Le Brexit, c’est bien le début de la fin pour l’UE
Cette semaine, Theresa May a précisé son plan pour le Brexit. Encore une fois, les euro-fanatiques ont tout faux. Après avoir prévu un cataclysme économique en cas de défaite au référendum, qui n’est pas venu, ils espéraient un contournement du peuple, ou, au pire, un Brexit a minima où Londres conserverait une grande partie du marché unique. Encore raté ! C’est une vraie rupture.
En fait, les euro-fanatiques sortent complètement démonétisés par le Brexit. Les voir se réjouir que Glasgow puisse faire sécession, après avoir envisagé de refuser le verdict britannique, montre leur caractère profondément totalitaire : la démocratie ne leur convient que quand elle va dans leur sens et ils sont toujours prêts à la remettre en cause dans le cas contraire. Le retour de bâtons ne fait que commencer.