vendredi 27 juillet 2012 - par NICOPOL

R�chauffement climatique : enfin le d�gel ?

Comme l’a déclaré solennellement devant le Sénat Américain l’honorable Al Gore, notable investisseur sur le marché juteux du Crédit Carbone, en matière climatique, « the science is settled », et, comme l’a fort opportunément rappelé le non moins honorable ingénieur ferroviaire M. Rajendra Pachauri, également très impliqué dans la gestion de fonds carbones (et accessoirement Président du GIEC), toute tentative de remettre en question la théorie du réchauffement climatique ne serait que « science vaudou ». A part quelques « climato-septiques » forcément à la solde des lobbys pétroliers, qui oserait encore émettre des réserves sérieuses sur cette thèse alarmiste (ou simplement soulever la possibilité d’un léger conflit d’intérêt entre ces éminences de la lutte contre le réchauffement climatique et le petit monde de la finance verte) ? Quand tous ces ténors de la science, tous ces intellectuels engagés, tous ces journaux officiels, toutes ces associations, ces ONG, vous le rappellent jour après jour : la température augmente comme jamais dans l’histoire humaine, les glaciers fondent, la mer va monter, le désert va progresser en même temps que la malaria et les tsunamis… D’ailleurs, un article récent vient encore le confirmer : « Le Groenland fond à une vitesse record » !

Un article alarmiste sur la fonte du Groenland…

Oui, la situation est alarmante : comme le rapporte cet article, « Après le spectaculaire décrochage d'un iceberg, vaste comme Paris, d'un glacier du Groenland il y a quelques jours, la calotte glaciaire de ce pays fait encore l'actualité ce mercredi. Sa fonte semble sans précédent, selon les données de la NASA. ». Et, en effet, on constate sur les photos satellites qu’environ 97% de la surface de la calotte glacière avait dégelé à la mi-juillet… Ce qui fait se demander à un expert de la NASA : « C'est tellement sans précédent que je me suis d'abord interrogé sur le résultat : était-ce bien réel ou était-ce dû à une erreur de données ? » Pour qui s’arrêterait au titre de cet article, à son chapeau ou même aux premiers paragraphes, comment ne pas éprouver un sentiment d’angoisse devant une telle situation ? La calotte glaciaire a presque complètement fondue ! Or, c’est bien connu, le Groenland, c’est ce « canari dans la mine », ce marqueur (« proxy ») privilégié et incontestable des dégâts du réchauffement climatique sur lequel les scientifiques et les médias du monde entier ont les yeux et les objectifs braqués en permanence pour assister, impuissant, à la destruction de notre belle planète ! Ce phénomène sans précédent de dégel est donc, de toute évidence, une preuve absolue d’une accélération elle aussi sans précédente du réchauffement climatique, qui, corrélée à l’augmentation des gaz à effet de serre, ne peut qu’être d’origine humaine ! C’est du sérieux, là : il ne s’agit pas de l’obscure pamphlet d’un militant fanatisé de Greenpeace ou du WWF, on parle quand même de la NASA, ce qui se fait de mieux en matière de science spatiale et climatique, de supercalculateurs et de satellites d’observations ! Le paradigme de la recherche scientifique désintéressée, objective et aux moyens illimités ! Voici de quoi clouer définitivement le bec aux derniers climato-septiques !

… qui remet pourtant explicitement en cause les thèses du GIEC !

Pourtant… Le lecteur attentif qui aura eu la patience de lire attentivement l’article jusqu’au bout aura quelques petites surprises… Déjà, mine de rien, il nous est expliqué que « La surface gelée du Groenland s'est réduite en juillet sur une étendue jamais atteinte en plus de trente ans d'observation satellitaire ». Tiens tiens… Donc, lorsque l’on nous dit que c’est une situation « record » ou « sans précédent », en fait on ne parle que des 30 dernières années ? Ah bon, mais alors que s’est-il passé avant cela ? Si l’on en croit la théorie du GIEC, la température devait être moins élevée et les calottes glaciaires plus épaisses, n’est-il pas ? On aurait alors bien la preuve indubitable que l’action humaine est aujourd’hui en train de dérégler le climat dans des proportions inouïes et catastrophiques !

Et bien… Pas vraiment, dirait-on. Car voilà que l’article cite une glaciologue qui indique qu’un tel phénomène s’est déjà produit en… 1889, une date à laquelle les rejets de CO2 d’origine humaine étaient incomparablement moindres qu’aujourd’hui… Le pic de fonte de 1889 ne peut donc manifestement pas s’expliquer entièrement par l’activité humaine, ce qui indique qu’il avait une cause en partie naturelle. Et avant cela ? Eh bien, nous dit cette glaciologue, il semble que ce phénomène de dégel se soit produit… environ tous les 150 ans en moyenne !

Ca alors ! On nous aurait menti ? Cette fonte ne serait finalement pas du tout « record » ou « sans précédent », mais se serait déjà produite régulièrement dans le passé, et ne serait en fait qu’un banal phénomène cyclique, parfaitement naturel et sans aucun lien avec l’activité humaine ? Mais ceci va frontalement à l’encontre des théories du GIEC selon lesquelles il y a un réchauffement climatique sans précédent et d’origine humaine dont la fonte du Groenland est le marqueur privilégié : car de toute évidence les fontes précédentes du Groenland, celle de 1889 et antérieures, ne peuvent pas être d’origine humaine ; le Groenland peut donc fondre dans des proportions comparables à la fonte actuelle en dehors d’une cause humaine ; il est donc strictement impossible de déduire de la fonte actuelle un lien de cause à effet avec l’activité humaine ; et cette fonte ne peut donc plus être considérée comme un « marqueur » d’un réchauffement climatique d’origine humaine.

Voilà qui est très gênant pour les modèles climatiques du GIEC : en ne faisant intervenir quasiment aucun mécanisme d’origine naturel dans leur modèle, mais seulement un « forçage anthropique » lié aux gaz à effet de serre, ces modèles sont en effet capables de retrouver le niveau actuel anormalement élevé de fonte estivale des glaciers du Groenland ; et tout naturellement, en projection, il suffit de continuer à faire augmenter tendanciellement ces gaz à effet de serre pour voir la température du globe et la fonte des glaciers augmenter également dans des proportions terrifiantes. Mais si vous introduisez dans ces modèles une cause naturelle, cyclique, qui permettrait de retrouver les pics de fonte de 1889 et les précédents, vous allez bien entendu retrouver naturellement le pic actuel, sans avoir besoin de rajouter ce forçage anthropique artificiel ; et ce que les projections vont alors vous donner, ce n’est plus une augmentation tendancielle continue du phénomène de fonte, mais, tout aussi naturellement… une continuation des cycles, décorrélée de l’activité humaine !

Un exemple de manipulation de l’information (et de ses limites)

Cet article constitue un parfait exemple de la façon dont l’information est manipulée pour nous faire « croire » à la thèse d’un réchauffement climatique alarmant d’origine humaine. Le titre et l’introduction sont ainsi clairement alarmistes : le Groenland n’a jamais fondu autant et aussi vite ! Mais ce titre est trompeur, voire résolument mensonger : la seule chose que dit l’étude en question, c’est que le Groenland n’a jamais fondu autant et aussi vite… sur les 30 dernières années ! Et, au contraire, si on remonte davantage dans le temps, on s’aperçoit que de telles situations se sont déjà produites, au moins une fois en 1889 et sans doute de façon cyclique tous les 150 ans !

Le début de l’article essaye ainsi de nous convaincre lourdement du contraire exact de ce que dit en réalité l’étude en question : que le réchauffement climatique s’accélère de façon inédite, alors qu’au contraire l’étude montre que ce qui se passe actuellement s’est déjà produit dans le passé et semble lié à des cycles parfaitement naturels ! Comme désinformation, avouer qu’on ne peut pas faire mieux (ou pire, c’est selon) ! Manipuler les faits pour leur faire dire le contraire de ce qu’ils montrent vraiment, voici une méthode bien rodée des partisans du GIEC pour « démontrer » qu’il existerait bien un réchauffement d’origine humaine ; et lorsque les faits, opiniâtrement, s’acharnent à aller à l’encontre de la théorie en question, il ne reste plus qu’à les effacer purement et simplement, comme l’a montré la célèbre controverse autour de la « courbe en crosse de hockey » de Michael Man, cette manipulation grotesque de données statistiques permettant de faire tout simplement « disparaître » l’optimum climatique médiéval (la fameuse période de colonisation du Groenland par les Vikings, qui ont appelé ce pays… Terre Verte précisément parce qu’il était à cette époque bien loin d’être entièrement recouvert de glaciers ; une période chaude, donc, qui aurait démontré que les températures actuelles, elles aussi, n’étaient pas du tout inédites). Quand on se rappelle que c’est cette courbe grossièrement trafiquée qui, reprise dans les premiers rapports du GIEC et dans le retentissant documentaire d’Al Gore (Une vérité qui dérange), a véritablement lancé la psychose planétaire sur le « réchauffement climatique »…

Pourtant, l’article, par la suite, nous fournit ingénument les informations qui permettent de contredire allégrement cette entrée en matière inquiétante. On ne peut que s’en réjouir : combien de dépêches AFP ou REUTEURS, reprises en boucle par les journaux ou les chaînes d’information en continu, se seraient limitées à reprendre le titre choc sur ce « record » « sans précédent » ? Et combien de journaux se seraient eux-aussi limités il y a encore quelques temps à cette baseline alarmiste en enchaînant tout de suite derrière sur les sombres prédictions du GIEC pour conclure que, une fois encore, l’observation scientifique venaient valider la thèse « réchauffiste » ? Or là, et c’est tout à fait étonnant, il n’est fait aucune référence dans cet article au « réchauffement climatique » ou au GIEC, comme si cette thèse ne faisait plus vraiment l’unanimité, ne constituait plus complètement un paradigme scientifique établi et incontestable… « The science is settle », disait Al Gore… Est-ce vraiment aussi sûr qu’il voulait bien l’affirmer ?

Mais l’atavisme de la pensée unique est décidément plus fort, et le rédacteur de l’article ne peut s’empêcher de terminer sur cet avertissement inquiétant : « Si nous continuons à observer ce type de fonte au cours des prochaines années, ce sera angoissant »… Ouf, cette ultime pirouette de pure spéculation sophiste permet, in extremis, de maintenir le lecteur dans un état d’inquiétude morbide : le dégel actuel ne donne certes strictement aucune preuve d’un réchauffement anthropique catastrophique, mais l’Apocalypse est toujours possible demain !

Ce que nous dit vraiment la science sur l’évolution des glaciers de l’Arctique

Il convient de préciser que ceux qui suivent de près ces débats climatiques n’apprendront rien de vraiment nouveau à la lecture de cet article : de nombreuses études ont déjà mis en évidence le caractère cyclique de l’évolution des glaciers groenlandais, par exemple un article récent publié dans Nature Geoscience par des chercheurs de l’Université d Copenhague et de l’Université de l’Ohio (« An aerial view of 80 years of climate-related glacier fluctuations in southeast Greenland »), qui montre clairement, à partir de photos aériennes des années 1930, qu’un certain nombre de glaciers du Groenland ont subi un retrait plus rapide durant les années 1930 que pendant les années 2000.

Cette étude venait elle-même confirmer d’autres études récentes visant à reconstituer les avancés et reculs des glaciers groenlandais et qui toutes conduisaient aux mêmes conclusions, à savoir que la calotte glaciaire avait déjà connu par le passé des phénomènes de dégel comparables ou supérieurs à ce que l’on constate actuellement (« Les avancées et les reculs du glacier Helheim observés à partir des dépôts sablonneux », Andresen et al, Nature Geo. 2011 ; « Les variations de températures au sommet du Groenland durant les 170 dernières années », Kobashi et al., GRL 2011 ; « Une reconstruction de l'extension de la fonte annuelle du Groenland de 1784 à 2009 », Frauenfeld et al, JGR 2011 ; etc.).

Toutes ces études vont dans le sens d’un caractère cyclique des phénomènes de fonte estivale des glaciers du Groenland, avec des périodes d’environ 60 à 70 ans. Or, il existe une théorie aujourd’hui bien établie qui permet d’expliquer de façons satisfaisante ces variations cycliques : celle des Oscillations Atlantiques Multidécennales (AMO, Atlantic Multidecennal Oscillation), une variabilité multidécennale de la circulation thermohaline de l'Océan Atlantique qui a justement une période d’oscillation d’environ… 60 à 70 ans ! Ainsi, selon un article de Pietr Chylek et al publié en 2009 dans la Geophysical Research Letters et intitulé « Amplification des variations de la température de l'air en Arctique et l'Oscillation Multidécennale Atlantique », il existe une corrélation apparente des variations des températures en Arctique avec l'indice AMO. Les fontes importantes des années 30 et 2000 correspondent ainsi à une période positive de l’AMO ; inversement, la période entre 1945 et 1975, marquée par une période négative, a connu un épaississement important de la calotte glaciaire qui a fait d’ailleurs craindre à l’époque à un retour à l’âge glaciaire (relié à l’activité humaine de manière tout aussi irrationnelle que le réchauffement climatique l’est aujourd’hui !). On peut supposer que la période autour de 1889 correspondait également à une période positive ; on retrouve même des traces de communications alarmantes du Président de la Royal Society of London sur le réchauffement climatique et la fonte de glaces de l’arctique en… 1817 (1), en gros au moment de l’oscillation positive précédente !

Etant donné que nous sommes actuellement sur un maximum de cet indice qui pourrait chuter dans les années à venir, on peut penser que le retrait des glaciers du Groenland, au lieu de s’ « accélérer » indéfiniment jusqu’à l’Apocalypse climatique, devrait s'arrêter de lui-même et que les glaciers devraient à nouveau progresser comme ils l'ont fait à partir de la fin des années 40…

Rappelons pour ceux qui ne suivent l’actualité climatique qu’au travers de ce qu’en disent les rapports du GIEC ou la presse française que, depuis maintenant une bonne dizaine d’année, la température moyenne du globe a tendance à... stagner, voire diminuer ! Et il ne s’agit pas d’une propagande de climato-septiques à la solde des lobbys pétroliers, mais des propres courbes satellites de la NASA, celles-là même que le GIEC mettait en première page lorsque, dans les années 80 et 90, elles augmentaient bien gentiment… Autant dire que cette tendance récente, que les modèles du GIEC sont incapables d’expliquer, met les chercheurs « réchauffistes » dans l’embarras puisque dans le même temps les rejets de gaz à effet de serre ont continué d’augmenter ; alors qu’elle s’explique parfaitement par la théorie cyclique « solariste » de Henrik Svensmark faisant intervenir une action des rayons cosmiques sur la formation des nuages (théorie actuellement en cours de validation par une expérience de grande ampleur, baptisée CLOUD, et menée à l’accélérateur de particule du CERN ; notons que cette expérience est cofinancée par les principaux pays de l’UE, sauf… la France).

La thèse du réchauffement climatique anthropique a pesé depuis plusieurs décennies sur la recherche scientifique officielle comme une véritable chape de plomb ou de glace, interdisant aux chercheurs de publier des études allant à l’encontre de cette théorie alarmiste, encourageant la presse scientifique et grand public à ne citer que les études allant dans le sens du réchauffement, alimentant sciemment une véritable psychose du grand public sur la situation catastrophique de notre planète. On ne peut que se réjouir que depuis quelques années des voix dissidentes commencent à se faire entendre au sein de la communauté scientifique, et que la presse commence elle aussi à se demander si, après tout, il n’est pas souhaitable aujourd’hui de prendre un peu de recul et d’examiner sereinement, objectivement et sans parti-pris l’état réel de la science. Il semble qu’enfin, telle une glasnost soviétique, cette chape est en train de dégeler et que les aproles commencent enfin à se libérer… Précisons pour terminer, et afin de désamorcer les probables attaques dont je pourrais faire l’objet (« suppôt du capitalisme », « agent du lobby pétrolier », « salaud », « ordure »…), que ne pas adhérer à la thèse du réchauffement climatique d’origine humaine et être plutôt convaincu par la thèse solariste est tout à fait compatible avec le fait de défendre l’idée d’une réduction de notre consommation énergétique, notamment de combustibles fossiles, et de diminution drastique de nos rejets de gaz à effet de serre, qui ont des effets bien plus préoccupants sur notre environnement et notre propre santé qu’un soi-disant réchauffement de la température.

(1) Royal Society, London, Nov 20, 1817. Minutes of Council, Vol 8, pp.149-153.

148 r�actions

Commentaires: 0 | 100

jako 27 juillet 2012 07:37

Un exemple de manipulation de l’information (et de ses limites), cela aurait �t� un excellent titre pour l’article non ?
La pollution industrielle en europe en 1889 �tait probablement � son apog�e.

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- NICOPOL 27 juillet 2012 17:39
  
  Oui, c’est vrai, la pollution des quelques grandes villes europ�ennes industrialis�es � la fin du XIXe si�cle �tait sans doute localement bien pire qu’aujourd’hui, en raison notamment du chauffage au charbon et de l’�clairage au gaz. Mais cette pollution ne concernait qu’un petit nombre de villes encore relativement peu peupl�es compar�es � aujourd’hui. Donc, � l’�chelle du globe, la valeur absolue des rejets de GES � cette �poque �tait bien inf�rieure � ce qu’elle est aujourd’hui (c’est d’ailleurs bien ce que confirme les donn�es dont on dispose aujourd’hui sur des mesures directes par voie chimique.
  
  Ceci dit l’�tude de l’�volution des concentrations en CO2 est compliqu�e par le fait qu’une partie seulement du CO2 de l’atmosph�re vient de l’activit� humaine. Ainsi, un certain nombre d’�tudes montrent que les concentrations de CO2 �taient plus �lev�es qu’aujourd’hui au d�but du XIXe si�cle ; elles ont m�me �t� 10 ou fois sup�rieures pendant le dernier �ge glaciaire. En fait, si on suit la th�se « solariste » selon laquelle c’est le soleil le principal « driver » de la temp�rature terrestre, on arrive � l’id�e que ce n’est pas la hausse du CO2 qui �l�ve la temp�rature, mais au contraire la hausse de la temp�rature qui augmente la concentration de CO2 (en rel�chant le CO2 des oc�ans). Et, de fait, si on compare les courbes de long terme (400 000 ans) de la temp�rature et du CO2, on a bien l’impression que c’est le CO2 qui suit la temp�rature et non l’inverse...Plusieurs �tudes statistiques ont d’ailleurs confirm� cette hypoth�se (par exemple 6 articles dans Science entre 1999 et 2008), que personne a ma connaissance n’a contest� cela, pas m�me le GIEC (sauf le Prix Nobel de la Paix Al Gore dans son documentaire oscaris�).
  
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- Croa 27 juillet 2012 23:33
  
  La pollution au sens strict presque (en fait c’est plut�t au milieu du XXe avec le pic « charbon » en Europe.) Toutefois, de son cot�, la production de gaz � effet de serre n’a jamais cess� d’augmenter.
  
  (La pollution au sens strict c’est le smog londonien par exemple.)
  
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amipb 27 juillet 2012 08:15

Comment peut-on �crire article pareil alors que dans l’annonce faite par la Nasa, la date de 1889 est bien indiqu�e et qu’il est dit que les observations des prochaines ann�es, si elles confirment cette forte amplitude de d�gel, ne feront que tirer plus fort la sonnette d’alarme ?

Tout le reste n’est que projections de l’auteur : si les satellites n’existent que depuis 30 ans, les relev�s m�t�o ont plus d’un si�cle et le carottage des glaces permet de comprendre l’�volution de l’atmosph�re sur des centaines d’ann�es.

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- NICOPOL 27 juillet 2012 17:54
  
  Je crois que vous n’avez pas bien lu l’article. Je sais tr�s bien que l’article de la NASA mentionne la date de 1889, puisque je l’ai �cris dans l’article ; ce que je dis, c’est que l’article de l’Express pr�sente les choses d’une mani�re d�form�e, ne serait-ce que dans le titre alarmiste « Le Groenland fond � une vitesse record ». Non, le Groenland ne fond pas du tout � une vitesse record, puisque des situations comparables se sont d�j� produites p�riodiquement par le pass�. Le titre de l’article aurait donc du �tre « La fonte importante actuelle du Groenland n’est qu’un ph�nom�ne cyclique naturel qui s’est d�j� produit par le pass� ». Avouez que �a ne communique pas la m�me impression au lecteur press�...
  
  Ensuite, bien �videmment, si au cours des 10 ou 20 prochaines ann�es les mesures indiquent que le Groenland ne reg�le pas, on devra s’inqui�ter ; mais pour l’instant nous n’avons aucune raison de le penser. Terminer l’article sur cet avertissement est donc l� aussi un proc�d� de d�sinformation grossier : avec �a on peut �crire n’importe quoi, nous faire craindre les pires catastrophes. Par exemple dans les ann�es 70 on aurait pu �crire (et certains ne s’en sont pas priv�s« ) »si le refroidissement climatique se poursuit, nous allons retourner dans un �ge glaciaire catastrophique pour l’humanit�« . Mais bien entendu cela ne s’est jamais produit et les temp�ratures ont commenc� � augmenter de nouveau bien gentiment (de m�me qu’elles vont vraisemblablement baisser bien gentiment au cours des prochaines ann�es comme elles ont sans doute d�j� commenc� � le faire).
  
  Concernant les relev�s m�t�o et le carottage des glaces, vous semblez ignorer que leur analyse s�rieuse (c’est-�-dire sans »trucage "statistique pour obtenir le r�sultat voulu) confirme l’hypoth�se d’une �volution cyclique du climat et de l’atmosph�re plus qu’elle ne l’infirme. D’innombrables articles, parus dans de prestigieuses revues � comit�s de lecture, vont ainsi dans ce sens. Pour une revue la plus compl�te possible, je vous invite � visiter le site http://www.pensee-unique.fr. Libre � vous de consid�rer ce site comme celui d’un agent � la solde du lobby p�trolier ; mais ceci ne remet pas en question le s�rieux des tr�s nombreuses �tudes et publications qui y sont report�es.
  
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- amipb 28 juillet 2012 08:26
  
  TOujours ces m�mes liens vers un site tr�s teint� id�ologiquement.
  
  Est-ce que « pens�e unique » peut �galement me d�montrer que l’eau qui chauffe dans ma casserole ne chauffe pas � cause du gaz qui br�le, en dessous ?
  
  La th�orie du chaos nous a montr� que m�me certains actes isol�s pouvaient avoir une cons�quence gigantesque sur la m�t�o. Croire donc que l’activit� humaine qui br�le les for�ts, fait de l’�levage intensif, envoie des milliards de tonnes de CO2 dans l’atmosph�re n’a aucun impact est de l’aveuglement pur et simple.
  
  Tenez, pour la route, un expos� tr�s clair d’un de nos scientifiques les plus accomplis, Hubert Reeves : http://www.youtube.com/watch?v=UBW2xHIMc38
  
  Mais vous me direz peut-�tre qu’il est financ� par la CIA ?
  
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- NICOPOL 28 juillet 2012 17:02
  
  Avec-vois une preuve objective que l’auteur de Pens�e Unique, un ancien chercheur du CNRS � la retraire, serait « tr�s teint� id�ologiquement » ? Si vous n’en avez pas, ce serait alors bien vous l’id�ologue (car seul un id�ologue ne peut pas admettre que quelqu’un ose remettre en cause l’une de ses id�es pour des raisons purement scientifique et d�sint�ress�e).
  
  Personne ne conteste que l’activit� humaine a un impact catastrophique sur l’environnement (d�forestation, �rosion, pollution des nappes phr�atiques, pollution chimiques des oc�ans...). Par contre, il n’est pas d�montr� de fa�on incontestable que cette activit� humaine a un impact autre que marginal sur la temp�rature. Et tant qu’une preuve formelle n’a pas �t� apport�e (ce qui est plut�t mal barr� en ce moment), c’est de croire le contraire qui est aveuglement.
  
  Quant � Hubert Reeves, que je sache c’est un �minent astrophysicien, pas un sp�cialiste du climat. Il ne fait donc que parler de cela en b�otien, comme vous un moi, quoi. Par ailleurs le « principe d’autorit� » (c’est untel qui le dit donc c’est vrai) ne sera jamais un argument s�rieux dans une discussion sur la validit� ou non d’une th�se scientifique.
  
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Gabriel 27 juillet 2012 09:06

Evidement on peut faire l’autruche, nier l’�vidence, ignorer les avertissements d’un bon millier de savants et chercheurs � travers la plan�te et, comme la grenouille baignant dans une casserole d’eau chauff�e � feux doux, cuire et mourir �touff� dans sa propre b�tise …

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- NICOPOL 27 juillet 2012 17:57
  
  Le fait que l’activit� humaine contribue de fa�on significative au r�chauffement de la plan�te est aujourd’hui tr�s loin d’�tre une « �vidence ».
  
  Et je vous fais le pari que, dans 30 ans, on rigolera tout autant des projections alarmistes actuelles du GIEC qu’on rigole aujourd’hui volontiers des projections inversement catastrophistes des ann�es 70 qui nous promettait un retour � une p�riode glaciaire.
  
  Je vous laisse donc dans votre propre b�tise en vous donnant RV ici m�me dans une trentaine d’ann�e.
  
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- Gabriel 28 juillet 2012 08:07
  
  �tre idiot avec un bon millier de chercheur me laisse dubitatif face � vos pr�tentieuses certitudes. Dans 30 ans dites vous, dans le meilleur des cas on �valuera les d�gats ...
  
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- NICOPOL 28 juillet 2012 16:46
  
  En quoi mes certitudes seraient plus « pr�tentieuses » que les v�tres ? Un bon millier de chercheurs soutiennent la th�se de l’effet de serre ? Certes, mais un bon millier aussi la remet en cause aujourd’hui (voir le lien d’Al West :
  
  http://www.climatedepot.com/a/9035/SPECIAL-REPORT-More-Than-1000-International-Scientists-Dissent-Over-ManMade-Global-Warming-Claims—Challenge-UN-IPCC—Gore
  
  Donc, vos propos sont faux et participent de ce fait � une propagande « r�chauffiste ».
  
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mrdawson 27 juillet 2012 09:49

« Pr�cisons pour terminer, et afin de d�samorcer les probables attaques dont je pourrais faire l’objet (� supp�t du capitalisme �, � agent du lobby p�trolier �, � salaud �, � ordure �…), que ne pas adh�rer � la th�se du r�chauffement climatique d’origine humaine et �tre plut�t convaincu par la th�se solariste est tout � fait compatible avec le fait de d�fendre l’id�e d’une r�duction de notre consommation �nerg�tique, notamment de combustibles fossiles, et de diminution drastique de nos rejets de gaz � effet de serre, qui ont des effets bien plus pr�occupants sur notre environnement et notre propre sant� qu’un soi-disant r�chauffement de la temp�rature. «

Lorsque l’on a dit �a, quel est l’int�r�t de cet article ?

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- NICOPOL 27 juillet 2012 18:08
  
  Vous n’avez pas lu, compris, ou vous faites du mauvais esprit ?
  
  L’article consiste � dire ceci :
  
  (i) oui, il faut diminuer notre consommation �nerg�tique et r�duire nos rejets de gaz � effet de serre, qui ont un effet n�gatif sur notre environnement en mati�re de pollution atmosph�rique, d�forestation etc.
  
  (ii) mais non, le soi-disant « r�chauffement climatique » n’est pas l’une des cons�quences de cette pollution �nerg�tique ;
  
  (iii) donc, d�fendre la r�duction des GES en s’appuyant sur la menace d’un r�chauffement climatique catastrophique est mensonger et non scientifique ; et on ne peut m�me pas invoquer ce grand et beau principe de Machiavel selon laquelle « la fin justifie les moyens », puisque cette manipulation donne in fine du grain � moudre aux « lobbys p�troliers » qui ont beau jeu d’�venter l’escroquerie, et s’av�re donc compl�tement contre-productive. Alors que si on appuyait les politiques environnementales sur des �l�ments v�ritablement scientifiques, on aurait une vrai l�gitimit� pour mettre en œuvre des politiques contraignantes.
  
  Comme scientifique, je ne peux pas admettre qu’on essaye de faire passer pour vraie une th�orie que beaucoup de faits viennent aujourd’hui remettre en question. Comme citoyen soucieux de mon environnement, je souhaite malgr� tout qu’on parvienne � mettre en place des politiques de pr�servation durable de notre �cosyst�me. Ces 2 positions ne sont pas incompatibles, bien au contraire (m�me si cela reste a priori difficilement concevable pour les chevaliers blancs de la lutte contre les « lobbys p�troliers ») ; si on comprend cela, il est alors tout � fait naturel d’appeler � une r�duction des GES tout en d�non�ant vigoureusement la d�sinformation autour du r�chauffement climatique. Je dirai m�me qu’il est indispensable de d�noncer l’escroquerie du r�chauffement climatique pr�cis�ment pour pouvoir enfin appliquer de v�ritables politiques de r�duction des GES.
  
  Voil�, j’esp�re que ce n’est pas trop compliqu� pour vous. Si ce n’est toujours pas clair, dites-le moi.
  
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- amipb 28 juillet 2012 08:45
  
  La th�se solaire ne tient pas : l’inactivit� exceptionnellement longue du Soleil en 2008 n’a absolument pas refroidi l’atmosph�re : http://www.sciencedaily.com/releases/2008/06/080609124551.htm
  
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- NICOPOL 28 juillet 2012 17:05
  
  Le lien ne marche pas ?
  
  Par ailleurs il faudrait �tre vraiment simpliste pour supposer que l’activit� du soleil influe de fa�on « instantan�e » sur la temp�rature. Ce ne sont pas des fluctuations m�t�orologiques annuelles qu’il faut comparer, mais des tendances cycliques de quelques d�cennies. Et � cette �chelle, la corr�lation est incontestable. D�s lors qu’il serait pour le moins audacieux de supposer que la temp�rature terrestre puisse avoir un effet sur les cycles solaires, la conclusion s’impose.
  
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- Laurent Simon 29 juillet 2012 13:36
  
  @Nicopol,
  
  1. Merci pour cet article. "Comme scientifique, je ne peux pas admettre qu’on essaye de faire passer pour vraie une th�orie que beaucoup de faits viennent aujourd’hui remettre en question« ou en tout cas »que beaucoup de faits questionnent« .
  »Je dirais m�me qu’il est indispensable de d�noncer l’escroquerie du r�chauffement climatique pr�cis�ment pour pouvoir enfin appliquer de v�ritables politiques de r�duction des GES." Le pour en gras est de trop, les deux sont indispensables (voir ce que je dis plus bas), mais non li�s.
  
  2. Merci pour cette explication balanc�e (Ces 2 positions ne sont pas incompatibles, bien au contraire), qui peut �tre trop complexe pour beaucoup (et notamment pour les personnes qui suivent aveugl�ment donc � tort certains arguments du GIEC ; mais aussi pour les id�ologues des deux camps, car oui, il y en a aussi du c�t� des climato-sceptiques, contrairement � ce que vous dites dans une r�ponse un peu plus bas).
  
  Je suis pour ma part tr�s partag� :
  a) je ne suis pas convaincu que le CO2 joue actuellement un r�le important dans le climat (mais je crains que le m�thane joue un r�le sous-estim�)
  
  b) il est possible que la baisse actuelle et r�guli�re du champ magn�tique terrestre joue un r�le important, via la variation de la protection par rapport aux rayons cosmiques et donc l’augmentation de l’effet de serre d� aux nuages (de basse altitude, si je me souviens bien). Voir effectivement les exp�riences Cloud (CERN), mais qui � ma connaissance ne donnent pas encore des r�sultats d�cisifs.
  
  c) si, comme je le crois tr�s probable, l’augmentation du CO2 ne joue pas pour le moment de r�le majeur sur le climat, ce n’est probablement pas la peine de prendre le risque de rajouter des causes de r�chauffement (qu’elles soient av�r�es pour le moment ou non)
  
  d) Last but not least, l’augmentation rapide du CO2 dans l’atmosph�re, et donc dans les ocans, repr�sente en revanche des risques consid�rables au niveau de l’acidification des oc�ans, et des cons�quences tr�s graves qui s’ajouteraient au probable d�r�glement climatique actuel (et notamment les �normes trombes d’eau qui tombent de plus en plus r�guli�rement, ce qui � ma connaissance n’existait pas avant),
  qu’il soit d� � des causes naturelles (champ magn�tique terrestre, activit� solaire, cycles divers), ou � des causes humaines (exp�riences de type Haarp aux Etats Unis ou en Russie, gaz � effets de serre CO2, m�thane, etc)
  
  3. Je ne suis malheureusement pas persuad� que "si on appuyait les politiques environnementales sur des �l�ments v�ritablement scientifiques, on aurait une vraie l�gitimit� pour mettre en œuvre des politiques contraignantes.".
  Par exemple, a t on besoin de preuves scientifiques (et de l�gitimit�) :
  - pour se convaincre de l’importance de mener des actions contre la faim dans le monde ? NON.
  - pour prendre des d�cisions et mener quelques actions (par exemple r�duire dans les pays d�velopp�s les subventions qui aident � l’exportation de produits agricoles, pour ne pas d�courager par des prix bas le d�veloppement local de cultures vivri�res). Non, et on ne le fait pas.
  
  Voil�, mon message n’est pas non plus simpliste, mais il aboutit � une s�v�re mise en garde contre les cons�quences des �volutions extr�mement rapides caus�es par l’homme sur son milieu. Et non pour « prot�ger la plan�te » comme il est souvent dit, mais pour prot�ger l’humanit� contre l’impact � moyen terme de ses exc�s et d�rives, qui pourrait bien �tre d�sastreux.
  
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Wendigo 27 juillet 2012 10:11

Mais non, le r�chauffement m�diatique, ne peut �tre du au soleil, alons, un peu de s�rieux, de plus prendre 1889 comme r�f�rence est stupide, tout le monde sait que l’activit� solaire cette ann�e l� avec ses �ruptions g�antes, n’allait pas avoir d’impacte sur le climat, et surtout pas sur la fonte des glaces.

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JL 27 juillet 2012 10:15

Ce n’est pas le CO2 qui est responsable de la fonte des glaciers, ce sont les suies noires d�gag�es par tous ces super-tankers qui sillonnent de plus en plus nombreux, les mers, et utilisent un fuel lourd incomparablement plus polluant que les v�hicules terrestres, puisque soumis en la mati�re, � aucune esp�ce de r�glementation.

Ces suies noires, en se d�posant sur les glaciers, en acc�l�re la fonte aussi efficacement que du sel d�pos� sur le verglas des routes.

Oui, c’est la pollution qui est responsable du d�r�glement climatique ; non ce n’est pas le CO2 qui r�chauffe la plan�te.

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- JC (Exether) 27 juillet 2012 10:44
  
  Le probl�me du changement climatique est loin d’�tre aussi simple. Chaque composante de la pollution joue son r�le � sa fa�on, les suies en modifiant l’albedo des surfaces glaciaires, le CO2 et le m�thane en modifiant les caract�ristiques radiatives de l’atmosph�re.
  On trouve m�me dans le lot des r�troactions qui auraient plut�t tendance � diminuer les temp�ratures, m�me si globalement on va vers un r�chauffement.
  Si le probl�me �tait simple, la solution le serait beaucoup plus.
  
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- chria 27 juillet 2012 11:14
  
  « Oui, c’est la pollution qui est responsable du d�r�glement climatique ; non ce n’est pas le CO2 qui r�chauffe la plan�te. »
  A quand un petite publication pour nous d�montrer tout cela ?
  
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- JL 27 juillet 2012 11:21
  
  @ JC (Exeter), je n’ai pas dit que c’�tait simple. Mais je persiste et signe : les suies noires sont de mon point de vue, la principale cause de la fonte des glaciers. Et aucune r�glementation internationale n’est en vue pour imposer des moteurs maritime propres. Ni aucun ralentissement de la croissance de cette activit�.
  
  @ chria, il n’y a qu’� demander :
  C’est quoi un r�chauffiste ?
  L’�nergie atomique et le r�chauffement climatique
  Deux articles d�j� anciens, mais qui valent pour la qualit� des commentaires. Et aussi par le fait qu’ils ont �t� �t� moinss�s � la fois par les r�chauffistes et les anti-r�chauffistes !
  
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- chria 27 juillet 2012 11:50
  
  bof appuyer une th�orie non prouv�e par des points de vue id�ologiques c’est pas terrible.
  
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- NICOPOL 27 juillet 2012 18:10
  
  Bonjour JL,
  
  Merci de votre intervention.
  
  Avez-vous des liens vers des �tudes scientifiques s�rieuses sur cette id�e d’une action des suies noires sur la fonte des glaciers ? C’est une th�se int�ressante, mais qui resterait purement sp�culative si elle ne s’appuyait pas sur des recherches m�thodiques.
  
  Cordialement,
  
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- JL 28 juillet 2012 07:58
  
  Nicopol,
  
  des liens j’en ai, mais ce type de lien est syst�matiquement corrompu, vous devez le savoir.
  
  Par exemple, celui-ci : http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article11796
  
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- NICOPOL 28 juillet 2012 16:42
  
  JL,
  
  Merci pour ce lien. Mais il s’agit d’un article qui se limite � dire que "Les 15 plus gros porte-conteneurs du monde polluent autant que l’ensemble du parc automobile mondial". Il n’y est fait mention nulle part d’un effet sur les glaciers !
  
  Donc, lien int�ressant et �difiant mais totalement hors sujet.
  
  Un autre ?
  
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- JL 29 juillet 2012 19:00
  
  Nicopol,
  
  vous �tes ing�nieur biologiste, je sais, mais tout de m�me ! Pas besoin d’�tre physicien pour savoir que si on recouvre de la glace par de la suie, elle va fondre plus vite que si elle reste pure.
  
  Les liens ne me paraissent utiles que lorsqu’ils viennent confirmer un propos qui semble contraire au bon sens, ou � l’inverse, infirmer un propos qui parait aller de soi.
  
  La balle,en l’occurrence, est donc dans votre camp.
  
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- Leo Le Sage 29 juillet 2012 20:24
  
  @Par JL (xxx.xxx.xxx.183) 27 juillet 10:15
  Vous dites : "Ces suies noires, en se d�posant sur les glaciers, en acc�l�re la fonte aussi efficacement que du sel d�pos� sur le verglas des routes"
  Tout � fait d’accord.
  
  @AUTEUR/Par NICOPOL (xxx.xxx.xxx.222) 27 juillet 18:10
  Vous dites � JL : « C’est une th�se int�ressante, mais qui resterait purement sp�culative si elle ne s’appuyait pas sur des recherches m�thodiques »
  J’ai vu un reportage qui l’a expliqu� [Arte je crois].
  D’ailleurs, le noir « garde » la chaleur...
  Ceci expliquant donc cela.
  
  Cordialement
  
  Leo Le Sage
  (Personne respectueuse de la diff�rence et de la pluralit� des id�es)
  
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- NICOPOL 29 juillet 2012 23:38
  
  JL,
  
  La balle sera dans mon camp quand vous m’indiquerez UNE �tude scientifique s�rieuse qui d�montre l’effet dont vous parlez. Tant que ce ne sera pas le cas, tout cela ne sera que l’�quivalent scientifique de la conversation de bistrot.
  
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Le p�ripate 27 juillet 2012 10:21

Moi je pr�f�rais la mode des ann�es 70, o� la terre �tait cens� se refroidir. Ca avait donn�, au moins en SF a des bouquins int�ressant.

Les Phillipulus d’aujourd’hui nous cassent les couilles. Des individus tristes et sans humour.

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- NICOPOL 27 juillet 2012 18:18
  
  J’approuve !
  
  Je me souviens de � L’hiver �ternel � de John Christopher ; peut-�tre un bouquin de Ballard (je ne suis plus s�r, je lisais �a quand j’�tais gamin). Vous avez d’autres titres « symptomatiques », comme on dit ?
  
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- Radix 27 juillet 2012 19:19
  
  Bonjour Nicopol
  
  C’est bien de John Christopher qui est d�c�d� cette ann�e.
  
  Je dois l’avoir dans les �ditions Opta.
  
  Pour Ballard c’est « S�cheresse »... Il doit �tre au Giec !
  
  Radix
  
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chria 27 juillet 2012 10:33

En fait l’auteur nous montre comment on utilise la technique de l’�pouvantail dans toute sa splendeur : on met dans les bouches des autres des propos qu’ils n’ont jamais tenu (le m�lange scientifiques/journalistes, ou m�me de prendre un bout de phrase de quelqu’un pour l’attribuer aux autres), et on les d�monte en prenant des arguments d’autres scientifiques/journalistes.

Ensuite on a la technique jipebe : en un article on arrive � d�montrer que toute cette science est fausse et qu’on vous baratine. De quoi flatter pas mal d’ego qui n’ont jamais pris la peine de lire les sources scientifiques : en deux coups de cuill�res � pot v’la que j’ai tout compris, c’est que de la connerie !

De plus la mauvaise foi est pr�sente partout : "Quand tous ces t�nors de la science, tous ces intellectuels engag�s, tous ces journaux officiels, toutes ces associations, ces ONG, vous le rappellent jour apr�s jour : la temp�rature augmente comme jamais dans l’histoire humaine, les glaciers fondent, la mer va monter, le d�sert va progresser en m�me temps que la malaria et les tsunamis"

Ou encore quand il pr�tend que la fonte actuelle ne peut �tre li�e au GES puisque c’est d�j� arriv� et que donc il existe des facteurs naturels... Et ensuite il s’av�re que la temp�rature « stagnant » depuis 10 ans, les GES n’ont donc aucun effet : et les facteurs naturels ?

Et le fait de faire croire que la th�orie de swensmark est la « vraie » alors qu’aucun article n’a encore �t� publi� et que de toute fa�on m�me en rajoutant toutes les th�ories qu’on veut (nuage par ex, et pas le soleil, il est d�j� int�gr� dans les mod�les...), � premi�re vue les gaz � effet de serre r�chauffe et continueront de r�chauffer l’atmosph�re sur le long terme...
A moins que l’auteur est quelques perles sur ce point sur la physique ? Bah il en trouvera bien on peut toujours tout trouver et tout travestir.

Bref pour certains il semble si facile de r��crire l’histoire, alors pourquoi s’emmerder avec la science ? L’id�ologie vaincra !

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- Bibi32 27 juillet 2012 11:45
  
  Il faut excuser l’auteur, bien que « scientifique », il est aussi « expert financier »... Il s’y connait tr�s bien en lobbies et groupes de pression ! Petit probl�me, la manipulation fonctionnne dans les deux sens....
  Pour le moment, toutes les courbes de temp�rature prouvent les pr�visions, et sont m�me au dela... Mais c’est pas grave ! (M�me si ce sont nous les responsables, il est plus simple de penser que c’est la nature). Et pourtant ces derni�res ann�es, nous avons subit un minimum solaire particuli�rement bas et long. Mais ne nous inqui�tons pas nos enfants seront fix�s, si nous ne le sommes pas nous m�me !
  
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- Le p�ripate 27 juillet 2012 12:07
  
  Ne nous dites surtout pas o� vous mettez le thermom�tre.
  
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- NICOPOL 27 juillet 2012 18:24
  
  @ Bibi32
  
  Ah ben je l’attendais celle-l�, il fallait bien qu’un petit Troll me le sorte ce grotesque proc�s d’intention ! La bonne nouvelle c’est que vous �tes le seul (sur mes premiers articles c’�tait a moiti� des commentaires).
  
  Blague � part, sinistre individu, avez-vous la moindre id�e de ce que je fais comme boulot ? « Expert financier de l’aide au d�veloppement », �a ne veut pas dire trader � wall-street, tonto. Ca veut dire essayer d’utiliser au mieux l’argent du contribuable nanti occidental pour apporter l’eau et l’�lectricit� aux populations d�favoris�es des pays en voie de d�veloppement.
  
  "Pour le moment, toutes les courbes de temp�rature prouvent les pr�visions, et sont m�me au dela..."
  
  A bon ? Avez-vous un petit lien vers une comparaison des courbes de temp�rature actuelle versus les pr�dictions du GIEC ? Ca m’int�resserait, figurez-vous...
  
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- NICOPOL 27 juillet 2012 18:34
  
  @ Chria
  
  Pardonnez-moi, je n’ai pas tr�s bien compris votre intervention.
  
  "on met dans les bouches des autres des propos qu’ils n’ont jamais tenu (le m�lange scientifiques/journalistes, ou m�me de prendre un bout de phrase de quelqu’un pour l’attribuer aux autres),«
  
  Pouvez-vous m’indiquer pr�cis�ment o�, dans mon article, je fais cela ??
  
  »De quoi flatter pas mal d’ego qui n’ont jamais pris la peine de lire les sources scientifiques :«
  
  Il se trouve qu’actuellement un nombre de plus en plus important de »sources scientifiques« , comme vous dites, remettent en question la validit� des th�ories et projections du GIEC. Ne serait-ce pas vous qui ne prenez pas la peine de lire toutes ces sources ?
  
  »Ou encore quand il pr�tend que la fonte actuelle ne peut �tre li�e au GES puisque c’est d�j� arriv� et que donc il existe des facteurs naturels... Et ensuite il s’av�re que la temp�rature « stagnant » depuis 10 ans, les GES n’ont donc aucun effet : et les facteurs naturels ?"
  
  Rien compris. Pouvez-vous pr�ciser le sens de cet alignement de mots ?
  
  "Et le fait de faire croire que la th�orie de swensmark est la « vraie » alors qu’aucun article n’a encore �t� publi� «
  
  Je ne veux rien faire croire ; j’indique simplement qu’il existe une th�orie alternative, qui semble expliquer de fa�on plus satisfaisante les ph�nom�nes climatiques historiques et actuels que la th�orie de l’effet de serre, et que cette th�orie est encore en cours de validation
  
  »m�me en rajoutant toutes les th�ories qu’on veut (nuage par ex, et pas le soleil, il est d�j� int�gr� dans les mod�les...), � premi�re vue les gaz � effet de serre r�chauffe et continueront de r�chauffer l’atmosph�re sur le long terme...«
  
  Voil�, vous l’avez dit, c’est »� premi�re vue« . Mais quand on examine s�rieusement les choses, on peut avoir un doute sur la validit� de cette th�se.
  
  »Bref pour certains il semble si facile de r��crire l’histoire, alors pourquoi s’emmerder avec la science ? L’id�ologie vaincra !«
  
  Alors l� vous ne manquez quand m�me pas de culot ! Car pour l’instant, qui s’est fait prendre la main dans le sac en train de »r��crire l’histoire« , si ce ne sont les partisans du GIEC pr�t � »effacer« l’optimum climatique m�di�val pour faire croire � un r�chauffement »sans pr�c�dent" ?
  
  L’id�ologie, il me semble, est du c�t� de ceux qui sont pr�t � utiliser des m�thodes non-scientifiques pour convaincre d’une th�se, pas ceux qui mettent en avant des �l�ments scientifiques allant � l’encontre de ladite th�se.
  
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- chria 30 juillet 2012 14:33
  
  "L’id�ologie, il me semble, est du c�t� de ceux qui sont pr�t � utiliser des m�thodes non-scientifiques pour convaincre d’une th�se, pas ceux qui mettent en avant des �l�ments scientifiques allant � l’encontre de ladite th�se."
  Elle est bien bonne celle l�. Il est vrai que les climato-sceptiques sont tous de doux agneaux parfaitement honn�tes.
  Ne vous enfoncez pas plus la coupe est pleine, et je r�it�re, vous utilisez des amalgames et travestissez les �tudes scientifiques, faites passer des th�ories fantaisistes comme des alternatives cr�dibles, le tout pour faire passer vos id�es politiques.
  
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- NICOPOL 30 juillet 2012 16:08
  « Elle est bien bonne celle l�. Il est vrai que les climato-sceptiques sont tous de doux agneaux parfaitement honn�tes. »
  
  Je n’ai jamais dit �a. Il y a s�rement aussi des id�ologues chez les climato-sceptiques. Mais je vous ai mis au d�fi de prouver que j’en faisais partie, ce dont vous �tes bien incapable.
  
  "Ne vous enfoncez pas plus la coupe est pleine, et je r�it�re, vous utilisez des amalgames et travestissez les �tudes scientifiques, faites passer des th�ories fantaisistes comme des alternatives cr�dibles, le tout pour faire passer vos id�es politiques.«
  
  J’ai eu affaire � pas mal de troll sur AV mais je crois que vous tenez quand m�me le haut du panier, l� !!
  
  Tant que vous n’apportez pas le moindre �l�ment de justification, tout ceci n’est qu’impr�cation et proc�s d’intention. Je vous le demande donc � nouveau : avancez-nous UN SEUL �l�ment de nature � justifier vos affirmations selon lesquelles :
  - J’ai utilis� des »amalgames« (citez-en moi un dans mon article ou mes r�ponses)
  - J’ai »travesti« une �tude scientifique (mais o� voyez-vous �a ? Vous �tes pas bien ou quoi ?)
  - La th�orie de Svenmark est »fantaisiste« (l’Union Europ�enne a quand m�me mobilis� l’un de ses plus gros budgets de recherche pour la v�rifier au CERN)
  - J’ai un »projet politique« (allez-y, ridiculisez-vous, r�v�ler � toute la communaut� agoravoxienne quel est mon »projet politique" )
  Dans le cas o� vous seriez incapable de justifier vos affirmations (et je ne vois pas comment vous le pourriez vu qu’elles sont grossi�rement fausses), je vous demande de les retirer publiquement en vous excusant. Vous semblez ignorer que ne sommes pas en Union Sovi�tique ni chez les Khmers Rouges mais dans un �tat de droit dans lequel c’est � l’accusation de fournir la preuve.
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- Alex 20 février 2013 21:22
  
  Bonjour,
  
  Vous trouverez � l’adresse http://www.r-p-f.org/wp-content/uploads/2012/01/image006.jpg un graphique qui compare les pr�visions climatiques faites en 2000 par le GIEC avec les mesures de temp�ratures de divers organismes qui servent de r�f�rence � ce m�me GIEC.
  
  Ne pensez-vous pas que l’�volution des temp�ratures mesur�es invalide les mod�les du GIEC ?
  Sinon, si la tendance � la stagnation observ�e continue, quand pourra-t-on dire que ces mod�les sont invalid�s ?
  Cordialement
  
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files_walker 27 juillet 2012 11:16

Les recherches du scientifique Danois Henrik Svensmark ayant d�montr� que le r�chauffement est du aux rayons cosmiques et non pas aux activit�s humaines.
En gros ces rayons cosmique ont une implication sur la densit� des nuages.

http://www.youtube.com/watch?v=hnYEXyjair0&feature=BFa&list=PL5BFF07484C6AE6AE

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- chria 27 juillet 2012 11:47
  
  N’importe quoi, il n’a rien d�montr� du tout, mensonge !
  D�cr�dibilisation totale sur ce coup, files walker
  
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- files_walker 27 juillet 2012 14:26
  
  @chria
  
  Si les recherches d’Henrik Svensmark �taient bidon, croyez-vous qu’ils auraient mont� CLOUD au CERN ?
  
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- chria 27 juillet 2012 14:46
  
  Qui a dit bidon ? Elles sont du tonnerre sur certains points, mais pour l’instant inapte � remettre en cause les mod�les climatiques.
  
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- files_walker 27 juillet 2012 15:27
  
  @Chria
  
  Je ne suis pas scientifique, mais il m’avait pourtant sembl� en visionnant le documentaire sur Art� que le CO2 �tait totalement mis hors de cause. Il me semblait donc que la th�orie du GIEC �tait invalid�.
  
  Tu m’�tonne qu’il a eu du mal � faire d�poser ses recherches.
  
  En attendant entre le 11/9, le r�chauffement climatique et tous les sujets de g�opolitique ma confiance dans nos m�dias officiels et politique est r�duite � ZERO, n�ant, nada, que chi, que dalle.
  
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- chria 27 juillet 2012 15:55
  
  @walker : je ne sais pas quel reportage tu as vu mais ce n’est absolument pas cela, et au contraire, les GES sont confort�s.
  A l’heure actuel et en l’�tat des recherches, il s’av�re qu’en prenant en compte l’ensemble des facteurs naturels connus, il n’y a qu’en rajoutant les facteurs anthropiques, les GES (dont le CO2) pour expliquer la mont�e des temp�ratures que l’on observe depuis le d�but du si�cle dernier et le comportement du syst�me en g�n�ral. Apr�s il existe encore des zones d’incertitudes, comme avec les nuages, mais les derniers r�sultats de Cloud n’apporte rien pour l’instant, et les scientifiques estiment qu’au final les nuages jouent � la marge, comparativement � une envol�e massive des GES sur le long terme dans l’atmo.
  C’est pourquoi � la vue de ce constat et des probabilit�s, les scientifiques conseillent, par principe de pr�caution, de limiter les �missions de GES afin d’�viter des mont�es de temp�rature affolantes qui auraient des r�percussions incontr�lables pour nos soci�t�s scl�ros�es.
  
  Apr�s il y a la politique qui vient s’int�grer l� dedans et �a devient le bordel...
  D’ailleurs les GES ce n’est pas que le CO2 �mis par les p�troliers...
  
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- NICOPOL 27 juillet 2012 18:40
  
  Effectivement, il n’a encore rien « d�montr� ». Cela dit, il a une th�se tr�s s�rieuse et tr�s compl�te qui, si elle �tait v�rifi�e, permettrait de donner une explication scientifique � la corr�lation, observ�e depuis plusieurs si�cles, entre les cycles du soleil et un certain nombre de ph�nom�nes climatiques. En effet, on connait aujourd’hui le lien entre activit� solaire et rayons cosmiques ; on commence � comprendre l’impact des nuages sur l’albedo et donc la temp�rature ; le « cha�non manquant », c’est le lien entre rayons cosmiques et formation des nuages. Svensmark a une th�orie l�-dessus qu’il est en train de tester ; si les exp�riences CLOUD valident cette th�se, cela voudra dire qu’on aura une th�orie robuste pour comprendre l’�volution du climat en fonction de l’activit� solaire.
  
  Apr�s, il suffira de comparer les r�sultats des 2 th�ories concurrentes (« effet de serre » vs « soleil ») en mati�re de reconstitution du climat pass� et de capacit� de pr�diction du climat futur. Tout juste peut-on rappeler � ce stade que la th�orie de l’effet de serre n’avait pas pr�vu le refroidissement actuel et n’est pas en mesure de l’expliquer, alors que la th�orie « solariste » l’avait pr�vue et l’explique tout naturellement... Ne serait-ce que pour cela, je suis personnellement enclin � penser que cette derni�re est donc plus proche de la r�alit� que la premi�re.
  
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- files_walker 27 juillet 2012 21:14
  
  @Chria
  
  Quel documentaire j’ai vu ?
  Celui que je mettais plus haut :
  http://www.youtube.com/watch?v=hnYEXyjair0&feature=BFa&list=PL5BFF07484C6AE6AE
  
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Nestor 27 juillet 2012 11:39

Salut ...

"on s’aper�oit que de telles situations se sont d�j� produites, au moins une fois en 1889 et sans doute de fa�on cyclique tous les 150 ans !"

J’adore cette phrase ...

Alors vu que �a c’est d�j� produit au moins un fois en 1889 on en d�duit que c’est un ph�nom�ne cyclique ... G�nial ... �a c’est de la statistique ...

Sinon concernant les ann�es 1739 ; 1589 ; 1439 ; 1289 ; 1139 ; 989 ; 839 ; 689 ; 539 ; 389 ; 239 ; 89 ; 61 av JC ; etc ... Vous poss�dez des photos satellites de l’�poque ? Ou peur-�tre des petits rapports de curtons qui auraient fait des excursions au Groenland pendant ces ann�es l� ?

Enfin rassurez-vous les gens �a c’est d�j� produit il a 150 ans au moins une fois, voyez-vous c’est cyclique .... C’est cyclique ON VOUS DIT !

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- chria 27 juillet 2012 11:46
  
  D’autant plus que rien n’est cyclique dans un syst�me complexe... L’auteur aurait du tiqu� puisqu’il a lu Prigo.
  
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- JL 27 juillet 2012 11:55
  
  « D’autant plus que rien n’est cyclique dans un syst�me complexe. » (chria)
  
  ? Vous pouvez d�montrer que rien n’est cyclique dans notre espace-temps ?
  
  Bon courage !
  
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- Pierre 27 juillet 2012 11:59
  
  Faut vous renseigner un peu.
  
  La chercheuse qui s ’exprime au sujet du caract�re cyclique de ce genre d’�v�nement a publi�, avec ses coll�gues, plusieurs articles � ce sujet.
  Elle a trouv� pr�cis�ment une moyenne de 153 ans. Les fontes successives sont tr�s facilement observ�es dans les carottes glaciaires. Ce n’est pas contestable et ce n’est pas contest�.
  Ceci dit, on observe fr�quemment en montagne que les neiges « �ternelles » subissent une ablation superficielle lors de vagues de chaleur et par fort ensoleillement, ce qui a �t� le cas au Groenland ces derniers temps suite � un r�gime de hautes pressions qui ont aussi affect� une partie des USA.
  Je rappelle que cette « fonte superficielle » n’a dur� que 3 ou 4 jours.
  
  On aime bien jouer � « Hou, fais moi peur ! » , n’est-ce pas ?
  
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- Nestor 27 juillet 2012 12:20
  
  Salut Pierre ...
  
  « une moyenne de 153 ans. Les fontes successives sont tr�s facilement observ�es dans les carottes glaciaires. »
  
  Ils ont m�me pu prouver que certaines esp�ces comme l’ours s’�teignaient tous les 153 ans et se recr�aient dans la foul�e ... Pas de quoi s’inqui�ter l’ours et d’autres esp�ces eux aussi ont apparemment leurs cycles ! Ils disparaissent et r�apparaissent, ou plut�t sont extermin�s et ressuscit�s ... La nature est g�nial, trop top !
  
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- Nestor 27 juillet 2012 13:15
  
  Pierre ...
  
  La fi�vre ... ; La faim ... ;
  
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- chria 27 juillet 2012 14:47
  
  Bah pour reprendre Prigo allons y sur la fl�che du temps.
  C’est pourtant logique.
  
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- NICOPOL 27 juillet 2012 18:42
  
  Merci � Pierre de s’�tre donn� la peine de r�pondre � cette intervention pour le moins vaseuse de Nestor, qui manifestement n’a pas bien lu l’article.
  
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- NICOPOL 27 juillet 2012 18:43
  
  Ah la la, quand on vient de se faire prendre en flagrant-d�lit de trollage, il ne reste souvent plus que la fausse d�rision...
  
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- Nestor 27 juillet 2012 19:15
  
  Salut Nicopol ...
  
  Oui je sais, je sais ... Mais il y a 150 ans de �a les dommages collat�raux n’�taient pas si important ... De moins en moins de poisons dans l’oc�an ... etc ... etc ... Tu sais bien de quoi je parle . Donc l’activit� humaine de nos jours n’est pas celle d’y a 150 ans et c’est bien possible que m�me si ce ph�nom�ne et cyclique ce coup-ci certaines esp�ces ne survivront pas � ce cycle auquel elles ont su faire face par le pass� . Le cycle � lui m�me est supportable mais le cycle plus les dommages collat�raux cr�er pas l’homme le seront peut-�tre pas.
  
  Puis ... Il y a des migrations de certaines esp�ces vers le grand nord et �a les Inuits sont formels il n’ont jamais vu �a ... Ces esp�ces venues du sud portent tort aux esp�ces locales ... Puis les Inuits parlent de vers qu’ils retrouvent dans leur bouffe, �a aussi c’est tout nouveau pour eux !
  
  Alors faut peut-�tre faire attention � ne pas trop d�dramatiser !
  
  Je tiens � te dire que l� pour mon explication je vais dans ton sens mais ne crois pas un seul instant au cycle de 150 ans ... Pour moi c’est faux !
  
  En tout cas f�licitation pour les r�ponses que tu donnes � chacun !
  
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- Nestor 27 juillet 2012 19:27
  
  « Ah la la, quand on vient de se faire prendre en flagrant-d�lit de trollage, il ne reste souvent plus que la fausse d�rision... »
  
  L’avenir dira qui est le trolleur ... La science am�ne des th�ses pas des v�rit�s .
  
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- Nestor 27 juillet 2012 19:37
  
  Un autre effet du r�chauffement climatique que tu minimises !
  
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- NICOPOL 27 juillet 2012 19:47
  
  Bonsoir Nestor,
  
  Merci de ce message courtois.
  
  Vous n’�tes donc pas convaincu par cette th�orie de cycles climatiques. C’est votre droit, m�me si je pense personnellement, en toute objectivit�, que nous disposons aujourd’hui de suffisamment d’�tudes et d’observations s�rieuses pour aller � l’appui de cette hypoth�se (laquelle, d’ailleurs, n’est pas sortie de nulle part mais s’est justement impos�e « visuellement » au vu du r�sultat d’un grand nombre d’observations et de reconstitutions du climat pass�.
  
  « En tout cas f�licitation pour les r�ponses que tu donnes � chacun ! »
  
  Merci ! Il me semble que c’est la moindre des choses d’assurer un « service apr�s-vente » de ses articles !
  
  Cordialement,
  
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- NICOPOL 27 juillet 2012 19:54
  
  Sur votre article... Ben oui, je ne nie pas qu’il y ait eu un r�chauffement climatique pendant quelques d�cennies, ni que ce r�chauffement ait eu � certains endroits des cons�quences plut�t n�gatives sur l’environnement ; mais (i) dans d’autres endroits, ce r�chauffement a des cons�quences plut�t positives, (ii) il n’est pas d�montr� qu’il soit d’origine humaine et non parfaitement naturel, (iii) rien ne dit qu’il va se poursuivre, et il est m�me probable que la tendance est en train de s’inverser.
  
  Vouloir s’opposer au « changement climatique », � ces successions multid�cennales de r�chauffements et de refroidissements et � leurs cons�quences, c’est aussi absurde que d’�tre « contre » la rotation de la terre au motif qu’elle se traduit par un ph�nom�ne de saisons... On sait parfaitement se prot�ger du froid en hiver et de la chaleur en �t� ; il ne devrait pas �tre beaucoup plus compliqu�, une fois qu’on les aura bien compris, de savoir s’adapter � ces cycles naturels � plus grande �chelle !
  
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- Nestor 27 juillet 2012 20:28
  
  "Ben oui, je ne nie pas qu’il y ait eu un r�chauffement climatique pendant quelques d�cennies, ni que ce r�chauffement ait eu � certains endroits des cons�quences plut�t n�gatives sur l’environnement ; mais (i) dans d’autres endroits, ce r�chauffement a des cons�quences plut�t positives.«
  
  Nicopol tu imagines ce que tu es en train de dire, j’ai envie de te dire relis bien ta phrase ... C’est comme si tu disais que ce n’est pas grave que certaines choses soient extermin�es puisque se sera profitable pour d’autres ... Comment veux-tu que je sois d’accord avec �a ? Des esp�ces qui disparaisses, des hommes qui ont leur milieu naturel an�anti n’est pour moi profitable � personne.
  
  Je pense et surtout j’esp�re que tu a parl� trop vite, sinon de telles paroles venant d’un scientifique me sid�rent !
  
  »Vouloir s’opposer au « changement climatique », � ces successions multid�cennales de r�chauffements et de refroidissements et � leurs cons�quences, c’est aussi absurde que d’�tre « contre » la rotation de la terre au motif qu’elle se traduit par un ph�nom�ne de saisons... On sait parfaitement se prot�ger du froid en hiver et de la chaleur en �t� ; il ne devrait pas �tre beaucoup plus compliqu�, une fois qu’on les aura bien compris, de savoir s’adapter � ces cycles naturels � plus grande �chelle !«
  
  L� dessus nous sommes d’accord on ne peut �viter ce qui est effectivement in�vitable, il faut s’adapter ... Mais esp�rer qu’il ne soit pas trop tard n’est pas mal non plus, me parait plus humain et surtout moins d�faitiste. Pourtant je suis souvent le premier � r�sumer �a en trois mots »c’est trop tard" mais au font de moi en v�rit� je garde toujours un espoir, l’espoir que toutes esp�ces puissent jouir de leur pr�sent comme leur ascendances ont joui du leur .
  
  Pour le cycle de 150 ans je n’y crois pas parce que je pense qu’� l’�chelle terrestre �a fait court .
  
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- NICOPOL 27 juillet 2012 21:00
  
  Je n’ai pas du tout dit que ce n’�tait « pas grave », j’ai dit que c’�tait un ph�nom�ne naturel cyclique. Un scientifique ne juge pas du caract�re « positif » ou « n�gatif » en soi de la disparition ou au contraire de la croissance d’une esp�ce animale ou v�g�tale donn�e, il se contente de l’observer, de l’expliquer et de tenter d’en comprendre les cons�quences.
  
  Donc, je ne me r�jouis bien entendu pas de la disparition de telle ou telle esp�ce de scarab�es, ou de la d�gradation des conditions de vie d’�tres humains dans certaines r�gions du globe ; et, cela vous a peut-�tre �chapp�, je suis le premier � esp�rer que nous trouverons les solutions pour savoir un jour nous prot�ger de l’impact de ces changements climatiques, � la hausse comme � la baisse.
  
  « Pour le cycle de 150 ans je n’y crois pas parce que je pense qu’� l’�chelle terrestre �a fait court . »
  
  Mouais. Il n’est pas question de « croire » ou non � ces cycles, mais seulement du fait qu’on les observe. Et actuellement, de plus en plus d’�tudes confirment l’existence de tels cycles de 60, 150, 1000 ans que sais-je encore. Apr�s, vous pouvez ne pas y croire comme vous �tes libre de croire que la terre est plate.
  
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- Wendigo 28 juillet 2012 14:56
  
  Donc en �coutant Nestor, la vie sur terre devrait encore comporter des dinosaures, des m�gat�rium et autres smilodon, en bref tout un tas de bestioles non addapt�es � notre plan�te aujourd’hui ....
  
  La nature n’a pas le droit selon vous Nestor d’avoir sa petite vie et de faire ses petits g�nocides, que seul sapiens en a le droit et le devoir ?
  
  Sinon, vous �tes au courant que notre soleil est en train de changer, tant dans ses fr�quences que dans sa polarit� ?
  Et selon vous, ces changements n’ont aucuns impactes sur notre plan�te et la vie qui se trouve dessus ?
  Nos p�les sont en train de d�river et de plus en plus vite (de 11Cm par an en 1976 � plus de 55Km en 2010) et cela ne peut affecter la vie sur terre selon vous ? Cela affecte la g�ologie, le climat et aussi la psych�, mais non, �a ne peut pas venir de �a, seul sapiens est apte et autoris� � faire dans le dramatique ..... c’est bien �a ?
  
  C’est bien la pens�e unique �a �vite de trop se poser qde question, vu que les r�ponses sont d�j� donn�es par la caste dominante !
  
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- Nestor 28 juillet 2012 15:51
  
  Wendingo ...
  
  Je vais te r�sumer la chose vite faite ...
  
  J’ai des potes paysans qui ont tout un tas de vieux produits toxiques style d�sherbants, fongicides, insecticides et ne savent pas quoi en faire ... J’ai peut-�tre trouv� la solution � leur probl�me ... Je vais trouver ton adresse et on ira tout d�verser chez toi ...
  
  Tu verras tu auras un magnifique gazon, bon tes m�mes risquent de tomber gravement malade et de perdre la vie, mais c’est pas grave tu serras leur expliquer que de toute fa�on les p�les d�rivent, que le soleil crame la terre et qu’une d’une mani�re ou d’une autre �a les aurait quand m�me tu� ...
  
  Quand on arrivera explique leur que m�me si ces produits sont hautement toxiques c’est pas grave la terre a d�j� pr�vu leur mort comme tu viens de me l’expliquer !
  
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- Wendigo 28 juillet 2012 18:15
  
  Heuuu excusez moi Nestor, mais si vous lisez avec vos miches alors au moins laissez les r�pondre, cela �vitera certainement un trop gros d�bit de conneries.
  Vous voulez parler de quoi ? r�chauffement ou bien pollution ?
  Non je vous demande �a, pour la bonne raison que dans le cadre du climat, la pollution n’entre pas en ligne de compte ou a dose infinit decimale.
  Donc svp, concentrez vous bien sur le climat, on verra pour vos d�chets en temps voulu.
  
  Bon pour faire simple, nous avons un bien plus s�rieux et vaste probl�me que ce r�chauffement m�diatique et ce PB s’appel « le soleil » !
  Ca ne vous parle peut �tre pas trop, mais dans sa phase actuelle, il peut nous faire n’importe quelle crapulerie, comme nous ramener � l’age de pierre, ou plus simplement nous exterminer et ce en moins de 48 H. Il est pr�t l�, il ne fait que nous faire patienter.
  Il nous d�truit notre bouclier magn�tique, nous d�place les p�les, nous ruine le climat auquel nous sommes habitu�s et influance de fa�on majeur la g�ologie. Vos potes p�ysans en font ils autant ?
  Votre pollution qui vous semble chere, n’aura sa r�elle importance que lorsque que notre soleil nous aura fait un coup de pute, ce qui selon les instituts concern�s devrait arriver entre 2013 et 2015. (m�me pas question de 2012, c’est con, pour les contre arguments)
  
  Vous savez ce que cela fait d’avoir les p�les magn�tiques qui s’inversent ? Vous avez d�j� vu le soleil se lever au sud ?
  Et des �ruptions solaires sans protection magn�tique, vous connaissez ? c’est charmant, des aurores bor�ales au ras du sol la terre cram�e sur 20 � 30 cm de profondeur, plus de technologie.
  Et tout cela berc� par une g�ologie en folie et par la suite un climat qui affiche les �C en n�gatif 10 mois par an.
  A chaque fois, c’est 98% de ce qui vit sur terre qui y passe, c’est r�gl� comme du papier � musique. Et voila de quoi nous parlons.
  
  Et c’est qu’apr�s cela que nous pouvons parler pollution et c’est l� que je vous rejoint, car grace � nos activit�s industrielles, la petite marge de 2% de survivant au niveau des esp�ces. ( J’ai bien dis « des esp�ces » et non des individus) Va r�duir comme peau de chagrin, pour tomber dans un taux en d�cimale.
  
  Mais vu que j’aime bien faire les choses dans l’ordre il est primordiale de commencer par le commencement, et � l’homo sapiens de ne pas s’ocroyer les grandes responsabilit� au m�pris de ses propres erreures, ses propres horreurs.
  Voila pour ce qui est du climat actuel et ce sur quoi cela va d�boucher prochainement
  
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- Nestor 28 juillet 2012 21:49
  
  "Heuuu excusez moi Nestor, mais si vous lisez avec vos miches alors au moins laissez les r�pondre, cela �vitera certainement un trop gros d�bit de conneries.
  Vous voulez parler de quoi ? r�chauffement ou bien pollution ?«
  
  Bon, tu parlais de g�nocide que la terre �tait capable de faire et moi je parlais du r�chauffement de la terre cr�er par l’homme ... La r�chaufement de la terre cr�er par l’homme n’est-il pas lui aussi une pollution ? Peut-�tre indirectement, mais on peut je pense le consid�rer comme tel ... Non ? C’est le fait de polluer qui r�chauffe non, industries patati et patata je ne fais pas tout te citer ...
  
  J’ai pris comme argument les produits toxiques pour dire que ce n’est pas parce que la terre, le soleil, l’inversement des p�les ou autres peu nous an�antir du jour au lendemain en un clin d’œil que nous sommes nous aussi oblig�s de continuer ce mode de vie qui pollue, qui r�chauffe, qui d�truit. Comme ce n’est pas parce que l’on va �tre an�antie par tel ou tel chose que je peux permettre de d�verser des produits chimiques (mortels) autour de ta maison la o� jouent tes enfants ...
  
  Ce que je voulais expliquer, c’est que m�me si les esp�ces peuvent �tre an�anties par autre que l’homme c’est pas une raison pour que l’homme s’en foute totalement de la plan�te en se disant de toute fa�on nous sommes (les esp�ces) condamn�es, alors � quoi bon se faire chier � changer quoi que ce soit !
  
  Ce que je dis plus l� en dessus r�pond aussi � cette phrase → »on verra pour vos d�chets en temps voulu. "
  
  Pour le reste de ton commentaire, bien-s�r je trouve que �a fait flipper et que je me sens concern�. Comme toi je m’informe sur tout ce qui pourrait arriver. Bien s�r un mauvais tour de notre soleil qui cr�erait un inversement des p�les ou autres truc que l’on ne s’imagine m�me pas, je suis effectivement conscient de �a !
  
  Mais je suis aussi conscient qu’un tel cataclysme je ne peux comme toi ni personne rien y changer, par contre la pollution et le r�chauffement �a oui, il y a moyen de l’am�liorer, c’est de l’�chelle de l’homme ...
  
  « la pollution n’entre pas en ligne de compte ou a dose infinit decimale. »
  
  C’est pas une raison pour continuer � l’augmenter et de s’en foutre, car pour l’instant le soleil ne nous as pas an�antie et les aurores bor�ales existaient avant l’homme donc on peut oui se dire que le soleil ou autre peuvent nous an�antir, mais rien n’est s�r et de toute fa�on m�me si la dose dont tu parles �tait une r�alit� ce n’est pas une raison pour continuer � d�glinguer la plan�te ...
  
  De ce cot� l� la science am�ne des th�ses pas des v�rit�s, on pourra parler de v�rit� le jour o� il sera trop tard pour nous, mais avant �a on est s�r de rien, par contre la pollution et le r�chauffement eux sont bels et bien r�els ...
  
  En tout cas d’en parler reste int�ressant et je dirais reste malheureusement int�ressant car �a prouve que nous (les esp�ces) sommes oui malheureusement � la merci de tout un tas de trucs, mais il a les trucs que l’on peut changer ou modifier et il y a d’autres truc contre lesquels on ne peut malheureusement rien ...
  
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- Wendigo 29 juillet 2012 20:17
  
  @ Nestor ;
  
  Mais il a r�chauff� quoi ton babouin � la con que t’appel « homme » ????
  
  Tu crois quoi , que toi et ta troupe de maccaques endiabl�s vous �tes plus costaud que le soleil ????
  Ce merdier tourne depuis 7.5 milliard d’ann�e , fait 1300 fois la taille de notre plan�te pompe plus de 300 million de tonne d’hydrog�ne � la seconde, te rebalance toutes les couleurs de rayonnement possible et imaginable dont certains que l’on ne connait m�me pas et tu veux faire pire que lui ???
  
  Mais dans tes r�ve mon gars, la seule polution du � l’homme dans cette histoire c’est la polution c�r�brale que certains enfl�s vous ont fouttue dans le crane !
  
  Ton r�chauffement � la con n’aura m�me pas dur� 15 ans et le pire et �a tu devrais quand m�me le savoir si tu n’est pas pas dans le cadrede la pens�e unique, c’est que ton r�chauffement de mes deux il s’est fait ressentir jusque sur Mars , Venus, Jupiter, Saturne ....
  Putain vous �tes fort les mec, vous avez r�ussi � poluer des lieux o� vous n’etes jamais all� !!
  
  Redescent sur terre et de ton pied d’estale mon gros, sapiens et ses 1500Cm3 de merde c�r�brale n’a aucunment les capacit� de faire un tel truc, seul une puissance infinimant sup�rieur le peut.
  Toute notre industrie ne rebalance m�me pas 1% de de ce que rejette les oc�ans en CO� ..... 0,47% pour �tre �xacte.
  
  Arr�te donc de voir ton esp�ce plus grande quelle n’est et quelle arr�te de vouloir p�ter plus haut que son cul, le jours ou vous pollurez autant qu’un volcan, ou qu’une temp�te solaire faites moi signe, parce que l� vous aurez fait un miracle, mais pour l’instant cette th�orie r�chauffiste, est en train de vous masquer l’essentiel et c’est le but recherch� .... d�tourner l’attention.
  T’a pas encore capt� que ceux qui te bourrent le crane avec cette connerie faramineuse sont les m�me qui te vende les « guerres propres » « les guerres humanitaires », tu ne les crois plus quand il s’agit de politique mais l� tu gobe ?!
  
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- Wendigo 29 juillet 2012 20:19
  
  Rechauffement solaire en vid�o si ce coup l� elle passe ...
  
  http://www.youtube.com/watch?v=DeLpGSF7SLs
  
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- Wendigo 29 juillet 2012 20:25
  
  Au fait Nestor, tu sais comment on refroidit une pi�ce ? en la remplissant de CO� !
  donc explique moi comment un gaz froid peut r�chauffer ?
  Ton monde se refroidit actuellement (-1�C depuis 2005) pourtant les activit�s humaines n’ont pas r�duit ..... selon toi c’est la taxe carbone qui rafraichit l’atmoshp�re ou quelques connards vous auraient bourr�s le mou ?
  
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- Nestor 29 juillet 2012 22:32
  
  Salut Wendigo ...
  
  Bon je tiens � te dire que ton premier com m’a bien fait marrer, pas dans le sens o� je me fous de ta gueule, mais de la fa�on dont tu l’exposes ...Il m’a bien explos�, bien marrant !
  
  T’as un bon humour et une bonne r�partie ... t’as l’air sympa !
  
  Sinon bon ben je l’ai compris ce message ... On va tous crever ... Je peux donc continuer de fumer comme un pompier ...
  
  J’ai vu ta vid�o, d’accord les plan�tes se r�chauffent ... � cot� de �a l’univers se refroidit, les galaxie s’�loignent les unes des autres ... Je sais que �a changera pas grand chose (je pr�f�re te le pr�ciser parce que je suis s�r que t’aurais cru que je voulais dire que �a compenserait) ...
  
  Pour la pi�ce, il me semble que j’ai d�j� entendu parler de �a ... J’ai fait beaucoup de biologie, physique et de chimie et plein plein d’exp�riences en physique et chimie ... Des fois m�me des trucs de dingues. Avec des potes une fois nous avons m�me failli faire sauter une baraque, un des mur de la maison a vol� en �clat et nous on s’est retrouv� tous les quatre projet�s � travers une grande pi�ce. Un de mes potes a fini � l’hosto dans le comas et un autre c’est cass� un bras et la m�choire il est retomb� sur un table en inox ... Nous les deux autres nous avions quelques �gratignures mais bon �a a �t�, par contre on entendait plus rien ... T’aurais vu cette d�flagration un truc de ouf ... Un truc qui p�te bien sec ... Hydrog�ne quoi !
  
  Bon sinon fait quant m�me attention � ne pas trop d�glinguer m�re nature en attendant que le soleil nous explique sa fa�on de voir les choses ... (Ma « tenacitude » ne me l�che que tr�s rarement).
  
  Et si je devais r�sum� ce que tu dis, je dirai que le soleil et comme la m�re poule qui couve (r�chauffe) ses œufs (les plan�tes) pour les faire �clore ( .... ) ...
  
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- Nestor 29 juillet 2012 22:41
  
  � aussi j’ai oubli� de te dire que si �a se trouve c’est peut-�tre � toi qu’on bourre le mou pour que tu continues � consommer comme un cochon sans te faire de bile ...
  
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Al West 27 juillet 2012 12:56

Bonjour,

A ceux qui pensent qu’il n’existe pas de voies dissidentes au sein de la communaut� scientifique - la vraie - il y a eu une r�union regroupant plus de 1000 scientifiques fortement climatosceptiques en 2008, 2009 et 2010 - � comparer aux 52 scientifiques de l’IPCC qui dicte l’�volution du climat - que vous pouvez retrouver ici :

http://www.climatedepot.com/a/9035/SPECIAL-REPORT-More-Than-1000-International-Scientists-Dissent-Over-ManMade-Global-Warming-Claims—Challenge-UN-IPCC—Gore

Parmi eux, il y a certains membres de l’IPCC, des anciens de la NASA, un prix Nobel, etc. Pas que des guignols donc.

Vous pouvez aussi lire cet article, plus court et qui relie �galement les probl�matiques environnementales et financi�res.

http://globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=32024

Tout est en anglais, je n’ai pas le temps de traduire pour les francophones, d�sol�. Deux phrases choisies du rapport de 2010 :

« Toute analyse scientifique raisonnable doit conclure que cette th�orie est fausse !! » Dr. Leonard Weinstein, a travaill� 35 ans � la NASA et y a fini sa carri�re en tant que Senior Research Scientist.

« S’il vous pla�t, restez calme : la Terre va se r�chauffer toute seule. Le contr�le du climat n’est pas � notre port�e... La Terre ne se soucie pas des gouvernements ou de la l�gislation. Vous ne pouvez pas vraiment trouver de r�chauffement global dans les observations climatiques actuelles. Le changement climatique est une affaire de temps g�ologiques, quelque chose que la Terre effectue de fa�on routini�re elle-m�me sans demander l’autorisation de quiconque ou en s’en expliquant. » Dr. Robert B. Laughlin, prix Nobel de physique.

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- Leo Le Sage 27 juillet 2012 14:50
  
  @Par Al West (xxx.xxx.xxx.219) 27 juillet 12:56
  Commentaire pertinent...
  Il vaut mieux parler de changement climatique.
  C’est un �v�nement cyclique...
  
  Cordialement
  
  Leo Le Sage
  (Personne respectueuse de la diff�rence et de la pluralit� des id�es)
  
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- chria 27 juillet 2012 14:54
  
  Avis bourr�s de termes subjectifs et appuy�s sur aucune publication.
  
  Il y a bien des d�bats au sein de la communaut� scientifique mais cela ne veut pas dire que c’est les contre et les pour qui s’affrontent. C’est bien plus complexe que cela. En attendant, la th�orie dominante reste que l’envoi massif de GES dans l’atmosph�re r�chauffe(era) celle-ci, toute chose �gale par ailleurs.
  Le reste n’est que politique et id�ologie.
  
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- Al West 27 juillet 2012 17:48
  
  Bonjour chria,
  
  Soit vous n’avez pas lu le rapport dont je donne le lien, soit vous mentez �hont�ment. Il est tr�s clairement prouv� dans ce rapport, liens � l’appui, que d’une part les scientifiques d�fendant la th�orie officielle ne sont pas aussi nombreux que pr�tendu, que les lobbys exercent une immense pression pour promouvoir la version unique, et que de tr�s nombreux scientifiques de renomm�e internationale rejettent la version officielle.
  
  Les publications ne prouvent absolument rien, c’est celui qui finance le journal scientifique qui contr�le ce qui y est publi�. Vous n’avez qu’� lire les avis des scientifiques donn�s dans les lettres ouvertes qu’ils ont �crites entre autres � Barack Obama, Angela Merkel ou Ban Ki Moon.
  
  Je ferai remarquer aux autres lecteurs que vous mettez par ailleurs une hargne �vidente � contredire chaque message qui envisage une version diff�rente de celle promue par le GIEC.
  
  J’invite donc tous les lecteurs anglophones � lire ledit rapport pour constater l’absence de d�bat scientifique qu’il y a � ce propos.
  
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foufouille 27 juillet 2012 13:43

a part le soleil, il y a aussi des « petits » brise glace qui font des routes pour les tankers
des camions qui approvionnent des stations de craquage de la glace contenant du gaz
etc

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- chria 27 juillet 2012 15:43
  
  Sauf que
  1) l’�cologie politique et la science climatique ne sont pas du tout la m�me chose... M�me si les avis du Giec rejoignent la vision des �colos (et alors ?).
  2) il n’y a pas d’exemple de d�couverte scientifique qui aurait remis en cause le fonctionnement du syst�me climatique tel que compris et le r�le des GES...
  
  Tout �a n’est que du bla bla sans fondement.
  
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- NICOPOL 27 juillet 2012 18:58
  
  @ Edelweiss
  
  Merci de votre intervention tr�s pertinente.
  
  @ Chria
  
  Vous alignez quand m�me une s�rie de d�claration p�remptoire sur le fait que « aucune d�couverte, aucun scientifique s�rieux etc. ne remet en cause la th�orie du GIE ». Malheureusement pour vous, c’est tout simplement FAUX.
  
  Allez, un exemple parmi d’autres pour vous faire plaisir : TOUS les mod�les d’effet de serre utilis�s par le GIEC pr�disent que le r�chauffement climatique devrait �tre plus important au-dessus de l’�quateur dans la partie sup�rieure de la troposph�re (10 km d’altitude). C’est le fameux « hot spot », consid�r� comme la « signature » de l’effet de serre et qui, sil �tait observ�, serait donc une confirmation �clatante de la validit� des projections des mod�les. H�las... Que croyez-vous que les mesures de temp�ratures par ballon-sonde et satellite ont montr� ? Que cette zone de l’atmosph�re se r�chauffe environ 10 fois moins que pr�vu par les mod�les, et semblent m�me plus froide que son environnement ! Damned ! Voici une pr�diction majeure des th�ories du GIEC qui est radicalement contredite par l’observation ! Dans n’importe quel d�bat scientifique, cet �norme �cart pr�vision-r�alit� remettrait s�rieusement en cause les mod�les th�oriques de l’effet de serre. Croyez-vous que cela ait �t� le cas en climatologie ? On rigole.
  
  En affirmant que rien ne remet en cause les th�ories du GIEC, vous ne faites donc que r�p�ter comme un perroquet la d�sinformation d’Al Gore et du GIEC selon laquelle « the science is settled ». Vous accusez les autres d’ « id�ologie », mais vos interventions d�montrent que c’est vous qui �tes partisan d’une th�se fausse, ou du moins s�rieusement fragilis�e, en refusant d’admettre qu’il y a peut-�tre un probl�me. C’est tr�s exactement le contraire d’une d�marche scientifique telle que d�finie par Carl Popper, laquelle consiste � d�fendre un mod�le tant que les faits ne le contredisent pas, mais � �tre le premier � le remettre en question ou � l’abandonner si des �l�ments viennent l’invalider.
  
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Jean Lasson 27 juillet 2012 15:09

Concernant la fonte des glaciers, elle peut �tre due � trois facteurs : la temp�rature, les pr�cipitations et la luminosit�. Les deux derniers facteurs sont reli�s par une corr�lation inverse. Or, pr�cipitations et surtout luminosit� sont, de loin, les facteurs dominants, la temp�rature n’agissant qu’� la marge des grands glaciers.

Exemple : les « neiges » du Kilimandjaro disparaissent � une altitude o� la temp�rature demeure n�gative toute l’ann�e. Leur disparition est imputable � une baisse des pr�cipitations et � une augmentation de la luminosit�. La glace y dispara�t par sublimation.

Ainsi, l’�volution des glaciers ne nous dit rien sur l’�volution des temp�ratures. Au contraire m�me, une �l�vation des temp�ratures augmente le contenu d’eau vapeur dans l’air et baisse sa luminosit�. Des �tudes ont montr� que l’�l�vation des temp�ratures engendre une augmentation des pr�cipitations. Bien s�r, tout ceci n’est valable qu’en r�gime « normal », pas en p�riode glaciaire (baisse d’au moins 5�C des temp�ratures).

PS : le raisonnement sur la glace de mer (les banquises) est compl�tement diff�rent.

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- NICOPOL 27 juillet 2012 19:07
  
  Bonjour M. Lasson,
  
  Merci pour votre intervention qui contribue � ramener sur le terrain scientifique cette discussion autour de l’�volution des glaciers.
  
  Effectivement, il n’est pas certain qu’il y ait un lien direct entre temp�rature et fonte des glaciers ; c’est bien les partisans de l’« effet de serre » qui font appel � cette loi de cause-�-effet simpliste pour nous faire croire que le « r�chauffement climatique » va faire fondre les glaciers et monter le niveau de la mer.
  
  E,n revanche, il semble bien y avoir un lien entre l’�volution des glaciers et l’AMO, qui laisse � penser qu’un 4i�me facteur pourrait intervenir, celui de la circulation thermohaline ; mais � ma connaissance, il n’existe pas � ce jour de th�orie scientifique pour expliquer ce lien (mais je peux me tromper). Toujours est-il qu’on commence � percevoir aujourd’hui toute une s�rie de ph�nom�nes climatiques ob�issant � des cycles d’environ 60 ans ; la temp�rature et la fonte des glaciers n’auraient donc sans doute pas de lien de causalit� direct entre eux, mais un m�me facteur explicatif li� aux AMO (dont on se doute de plus en plus qu’elles soient elles-m�mes reli�es aux cycles du soleil).
  
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- Jean Lasson 27 juillet 2012 21:32
  
  Bonjour Nicopol,
  
  Je suis tr�s dubitatif sur un lien entre AMO et �volution des glaciers (auriez-vous une r�f�rence dans ce sens ?). Par contre, le lien entre AMO et banquise (glace de mer) est lui tr�s �vident... Peut-�tre avez-vous confondu les deux ?
  
  PS : sauf erreur de ma part, les �quipes de CLOUD ont publi� un premier article l’an dernier. Bien que tr�s prudent, l’article confirme l’hypoth�se de Svensmark.
  
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- NICOPOL 27 juillet 2012 22:08
  
  Bonjour M. Lasson,
  
  Sur le lien AMO / glaciers : comme je l’ai pr�cis�, il n’existe pas � ma connaissance d’hypoth�se pr�cise aujourd’hui concernant un m�canisme qui lierait AMO et glaciers (je parle bien des glaciers continentaux). Par contre, on a mis en �vidence d’une part une corr�lation entre temp�rature et fonte des glaciers (je cite quelques publications r�centes dans mon article), d’autre part une corr�lation entre AMO et temp�rature (j’ai mis le lien dans mon article : http://www.lanl.gov/source/orgs/ees/ees14/pdfs/09Chlylek.pdf). Ceci indique donc m�caniquement qu’il y a aussi une corr�lation entre AMO et fontes des glaciers.
  
  Maintenant, effectivement � ma connaissance il n’y a pas eu de publication scientifique proposant un m�canisme pr�cis expliquant cette corr�lation. Mais une possibilit� toute simple serait que l’AMO influe sur la temp�rature qui � son tour influe sur la fonte des glaciers...
  
  Concernant le premier article publi� sur l’exp�rience CLOUD : l� aussi, je le cite dans mon article avec m�me le lien :
  
  http://press.web.cern.ch/press/PressReleases/Releases2011/PR15.11E.html
  
  SI je puis me permettre, il me semble donc que vous n’avez pas lu tr�s en d�tail l’article, ou du moins que vous n’avez pas eu la curiosit� d’ouvrir les liens !
  
  Cordialement,
  
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Corbeau 27 juillet 2012 15:28

Cet article se r�sume � 2 points :

1) L’auteur d�couvre en lisant l’article relatant le d�gel presque total de la surface de la calotte du Groenland que cela s’est d�j� produit dans le pass�.
2) Il nous expose (rapidement) la th�orie de Svensmark selon laquelle le rayonnement solaire serait la principale cause du r�chauffement climatique observ�.

Notre auteur se sert de ces 2 points, qui n’ont pas grand chose � voir, pour d�montrer par un raisonnement tr�s sp�cieux que l’ensemble des travaux du GIEC est � jeter.

Bof, on dirait du Claude All�gre...

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- NICOPOL 27 juillet 2012 19:16
  
  Vous n’avez pas bien saisi le raisonnement, me semble-t-il.
  
  1) L’auteur d�couvre en lisant l’article relatant le d�gel presque total de la surface de la calotte du Groenland que cela s’est d�j� produit dans le pass�.
  
  Je ne l’ai pas « d�couvert » en lisant cet article, puisque j’indique justement que, pour ceux qui suivent d’un peu pr�s l’�tat de la science climatique, c’est tout sauf une surprise car d�j� d�montr� par plusieurs �tudes ant�rieures.
  
  Or, il est bien clair que ces observations suffisent � remettre en question la th�orie du GIEC, dont les mod�les � effet de serre ne peuvent tout simplement pas reconstituer et expliquer ces variations cycliques (et pour cause, ils ne prennent pas en compte de tels ph�nom�nes naturels cycliques, mais seulement le CO2 anthropique et les r�troactions positives qui vont bien). Ceci montre que, au mieux la th�orie du GIEC est incompl�te, au pire elle est fausse.
  
  2) Il nous expose (rapidement) la th�orie de Svensmark selon laquelle le rayonnement solaire serait la principale cause du r�chauffement climatique observ�.
  
  Je me contente d’y faire mention, effectivement rapidement, pour mentionner le fait qu’il existe une th�orie alternative � celle du GIEC qui semble incapable d« expliquer correctement ces ph�nom�nes cycliques.
  
  »Notre auteur se sert de ces 2 points, qui n’ont pas grand chose � voir, pour d�montrer par un raisonnement tr�s sp�cieux que l’ensemble des travaux du GIEC est � jeter.«
  
  Pas du tout. Je n’ai besoin que du premier point pour d�montrer par un raisonnement qui n’a rien de sp�cieux (ou alors il vous faut le prouver) que la th�orie fondamentale du GIEC est d�ficiente. Le 2i�me point n’est l� que pour rappeler l’existence de cette th�orie alternative a priori plus prometteuse.
  
  Vous me reprochez donc un »raisonnement sp�cieux", mais ce raisonnement sort de votre imagination et ne correspond en rien � la logique de l’article. Tout �a pour dire que votre intervention est un peu � c�t� de la plaque...
  
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iciailleurs 27 juillet 2012 17:59

Moi, je suis nul en scientisme.
Que l’on m’explique, si les calottes fondent, � quelle temp�rature l’eau de fonte se m�le-telle � l’eau de l’oc�an ? Et quelle serait l’action sur le Gulf Stream ? Parce que s’il s’arr�te, il va falloir pr�voir du chauffage pour presque toute l’ann�e.

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- Wendigo 29 juillet 2012 20:34
  
  Ce n’est pas la temp�rature de l’eau de fonte qui est � prendre en compte, mais juste la salinit� de l’eau oc�anique, l’eau douce plus l�g�re fait plong� l’eau plus fortement charg� en sel, une fois arriv� vers 1m de profondeur, le courant thermohalin qu’est le Gulfstream s’arr�te entrainant dans sa chute le jetstream et apportant sur l’europe une glaciation.
  Et c’est ce qui vient de se pass� ce printemps, d’o� la m�t�o de merde que nous avons depuis deux mois, normal les courants a�riens nous viennent actuellement du pole nord.
  Mais shutt je ne t’ai rien dit, les autorit� sont avertient par la NASA le SSRC et bien d’autres instituts depuis 1998.
  La th�orie du r�chauffement c’est pour faire diversion, vu qu’il ne reste pas assez de carburant pour chauffer tout le monde nos �lites ont tranch�s.
  
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jacques lemiere 27 juillet 2012 18:12

L’auteur va un peu trop loin compte tenu des �l�ments qu’il avance,

le d�gel du Groenland est bien sur un exemple typique de ’l’inculture scientifique des journalistes, quand on lit la revue de presse c’est plut�t 87 du Groenland a fondu !

Tout ce d�bat repose sur la foi, certains pensent qu’on comprend les param�tres qui influent sur le climat, d’autres non...
Mais paradoxalement , c’est le fait que es mod�les climatique puisse pr�dire ce qui va se passer et simule correctement le climat qui donnerait des �l�ments en faveur de la th�orie du giec !
DONC on verra !

Un point me chiffonne, c’est les corr�lations intrigantes entre activit� solaire et climat, on pense ce qu’on veut mais c’est une �pine dans le pied des th�ories du giec.

Pour le reste le giec et surtout ceux parmi les verts qui soutiennent ces th�ories de fa�on id�ologique font tr�s bien eux m^me leur propre contre publicit�.

PS je ne suis pas regardant sur l’orthographe et la grammaire mais septique � la place de sceptique au d�butt je me demandais si c’etait de l’humour.

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- Corbeau 27 juillet 2012 18:47
  
  En fait les corr�lations entre l’activit� solaire et la temp�rature ne sont pas �videntes. Il y a un d�bat scientifique l� dessus qui n’est pas clos.
  En gros les climatologues reconnaissent que le rayonnement solaire a jou� un r�le dans les changements climatiques du pass� (via le formation des nuages, pour faire simple). Pour ce qui concerne le r�chauffement actuel, il est tr�s bien corr�l� � l’activit� industrielle (le rejet de CO2) mais de fa�on beaucoup moins �vidente au rayonnement solaire.
  
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- NICOPOL 27 juillet 2012 19:22
  
  Bonjour,
  
  Merci pour votre message plein de bon sens.
  
  "Mais paradoxalement , c’est le fait que es mod�les climatique puisse pr�dire ce qui va se passer et simule correctement le climat qui donnerait des �l�ments en faveur de la th�orie du giec !«
  
  C’est bien le coeur du d�bat ! Nous avons d’un c�t� des mod�les � effet de serre qui ne permettent pas de reconstituer l’�volution pass�e de certains ph�nom�nes climatiques et n’avaient pas pr�vu la p�riode de refroidissement actuelle ; de l’autre, des th�ories solaristes qui expliquent beaucoup mieux l’�volution historique du climat et avaient pr�dit, ou du moins expliquent de fa�on satisfaisante, le refroidissement actuel. Entre ces 2 mod�les, mon choix est donc vite fait.
  
  »Pour le reste le giec et surtout ceux parmi les verts qui soutiennent ces th�ories de fa�on id�ologique font tr�s bien eux m^me leur propre contre publicit�.«
  
  C’est exactement cela ! L’acharnement des partisans de la th�orie du GIEC � d�fendre envers et contre tout leur position est non seulement non-scientifique, mais encore contre-productive au vu de leurs objectifs louables en soi de meilleure protection de l’environnement.
  
  »PS je ne suis pas regardant sur l’orthographe et la grammaire mais septique � la place de sceptique au d�butt je me demandais si c’etait de l’humour."
  
  Malencontreuse coquille qui avait �chapp� � ma relecture... Mais je ne dois pas �tre le premier � la faire !
  
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- NICOPOL 27 juillet 2012 19:42
  
  @ Corbeau
  
  Ce que vous dites est inexact. Sur une courte p�riode (en gros fin 70 - d�but 2000), la th�orie de l’effet de serre permet effectivement de retrouver la hausse de temp�rature constat�e ; mais encore faut-il rappeler que c’est en injectant dans les mod�les un certain nombre de « r�troactions positives » sans lesquelles le seul effet de serre ne permettrait de retrouver qu’une faible proportion de la hausse constat�e. Or, ces r�troactions positives restent des hypoth�ses non d�montr�es scientifiquement ; au contraire, certaines �tudes bas�es sur l’observation montrent que pour certaines d’entre elles, ce que l’on int�gre comme r�troaction positive dans les mod�les climatiques fonctionne dans la r�alit� comme une r�troaction... n�gative.
  
  C’est en particulier le cas de la r�troaction positive fondamentale hausse du CO2 -> hausse de la temp�rature -> hausse de l’�vaporation des oc�ans -> hausse de la vapeur d’eau -> hausse de l’effet de serre -> hausse de la temp�rature etc. La capacit� des mod�les du GIEC � retrouver la hausse de temp�rature des ann�es 80 et 90 d�pend de fa�on essentielle de cette r�troaction. Mais, fatalitas ! Les observations scientifiques montrent que au contraire cette r�troaction est n�gative : la concentration de vapeur d’eau dans l’atmosph�re a diminu�, et non augment�, sur la m�me p�riode ! Voil� qui contredit radicalement une hypoth�se clef des mod�les du GIEC ; et bien �videmment, si vous enlevez cette r�troaction ou la prenez en compte n�gativement, vos mod�les seront tout � fait incapables de retrouver la hausse de temp�rature de ces d�cennies !
  
  Donc, contrairement � ce que vous dites, le r�chauffement de la fin du XXi�me si�cle n’est pas du tout bien corr�l� avec l’activit� humaine, bien au contraire. Par ailleurs, actuellement, il n’y a pas de r�chauffement : il y a stagnation, voire refroidissement. Et �a, les mod�les climatiques � effet de serre sont totalement incapables de l’expliquer. M�me les sp�cialistes de ces mod�les utilis�s par le GIEC le reconnaissent et s’interrogent aujourd’hui sur ce point (voir le lien dans mon article).
  
  Au contraire, et l� encore contrairement � ce que vous dites, la baisse de temp�rature actuelle est tout � fait coh�rente avec l’�volution des cycles solaires, qui montrent une intensification depuis en gros le milieu des ann�es 70. Au contraire, on pense aujourd’hui que le soleil est en train d’entrer dans un cycle « bas » qui est tout � fait coh�rent avec la baisse constat�e ces derni�res ann�es ; la crainte serait m�me que l’on entre dans un « Grand Minimum Solaire » et que donc le refroidissement s’intensifie. On ne devrait donc pas tarder � voir resurgir des pr�visions alarmistes comme celles des ann�es 70 sur un « nouvel �ge glaciaire » !
  
  Pour une revue de l’�tat de la recherche scientifique actuelle sur les corr�lations soleil - climat, voir http://www.pensee-unique.fr/theses.html#opposant (encore une fois, vous pouvez penser ce que vous voulez de la partialit� de l’auteur du site, cela ne remet pas en question le s�rieux et la validit� des �tudes et articles scientifiques auxquels il fait r�f�rence).
  
  Pour ce qui est du SOLEIL, l’explosion permanente et continue qui nous r�chauffe n’est pas parfaitement constante. Elle subit des variations cycliques (tous les onze ans environ) au cours desquelles le soleil semble « pulser », c’est � dire que le soleil rentre p�riodiquement en �ruption puis se calme peu � peu jusqu’aux �ruptions suivantes. L’amplitude de ces suites d’�ruptions n’est pas constante d’un cycle � l’autre, pas plus que leur dur�e (autour de 11 ans) et, justement, notre soleil est l’objet, depuis quelques dizaines d’ann�es, d’une s�rie de pulsations particuli�rement �nergiques...assez rares dans l’histoire r�cente de notre syst�me solaire .
  
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- jacques lemiere 28 juillet 2012 08:20
  
  En effet, il y a beaucoup de corr�lation climat/activit� solaire mais surtout au point de vue local, le climat est avant tout une machine avec des circulations de fluides, il n’y a gu�re que le CO2 ou la l’intensit� du rayonnement solaire qui puissent avoir des effets « globaux ».
  
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- NICOPOL 28 juillet 2012 16:50
  
  Pour les gaz � effet de serre (car il n’y a pas que le CO2), le lien avec la temp�rature n’est pas encore d�montr� avec certitude aujourd’hui (la th�se qui semble plut�t prometteuse est celle, inverse, qui consiste � dire que c’est la temp�rature qui fait �voluer le CO2 - pas celui d’origine humaine, bien s�r, mais le CO2 global - par rejet du CO2 contenu dans les oc�ans).
  
  Pour le soleil, ce n’est pas � proprement parler l’intensit� qui influe sur le climat : les calculs montrent qu’une variation d’intensit� de la lumi�re solaire arrivant sur notre plan�te n’a qu’un impact marginal (et c’est d’ailleurs bien cela qui conduit les adversaires de la th�se solaristes � �carter ou minimiser l’effet du soleil dans leurs mod�les). Le m�canisme qui est envisag� actuellement, notamment par Svenmark, n’a rien � voir avec l’intensit� : c’est celui d’un lien activit� solaire -> rayons cosmiques -> formation des nuages -> climat. L’exp�rience CLOUD en cours est en train de v�rifier le lien rayons cosmiques -> formation des nuages.
  
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Cassiop�e R 27 juillet 2012 18:51

Le r�chauffement climatique provient de la surconsommation actuelle, dont la d�forestation est aussi une des composantes, comme les glaces du groenland (pays vert du nom d’origine pour vous faire plaisir). Les 3�me et 4�me pays les plus producteurs de Co2 sont le Br�sil et l’Indon�sie, qui par la culture intensive d�truise les espaces de vie v�g�tales et animales, et la participation des for�ts � l’oxyg�ne.

En quittant le monde des glaces (vertes ?), on apprends que l’acidification des oc�ans, c’est � dire les zones mortes (taper et voir sur wikip�dia) asphyxie, diminue la vie marine et ne permets plus les transferts d’oxyg�ne vers l’atmosph�re (ce qui �tait plus courant en 1889). En poursuivant, on constate une desertification des sols, un appauvrissement des sols qui sont des lieux de stockage de Co2, et dont la culture intensive qui se d�veloppe depuis la seconde r�volution agricole, r�duits les capacit�s terrestres de participer au cycle (tr�s m�connnu visiblement) du carbone.

Si on poursuit sa recherche, on constate que les rejets de gazs � effets de serre ont augment�s depuis la seconde r�volution, industrielle, c’est � dire bien apr�s 1889. Le d�veloppement du charbon, et du p�trole apr�s cette date, a permis de commercialiser des produits � l’�chelle mondiale. Le seuil scientifique de Co2 dans l’atmosph�re est scientifiquement calcul� � 350 ppm, et a �t� d�pass� � environ 390 ppm.

On peut se contenter de la (tr�s contest�e) bourse du carbone, et ses apports mon�taires, qui n’emp�che pas le Canada de s’y retirer avec une dette de 30 milliards de dollars canadiens, afin de l’effacer. De parler des b�n�ficiaires d’une capitalisation boursi�re, qui se veut �tre le plus « proche » d’une bio-compatibilit�.

L’acidification des oc�ans, la progression des rejets de carbone et de m�thane, l’�puisement des sols, la d�forestation ou la diminution de la biodiversit� expliquent apparemment les b�n�fices de la bourse de carbone (?).

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ykpaiha 27 juillet 2012 19:31

Les r�chaufistes = JO chauds et ensoleill�s
Les antis = gros riques d’orage et de d�luges en continuit� de ce que nous avons v�cu ces derniers mois
http://twitpic.com/aa6k36/full
http://www.weatheraction.com/docs/WANews12No31.pdf

La cause ? tout simplement le d�placement du gulfstream sous l’influence autre que le co2 ou bien son incensibilit� au m�dia....

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- amipb 28 juillet 2012 09:55
  
  Vous mettez un lien pour votre deuxi�me affirmation, mais aucune pour la premi�re. Voil� de nouveau un bel exemple de caricature.
  
  Le climat est un ph�nom�ne global et la temp�rature est �tablie en faisant cette moyenne globale. S’il y a un d�luge sur les JO de Londre et que la Russie, les Etats Unis et l’Am�rique du Sud sont sous une chaleur intense, l’effet de ce d�luge sera ridicule sur le calcul de cette moyenne.
  
  Quant au Gulf Stream, s’il se ralentit c’est, a priori, du fait du r�chauffement des masses d’eau au nord, ce qui a pour effet d’att�nuer la diff�rence de temp�rature Nord/Sud et donc l’effet de tapis roulant de ce courant.
  
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aberlainnard 27 juillet 2012 20:22

� l’auteur

"Voil� qui est tr�s g�nant pour les mod�les climatiques du GIEC : en ne faisant intervenir quasiment aucun m�canisme d’origine naturel dans leur mod�le, mais seulement un � for�age anthropique � li� aux gaz � effet de serre".

�a c’est compl�tement faux.

D’abord il n’y a pas de « mod�le du GIEC » ; il y a plusieurs mod�les ind�pendants d�velopp�s par des �quipes de chercheurs, ind�pendamment les unes des autres, de nationalit�s diff�rentes, qui tiennent compte bien �videmment de tous les param�tres naturels (astronomiques, g�ologiques, param�tres li�s � l’atmosph�re, aux oc�ans, � la biosph�re, � la cryosph�re) qui interviennent et d�terminent le r�gime climatique des diff�rentes r�gions du globe.

Il se trouve que lorsqu’il n’est tenu compte que des seules �missions de CO2 d’origine naturelle, les mod�les refl�tent � peu pr�s correctement les observations faites sur l’�volution du climat jusqu’aux alentours de 1950 et s’en �cartent assez nettement ensuite, alors que si l’on int�gre le surplus d’�mission de CO2 li� aux activit�s humaines depuis le d�but de l’�re industrielle, le r�sultat qui ressort de ces mod�les (ind�pendants, encore une fois) devient coh�rent avec les variations climatiques observ�es.

C’est tout ce que rapporte le GIEC qui en conclut logiquement que les �missions d’origine humaine participent tr�s probablement (avec degr� de fiabilit� proche de 99%, je crois) aux variations du climat. Rien de plus.

En quoi ce constat est-il choquant ? L’inverse serait plut�t surprenant.

Qu’est-ce qui vous chagrine tant, l�-dedans ?

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- NICOPOL 27 juillet 2012 20:53
  
  J’ai r�pondu plus ou moins � vos arguments dans d’autres r�ponses auxquelles je vous renvoie.
  
  Pour r�sumer, il est tout simplement faux de dire que les mod�les d’effet de serre permettent de reconstituer de fa�on satisfaisante les variations climatiques observ�es. En effet
  
  (i) les mod�les d’effet de serre ne reconstituent la hausse de temp�rature des ann�es 80 et 90 qu’en rajoutant des « r�troactions positives », et en premier lieu l’effet de la vapeur d’eau ; or, les observations montrent qu’il s’agit au contraire probablement d’une r�troaction n�gative (c’est-�-dire que la concentration en vapeur d’eau n’augmente pas dans l’atmosph�re lorsque la temp�rature augmente, mais diminue). Et, sans cette r�troaction positive, les mod�les d’effet de serre n’expliquent plus du tout cette hausse de temp�rature par le seul effet CO2
  
  (ii) les mod�les d’effet de serre ne permettent pas d’expliquer le refroidissement actuel, ni celui des ann�es 50-60 du reste.
  
  Ces 2 constatations factuelles et relativement banales suffisent, me semble-t-il, � avoir des doutes s�rieux sur le fait que "les �missions d’origine humaine participent tr�s probablement (avec degr� de fiabilit� proche de 99%, je crois) aux variations du climat« . Rien de plus.
  
  Ce qui me choque et me chagrine, comme vous dites, c’est donc de voir pr�sent�e comme »certaine � 99%" une th�orie valid�e par des mod�les compl�tement faux (car prenant en compte des r�troactions positives inexistantes, et minimisant au contraire l’effet de l’activit� solaire), et de plus en plus remise en question par l’observation.
  
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lulupipistrelle 27 juillet 2012 21:21

@L’auteur : juste en �coutant la radio, j’avais bien compris la manip...

Merci quand m�me pour votre belle d�monstration.

Le sujet est difficile : il n’ y a pire sourd que celui qui ne veut pas entendre... et comprendre.

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Leo Le Sage 27 juillet 2012 21:36

@AUTEUR/Par NICOPOL (xxx.xxx.xxx.12) 27 juillet 19:42
Vous dites : « la th�orie de l’effet de serre permet effectivement de retrouver la hausse de temp�rature constat�e »
Maintenant que vous le dites...
Si c’est le seul mod�le que l’on envisage alors effectivement c’est totalement faux. C’est �vident.
Je me souviens aussi que la hausse de la temp�rature sera d� en grande partie � la pollution humaine, notamment gr�ce � des preuves de d�p�ts de suie [un truc noir] sur les glaces de p�le nord.
Ce que je veux dire c’est que si le changement climatique devrait avoir lieu, c’est cette pollution qui va l’acc�lerer ce qui ne veut pas dire que la pollution en est � l’origine.
Une nuance de taille � mon avis.

Deuxi�me remarque :
On constate que les variations de temp�ratures sont importantes.
Il fait tr�s froid et tr�s chaud. Rien avoir avec le r�chauffement climatique.

Pr�dire l’�tat de la m�t�orologie sur le long terme est � mon avis plus qu’hasardeux.
On sait pertinemment que les param�tres et les mod�les sont ultracomplexes.
Rien que les math�matiques qui traitent de l’�coulement d’un simple fluide est d�j� fastidieux...

Juste pour rappel :

« En effet, m�me si l’�coulement d’un fluide (newtonien) est r�gi par des �quations connues, les �quations de Navier-Stokes, dans l’approximation des milieux continus, ces �quations n’ont pas de solution analytique, sauf cas tr�s particuliers, et leur r�solution num�rique (simulation directe) est � l’heure actuelle limit�e � certaines configurations acad�miques, la puissance des ordinateurs �tant tr�s insuffisante, et le restera pour encore de nombreuses d�cennies »

(source : Mod�lisation des turbulences - Wikip�dia)

"En m�canique des fluides, les �quations de Navier-Stokes sont des �quations aux d�riv�es partielles non lin�aires qui sont cens�es d�crire le mouvement des fluides � newtoniens � (liquide et gaz visqueux ordinaires) dans l’approximation des milieux continus. La r�solution de ces �quations mod�lisant un fluide comme un milieu continu � une seule phase incompressible, si elle est possible, est ardue. La coh�rence math�matique de ces �quations non lin�aires n’est pas d�montr�e. Mais elles permettent souvent par une r�solution approch�e de proposer une mod�lisation des courants oc�aniques et des mouvements des masses d’air de l’atmosph�re pour les m�t�orologistes, la simulation num�rique du comportement des gratte-ciel ou des ponts sous l’action du vent pour les architectes et ing�nieurs, des avions, trains ou voitures � grandes vitesse pour leurs bureaux d’�tudes concepteurs, mais aussi le trivial �coulement de l’eau dans un tuyau et de nombreux autres ph�nom�nes d’�coulement de divers fluides"

(source : �quations de Navier-Stokes - Wikip�dia)

A moins d’�tre hyppocrite ou malhonn�te, il est �vident que l’on ne peut que faire des estimations de courtes dur�es et par approximation, mais pas des certitudes comme le laisserait supposer certains.
J’avais lu un papier sur Euler et NavierStokes il n’y a pas longtemps... Donc...

Bref, avant d’aborder un tel sujet, on demandera � tout un chacun de prendre un minimum de recul...
[sinon nous allons nous disputer comme des chiffoniers ; tr�s peu pour moi]
Celui qui veut vraiment contester devra apporter un minimum de preuves, mais pas nous balader avec son blabla.
Merci d’avance.
Ici, c’est un lieu de d�bat, d’�changes d’id�es. Ce n’est ni un ring, ni un lieu de combat de rues.
La violence �� suffit !

Au plaisir.

Cordialement

Leo Le Sage
(Personne respectueuse de la diff�rence et de la pluralit� des id�es)

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R�chauffement climatique : enfin le d�gel ?

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