mercredi 7 juin 2017 - par taktak

#violencespolicières, Interdiction de manifester Amnesty international dénonce la fascisation En Marche !

PNG

Violences policières, répression des syndicalistes et de journalistes indépendants, interdiction de manifester Amnesty international dénonce la fascisation En Marche ! Dans un rapport, Amnesty International France qui a pu observer sur le terrain les agissement des autorités gouvernementales et de la police à ses ordres durant l’année 2016 – de la résistance contre l’euro Loi Travail aux mobilisations de défense de l’environnement ou des migrants – établie un réquisoire sans équivoque sur le bilan du gouvernement dont est issu M Macron : celui d’une utilisation à sens unique des mesures liberticides de l’Etat d’Urgence non pas pour sécuriser le pays contre le terrorisme, mais bien pour établir un état d’urgence antisociale, totalitaire visant essentiellement à la répression des travailleurs, des syndicalistes.

En pratique, le bilan de MM Hollande, Valls & Macron, c’est bel et bien celui de l’interdiction de manifester. Celui de plus de 1000 manifestants blessés rien qu’à Paris. Celui de plus de 1000 procès politiques frappant les opposants à l’euro loi travail. Celui du retour des lettres de cachets pour priver de ce droit de l’homme élémentaire – la liberté d’expression – des citoyens innocents. Par une simple décision d’un préfets.

Comment ne pas citer ce chiffre glaçant mis en évidence par l’ONG : en France, pour i mposer par la force avec l’antidémocratique et totalitaire article 49.3 de la Constitution l’euro Loi Travail de M Macron au ordres de la Commission Européenne et du MEDEF, tous les trois jours c’est une manifestation qui est interdite. Tous les trois jours, c’est deux citoyens qui sont interdits de manifester, Tous les jours, c’est trois manifestants, syndicalistes, opposants politiques qui sont trainés devant les tribunaux, trois autres qui sont blessés, rien qu’à Paris. C’est également un jeune homme désarmé et pacifiste tué par le jet d’une grenade, une arme de guerre à Sivens, une affaire qui n’a toujours pas été jugé. C’est un photographe plongé dans le coma par le jet d’une grenade par un policier à Paris. C’est un jeune lycéen tabassé par un policier pendant qu’un autre le tient devant son lycée à Paris. C’est des syndicalistes condamnés à de la prison pour des actions syndicale. Cela ne se passe ni en Turquie, ni en Arabie Saoudite, ni en Birmanie, mais bien en France. Est ce exagérer que de dénoncer la fascisation En Marche ? non c’est une prise de conscience collective indispensable : le pouvoir totalitaire de la classe capitaliste ultra minoritaire – Macron n’a réuni sur son nom que 18% des électeurs inscrits, et les français ont voté NON à l’Union Européenne à 55% – pour imposer sa violente politique euro austéritaire de destruction du modèle social, de baisse des salaires, d’exploitation capitaliste de plus en plus brutale à mesure que la crise structurelle du capitalisme s’aggrave a nécessairement recours à des méthodes de plus brutales, antidémocratiques. Et à défaut d’un rapport des forces suffisamment organisé sur la base de la classe des travailleurs, il est libre de piétiner les plus élémentaires des droits de l’homme.

Chaque citoyen, chaque républicain, chaque démocrate, chaque homme et femme libre se doit de partager ce rapport d’Amnesty International auprès de ses amis, proches et parents : en effet, alors que l’ONG est fréquemment cité lorsqu’il s’agit de mener des campagnes médiatiques d’opinion contre des gouvernements dont le tort est de résister aux diktats de l’impérialisme euro atlantique, chacun aura pu entendre le silence assourdissant de la censure médiatique frappant ce rapport accablant.

La liberté c’est bien le combat collectif de chacun. C’est également un enjeu des prochaines élections législatives afin que le mouvement du banquier Macron, l’homme des six 49.3, celui qui veut mettre à sac la France pour le CAC40 à coup d’ordonnances et qui défile sur les champs Elysées en blindé militaire n’ait pas les pleins pouvoir, mais trouve face à lui un barrage républicain, antifasciste, populaire.

JBC pour www.initiative-communiste.fr

https://www.initiative-communiste.fr/articles/luttes/violencespolicieres-interdiction-de-manifester-amnesty-international-denonce-fascisation-marche/

Le rapport implacable de Amnesty International

L’état d’urgence détourné pour restreindre le droit de manifester

Depuis novembre 2015 et les terribles attentats qui ont touché la France, l’état d’urgence a été instauré et renouvelé à cinq reprises. Alors que son objet est de prévenir de nouvelles attaques, les mesures de l’état d’urgence ont été utilisées pour interdire 155 manifestations. Tous les 3 jours environ, une manifestation est interdite en France sous ce prétexte. Par ailleurs, 595 interdictions individuelles de manifester ont été ordonnées par les préfectures en France, sous l’argument de prévenir les violences lors des manifestations, alors que le plus souvent il n’existait que peu ou pas d’éléments démontrant que ces personnes auraient participé à des violences.

L’Etat n’a pas été en mesure de prouver pour chacune de ces interdictions qu’elles visaient à prévenir une menace spécifique, qui ne pouvait être évitée qu’en limitant un droit pourtant fondamental. De telles mesures, sans lien démontré avec la lutte contre la menace terroriste, ont un impact démesuré sur le droit des personnes à exercer leur liberté d’expression pacifique.

Ainsi, de nombreuses personnes interdites de manifester avaient simplement été présentes lors de manifestations ayant donné lieu à des actes de violences par des manifestants, mais rien ne permettait de leur reprocher la participation aux dites violences.

639 mesures d’interdictions individuelles de manifester ont été prises contre des personnes dont 21 dans le cadre des manifestations liées à la COP21, et 574 dans le cadre des manifestations contre la loi travail

Des pratiques policières contestables :

Nous avons aussi pu constater un usage récurrent de certaines pratiques de maintien de l’ordre contraires au droit international.

Par exemple, la fouille systématique et la confiscation d’outils de premiers secours, tels que les sérums physiologiques, les lunettes qui ne peuvent pas être considérées comme des armes par destination, empêchent les personnes de se soigner. Le fait que du matériel de premier secours ait été confisqué aux street medics est aussi choquant, car ce matériel peut être indispensable pour prodiguer des soins de première urgence. :

À chaque fois on leur expliquait qu’on avait besoin de ce matériel pour prodiguer les premiers secours aux manifestants qui, par exemple, se sentaient mal à cause des lacrymogènes. Ils nous répondaient qu’on ne devait pas venir en manifestation si on avait peur que les lacrymogènes puissent être utilisés ».

Annaliese, une Street-Medic (secouriste) à Nantes

Des stratégies de maintien de l’ordre peuvent aussi mener à une hausse des tensions et limiter de manière disproportionnée le droit de manifester. Par exemple, l’usage fréquent et prolongé des nasses, cette pratique qui vise à confiner des manifestants pour les empêcher de manifester ou de rejoindre une manifestation, est une atteinte disproportionnée au droit de manifester, en particulier lorsque les personnes « nassées » sont des manifestants pacifiques. Pourtant, il existe des stratégies de maintien de l’ordre qui visent à diminuer les tensions plutôt qu’à les attiser.

Un usage disproportionné et arbitraire de la force

Notre recherche, confortée par l’observation de plusieurs manifestations, nous a permis de constater le recours par les forces de l’ordre à un usage disproportionné de la force. Selon des témoignages concordants recueillis auprès des streets medics, des bénévoles qui soignent les personnes blessées au cours de manifestations, plus de 1000 personnes auraient été blessées rien qu’à Paris lors des manifestations contre la loi travail. Bien sûr, les actes de violence de la part de certains manifestants à l’encontre des forces de l’ordre doivent aussi être condamnés. Toutefois, ils ne peuvent justifier une violence disproportionnée de la part des forces de l’ordre.

Ces pratiques d’usage de la force, outre qu’elles peuvent avoir des conséquences dramatiques pour les personnes touchées, peuvent également, selon de nombreux témoignages, avoir un impact sur le droit de manifester en lui-même, les personnes ayant peur de revendiquer leurs droits en participant à des manifestations.

Je manifeste depuis mon jeune âge et je n’ai jamais vu une telle agressivité des forces de police. Je suis une femme de 50 ans, cadre dans le secteur privé et pacifique.

Sandrine, manifestante à Rennes.

Elle rajoute « et je veux démentir les autorités qui disent que la police ne s’en est prix qu’aux casseurs lors des manifestations du printemps 2016 ».

Plus de 1000 personnes auraient été blessées rien qu’à Paris lors des manifestations contre la loi travail

Des journalistes intimidés et violentés

Les violences à l’encontre de journalistes et autres travailleurs des médias lors des récentes manifestations ont fait le tour de la presse.

L’usage de la violence de la part des forces de l’ordre contre des personnes filmant ou documentant des manifestations est particulièrement inquiétant car il remet en cause le droit à une information libre. Même en cas de violence, il est du devoir des autorités de permettre aux journalistes de mener à bien leur travail.

Je n’ai pas d’autres explications que d’avoir été visé volontairement car je filmais l’interpellation violente d’un manifestant. Il n’y avait pas d’autres manifestants autour de moi, ils étaient à au moins 20/30 mètres à l’arrière et ils étaient en train de se disperser.

Joël, réalisateur indépendant

Manifester est un droit, pas une menace

Une manifestation doit toujours être considérée comme légale a priori, à moins que l’Etat puisse avancer des éléments précis justifiant son interdiction.

De plus, les actes de violences commis pendant une manifestation ne peuvent être imputés qu’à leurs auteurs et ne suffisent pas à qualifier une manifestation de violente.

Ainsi, toute intervention des forces de l’ordre ne doit viser que les individus responsables des violences. Il est du devoir de l’Etat de reconnaitre que les manifestations sont un usage légitime de l’espace public et il doit justifier d’une certaine tolérance envers les éventuelles perturbations non violentes qui pourraient avoir lieu. Pourtant, depuis l’instauration de l’état d’urgence, un glissement dangereux s’est opéré : des stratégies de maintien de l’ordre sont mises en place qui impactent fortement des droits fondamentaux dans l’objectif de prévenir des risques qui pourraient avoir lieu, sans aucune preuve concrète et solide que des événements dangereux pour la nation vont en effet arriver et que la seule solution pour y faire face est la restriction d’un ou de plusieurs droits fondamentaux. Cette logique dangereuse est celle de l’état d’urgence.

Il est temps de mettre un terme à cette dérive : manifester est un droit, pas une menace.


Envoyer un mail ou un courrier à Emmanuel Macron

> Copier-coller ce message ci-dessous et rendez-vous sur cette page du site de l’Elysée

> Vous pouvez aussi imprimer ce message ci-dessous chez vous et l’envoyer à l’adresse suivante :

Présidence de la République

55 Rue du Faubourg Saint-Honoré

75008 Paris

A savoir : les correspondances au Président de la République française sont dispensées d’affranchissement

Monsieur le Président,

J’ai pris connaissance du rapport d’Amnesty International sur les restrictions abusives au droit de manifester en France depuis l’instauration de l’état d’urgence. Intitulé Un droit, pas une menace. Restrictions disproportionnées à la liberté de réunion pacifique sous couvert de l’état d’urgence en France, il dresse un état des lieux inquiétant des atteintes portées à ce droit fondamental auquel notre pays est profondément attaché, par son histoire comme par ses engagements internationaux.

Ce rapport démontre en effet que des centaines de mesures restreignant de manière injustifiée le droit de circuler librement et le droit à la liberté de réunion pacifique ont été imposées sous prétexte de lutter contre le terrorisme. L’état d’urgence, conçu pour protéger la population française contre la menace de nouveaux attentats, a été utilisé abusivement pour restreindre son droit à manifester pacifiquement. Sous couvert de ce régime d’exception, des centaines de militants, défenseurs de l’environnement et militants pour les droits des travailleurs ont été privés de leur droit de manifester, lorsqu’il leur a été interdit, sans raison, de participer à des manifestations.

Par ailleurs, si je déplore profondément que de nombreux représentants des forces de l’ordre aient été blessés au cours de plusieurs manifestations, je déplore aussi que des milliers de manifestants pacifiques aient souvent été confrontés à un usage disproportionné de la violence par les forces de sécurité. Des matraques, des balles en caoutchouc, des grenades de désencerclement et du gaz lacrymogène ont été utilisés contre des manifestants pacifiques qui ne semblaient pas menacer l’ordre public, faisant un grand nombre de blessés. Les stratégies de maintien de l’ordre employées ont aussi dans certains cas semblé contribuer à attiser les violences et les tensions, plutôt que de les apaiser.

Monsieur le Président, le droit de manifester pacifiquement est un droit essentiel à l’exercice de la liberté d’expression, indispensable au bon fonctionnement de toute démocratie. Vous-même, lors de la campagne présidentielle, vous êtes publiquement engagé à protéger et garantir ce droit.

Le rapport d’Amnesty International porte de nombreuses recommandations. Parmi celles-ci, j’attire votre attention sur les demandes suivantes :

– l’état d’urgence doit être levé dans les plus brefs délais, à moins que les pouvoirs publics n’apportent la démonstration de sa nécessité ;

– tant que ce régime d’exception est en place, les mesures de l’état d’urgence ne doivent pas être détournées de leur objet, à savoir la prévention d’attaques terroristes, pour restreindre abusivement la liberté de manifester. Cela passe par une révision de la loi sur l’état d’urgence, si celui-ci devait être reconduit, ainsi que par des instructions claires données aux préfets ;

– les forces de l’ordre ne doivent utiliser la force qu’en dernier recours, de manière strictement nécessaire et proportionnée à la menace ;

– les violences excessives ou arbitraires commises par les forces de l’ordre à l’encontre des manifestants pacifiques doivent faire l’objet d’une vigilance active des autorités, et être sanctionnées par des enquêtes impartiales et indépendantes.

En vous remerciant de l’attention que vous voudrez bien porter à ces recommandations, je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma très haute considération,



16 réactions


  • flourens flourens 7 juin 2017 11:53

    le peuple c’est exprimé en connaissance de cause à plus de 65% pour le programme de M Macron, ceux qui veulent le contester dans la rue et refaire le match ne sont pas le peuple mais la lie et la racaille qui sont contre la démocratie, qu’ils en payent le prix, et puis pour les autres cocus, on attendra d’avoir Marine en 2022 ou pire Marion, merci M le président pour ce radieux avenir


    • Sozenz 7 juin 2017 14:45

      @flourens
      arretez de dire que macron a été elu avec 65 % des voix . il a été elu avec 1/5 eme des voix ...
      c est très peu vu les manipulations , les moyens mis et peut etre des tricheries au niveaux des votes .
      Vous etes en train de manipuler vous aussi les esprits pour faire cropire aux personnes qu’ il faut assumer ...
      Et bien NON .... !


    • Sozenz 7 juin 2017 14:51

      @Sozenz
      c est quoi cette république où l on donne les pleins pouvoirs à une personne qui n’ a que 1/5.
      c est du foutage de gueule et de l escroquerie .
      temps que le vote blanc sera tel qu il est . les présidents n auront jamais la légitimité .


    • zygzornifle zygzornifle 7 juin 2017 16:23

      @flourens


       a se demander si ceux qui ont veautés Macron ne sont pas des amateurs des fans d’Haouna de foot des Marseillais et autres émissions a a QI d’huîtres ..... En Marche c’est la consanguinité entre la droite la gauche le centre et d’autres qui sont la parce qu’ils sont la et pas ailleurs ......

    • JP94 7 juin 2017 16:52

      @flourens

      Vous eussiez préféré qu’on vote Lepen, c’est bien ça ? 
      Mais bien sûr que Macron aime Lepen. Face à tout autre que Lepen, les 65% étaient loin d’être acquis. Et même 65%, ce n’est pas terrible quand on pense au rejet du FN en France... et à publicité pour Macron, le destructeur du Droit du Travail.
      Il est vrai que Macron se déguise un peu plus, mais pour les principes, vous n’en êtes pas très éloignés.

      Alors la France, historiquement, existe bien plus au niveau international pour ses luttes, son peuple qui sa bat contre la Réaction que Macron incarne.

      Je pense que notre histoire s’honore bien plus de ses révolutions que de ses banquiers et réactionnaires que celles-ci ont combattus.

      La colonne de la Bastille est bien en l’honneur des 3 Glorieuses donc les journées où le peuole parisien a mis à bas Charles X, l’homme qui gouvernait par ordonnances.

      Et bien ce Macron marche ...à rebours de l’histoire. Et le peuple parisien, qu’il redoute comme Charles X le fit, Macron tente de l’intimider en lui interdisant de manifester , donc de faire l’histoire.

      Mais ce ne sera pas Macron qui écrira l’histoire. Il sait bien qu’il n’est pas que par la force, non pas encore des baïonnettes, mais celle de ses amis de la finance.


    • flourens flourens 7 juin 2017 17:51

      @JP94
      ça fait mal, hein de dire que Macron a été élu avec avec 65%, et pourtant c’est la stricte vérité, vous l’avez dans l’os, vous pouvez dire ce que vous voulez pour vous dédouaner, lui sait qu’il a été élu avec 65% des voix et fera en tout cas comme si,
      bien entendu vous avez été bien conditionnés comme le prouve la réponse de JP94 Vous eussiez préféré qu’on vote Lepen, c’est bien ça ?
      comme s’il n’y avait pas d’autre choix, Méluche en a fait les frais, ne pas voter Macron ne veut pas dire voter Le Pen, la propagande vous l’a fait croire et vous êtes plongés dedans sans réfléchir, j’ai toujours dit qu’il aurait fallu 50% d’abstention et Macron à 55%, il n’aurait alors aucune légitimité et ne serait pas en mesure de remporter haut la main les législatives, ce sera le votre faute, car il a 65% avec une abstention de 20% donc toute légitimité et il s’en servira, il a déjà prévenu qu’il ne tolérerait aucune opposition à la volonté du peuple qui s’est exprimé pour lui et donc son programme, vous pouvez crier chanter danser cela n’y changera rien
      on peut évoquer toutes nos glorieuses révolutions cela reste de l’incantation, vous irez au feu vous ????, alors malheureusement le seul avenir que je vois, c’est de nouveau Le Pen en 2022 avec bien plus de chance et peut être un nouveau prénom bien plus dangereux, Marion, tout ça on le doit à ceux qui se sont reporté sur Macron, le risque Le Pen étant dérisoire lors de cette élection mais il a parfaitement rempli son rôle auprès des moutons


    • Armelle Armelle 8 juin 2017 09:11

      @flourens
      Oui c’est comme ça depuis 30 ans, le 1er tour est un vote de choix, le deuxième un vote d’élimination, mais les cons gueulent tjrs comme des veaux et crient au scandale quand le résultat n’est pas dans leurs attentes. Leur démocratie se termine là où le choix de la majorité ne leur convient pas, alors oui Macron à raison, il faut faire en sorte de stopper cette meute d’abrutis qui encore une fois mettront les rues à feu et à sang et empêcheront les autres de bosser.
      Ras le bol de cette racaille cégétiste et autre saloperie syndicaliste, ils ont voté comme des cons alors ils resteront des cons


    • mmbbb 8 juin 2017 11:28

      @Armelle les ouvriers ne sont pas atteints encore du syndrome de stockholm mais cela viendra. Ils loueront ceux qui les enculent et la vaseline et en stcok Vaseline parfurmee a la rose leguée par Hollande Le patronat aura le beurre et l argent du beurre et la culotte de la cremiere Le credit impot un droit du travail assoupli . A l instar de ces journaux liberaux Le Point Le Monde Le Fig qui ne pourrait pas vivre sans les subventions. Quant au mot racaille , serait il reserve qu a une certaine categorie de personne. ?


    • flourens flourens 9 juin 2017 20:10

      @Armelle
      si vous avez la sécu, le smic, les congés et toutes les protections c’est grace aux racailles cégétistes et autres, le mieux que vous puissiez faire c’est de les refuser et d’aller voir votre patron en lui disant je veux travailler 7 jours sur 7, sans congés sans protection, 15 par jour et si je suis malade je ne veux pas être payé et je me soignerai avec les plantes de mon jardin car tout ça c’est à cause de la CGT et ça vous fait tant de peine à vous mon bien aimé chef que je vous donne tout ça avec plaisir, c’est le minimum que vous puissiez faire, sinon vous n’êtes qu’une parasite vivant des victoires des autres,
      et puis ceux qui empêchent les autres de bosser sont vos maitres qui font travailler justement 15h par jour à 1 € par jour au Bengladesh, tant que vous y êtes, allez y, vous ne serez plus dérangée par la meute d’abrutis et vous serez même obligée de travailler sinon prison, voila qui devrait vous convenir, soyez logique jusqu’au bout et débarrassez le plancher, cela nous fera de l’air


  • Rmanal 7 juin 2017 14:01

    Effectivement notre pays s’enfonce petit à petit dans l’inhumanisme et la stupidité facile de l’extrême droite.
    Le pire est que ce sont les soit disant Socialistes, c-a-d les Libéraux, qui l’utilisent le plus. Comme quoi lorsque Hayek déclarait « Personnellement je préfère un dictateur libéral plutôt qu’un gouvernement démocratique manquant de libéralisme » il représentait bien tout le danger de ce mouvement aujourd’hui incarné par Macron.
    Les Citoyens contre la dictature du Fric.


  • zygzornifle zygzornifle 7 juin 2017 16:18

    Vous allez en voir de la violence policière quand il va y avoir des manifs anti-loi travail XXL....




    • Dan22 7 juin 2017 20:26

      @zygzornifle
       Il n’y a pas que les manifs pour s’exprimer !
      Il y a aussi le vote .... Ah ! on me dit que le vote a été utilisé pour conforter micron !
      Il reste la grève générale ....Ah ! on me dit que les français préfèrent se faire enc....és plutôt que de perdre un peu d’argent qui leur sert pour payer un smarphone , une bagnole neuve , des vacances au ski , etc.....
      La seule solution : que tous les travailleurs aillent se faire sodo...er en chantant " merci patron !!!!


    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 7 juin 2017 20:34

      @Dan22
      Fallait y penser avant ! L’UPR n’a cessé d’expliquer la politique qui allait s’appliquer si nous restions dans l’ UE.


      Aucun des Partis « protestataires » n’a jugé utile de s’allier à l’ UPR pour sortir de l’ UE et de l’euro. Car ils sont tous européistes jusqu’au trognon : Mélenchon - Poutou- Lassalle - Marine - Arthaud - Hamon et Dupond Gnangnan, même combat : pas question de Frexit !

      Alors maintenant, va falloir assumer, et éviter de rendre les Français responsables de la trahison des Partis politiques européistes !!

    • zygzornifle zygzornifle 8 juin 2017 09:37

      @Dan22


       Le vote ?, on l’a vu avec l’élection de Macron, une grande partie des électeurs est atteint par le syndrome de Stockholm , plus on les maltraite plus ils en réclament et ils dégustent les mensonges et fausses promesses comme des bonbons au miel et font comme les moutons de Panurge le grand sursaut républicain , après ils viennent chialer et couiner comme des mioches et recommencent quand même 5 ans après .... La moelle épinière leur suffit , un vrai cerveau est un véritable gâchis ....  

    • flourens flourens 10 juin 2017 08:50

      @zygzornifle
      et encore, la moelle épinière est de trop, elle les empêche de se courber bien bas devant leurs maitres


  • Fifi35 Fifi35 2 août 2017 18:14

    On peut se fier les yeux fermés à cette association humanitaire d’une grande neutralité.

    Amnesty International est en fait non seulement financée et gérée par des gouvernements, mais aussi par de très gros intérêts corporatifs, elle n’est pas seulement impliquée dans des intérêts politiques et économiques, mais elle est en fait un outil essentiel utilisé pour perpétuer et satisfaire des intérêts particuliers.
    De manière évidente, Amnesty prend de l’argent à la fois des gouvernements et d’intérêts industrio-financiers, dont un des plus connu, l’Open Society, est dirigée par le criminel de la finance, repris de justice George Soros. 
    http://www.amnesty.org/en/library/asset/FIN40/012/2010/en/2067a089-cb5a-4dab-b07f-e108a8076097/fin400122010en.pdf

    La question essentielle à se poser et : A qui profite le crime de mettre à mal notre nation ?


Réagir