjour aux intervenants dont j’ai apprécié les commentaires (surtout Joletaxi qui, pour une fois, m’a réjouie).

    Pourquoi cette « pensée unique » préside-t-elle toujours et partout dans ce prétendu problème climatique de notre terre dont nous serions responsables ?

    Pourquoi les non écolos (ou les pseudo écolos) sont-ils toujours les premiers à nous alarmer avec des slogans préfabriqués qui ne tiennent pas debout ?

    Désormais, il est de bon ton de dire « c’est bon pour empêcher le réchauffement de la planète » à propos de tout et de son contraire ?

    C’est d’une stupidité sans nom...

    Finalement, nous n’écoutons plus les Cassandres.

    Et c’est un peu dommage, car il est des pratiques néfastes pour l’environnement que l’on pourrait empêcher s’il n’y avait pas ce mensonge enrobé de bonne conscience que l’on veut nous faire entrer dans le crâne.

    Quoi ? Faire un feu de cheminée pour n’avoir pas froid nous rendrait délinquants ? Aller travailler avec son véhicule devrait nous faire honte, à nous qui vivons à 40 ou 50 km du boulot, alors qu’il n’y a ni train ni car ? 

    Bonne journée à tous.


    • revenant 5 novembre 2014 19:13

      C’est de la propagande, et elle est tenace, nous devrions tous être écolo, j’essaye de l’être et c’est dans la pédagogie que nous pouvons influer les gens autours de nous.
      Défendre la biodiversité, les espaces naturelles, lutter contres les vrais pollutions (chimique, OGM, biologiques par des espèces intrusives, et radiologique, etc...)
      Il y a tellement de choses à faire et de causes à défendre...
      Malheureusement les « écolos » ont étés détournés de leurs voies par les lobby de toutes sortes...
      Ce n’est peut être pas par hasard que Mr Jouzel à fait sa « petite » carrière sous les ailes du CEA...
      Depuis le début de sa « carrière » il est persuadé que c’est le CO2 qui est l’ennemie de l’homme, le nucléaire c’est mieux pense t’il lui et ses « copains »...


  • Mowgli 5 novembre 2014 12:13

    Plus il y a de carbonne moins il y a d’oxygenne. C’est mathématique, c’est totomatique c’est orthographique.


  • Electric Electric 5 novembre 2014 12:30

    Dans l’espace, les corps stellaires sont électriquement chargés.

    Et si la pesanteur était une force dipolaire électrique ?

    http://www.alterinfo.net/Rechauffement-global-dans-un-climat-d-ignorance_a7629.html

    Quel rapport avec la semoule ? Les modèles informatiques de modélisation du climat considèrent l’espace environnant, et le soleil négligeables dans la dynamique du climat terrestre.

    L’électricité et le plasma jouent un rôle majeur dans le climat de la terre. Il y a deux électrojets qui ceinturent la terre aux latitudes des jets Stream.

    Le climat et la géophysique au sens large ne peuvent être appréhendes correctement sans prendre en compte l’électromagnétisme, de El Nino aux cyclones en passant par les tremblements de terre.

    Nous avons bénéficié depuis 200 ans d’un climat plus chaud et stable qui a assuré à l’espèce humaine son développement industriel.

    A 400PPM de CO² dans l’atmosphère, on est pas loin de la limite basse (150PPM) en dessous de laquelle les plantes ne poussent plus. A 1000PPM, les rendements agricoles deviendraient énormes, les plantes géantes (réfléchissez bien à ça !!!!!).

    Du haut de son maillage planétaire informationnel et de son réseau de transport mondial, l’homme moderne domine la planète et veut diriger son destin, il a besoin de se rassurer en pensant qu’il peut avec ses petites mains modifier le climat de la terre en jouant sur les proportions de gaz dans l’atmosphère.

    Mais quelle vanité, quelle mythomanie, c’est du délire pur et simple. On est tout près de l’asile psychiatrique.

    Oui, on peut modifier le climat avec des moyens électromagnétiques comme HAARP et ses petits frères les aérosols atmosphériques artificiels, comme depuis 20 mois en Californie :

    http://www.youtube.com/channel/UCp7xAgrKhcVKEztY_gjlLVQ/videos

    Un cas d’école !!!!

    Interview du père opérationnel de la modification climatique commencée au Vietnam à échelle industrielle Ben Livingston :

    http://www.youtube.com/watch?v=MKl9rqw1Ykw

    Implémenter et driver un cyclone est un jeu d’enfant, et fort peu couteux. L’inverse marche aussi. On peut tuer un cyclone très facilement.

    Il est d’ailleurs très étonnant de voir que les soubresauts de la géophysique planétaire battent leur plein depuis 2000, ce qui correspond à la mise en route de HAARP :

    http://www.ice-age-ahead-iaa.ca/Giant_PDF/HAARP%20Abuse%20of%20Ionosphere.pdf

    Nous n’oublierons pas non plus la radioactivité (essais nucléaires, accidents), qui en augmentant la ionisation de l’atmosphère provoque une augmentation des précipitations (à l’image des rayons cosmiques quand l’activité solaire baisse).

    Enfin, nous rappellerons que la lutte contre ce pauvre CO² et sa pauvre concentration atmosphérique permet de masquer les massacres environnementaux bien réels et qui auront la peau du biotope actuel bien avant que je ne voie la mer monter de 5cm.

    Concernant les chiffres de l’auteur, ils sont faux. L’Antarctique dégueule de glace et l’Arctique a repris du poil de la bête depuis 2 ans. 2014 sera l’année la plus froide aux USA depuis 100 ans.

    Concernant la fonte des glaces, rien en nous dit que certaines puissance n’utilisent pas HAARP ou tout moyen connexe pour faire fondre les glaces Arctiques et dégager un accès permanent aux ressources du pôle (future guerre des matières premières dans 10 ans).

    Enfin, et concernant le GIEC, il faut savoir que dans leur modélisation climatique, ils ont fait deux choses abjectes :

    Ils ont décidé que le taux de CO² atmosphérique s’établissait en moyenne à 280PPM au XIXème siècle. Décision axiomatique. Il y avait des mesures à l’époque qui montraient qu’on était plus près de 400PPM comme actuellement. Donc, pas d’augmentation du CO² atmosphérique depuis les premières mesures.

    Le GIEC a décidé que les relevés de température effectués depuis les XIXème siècle n’étaient pas fiables. Ils ont été remplacés par ..............UN MODELE INFORMATIQUE DE RECONSTITUTION DU CLIMAT dont la courbe ne peut que finir dans les nuages quand on appuie sur le bouton CO²+

    https://www.thunderbolts.info/wp/


  • Montdragon Montdragon 5 novembre 2014 12:36

    Question con à l’auteur...Groen-land signifie ?

    Merci, au revoir.


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