samedi 2 janvier 2016 - par JC_Lavau

Le bruit de fond Dirac-de-Broglie, et l’impossibilité de délimiter un système quantique

C'est la faille logique de nos ennemis adversaires les anti-transactionnistes : ils s'imaginent tout de bon qu'il suffit d'y croire pour qu'un système quantique soit délimité et isolé du reste du monde.
 

Prendre les propriétés de nos artefacts pour celles de ce qu'on prétend décrire.

Prendre les propriétés de nos artefacts pour celles de ce qu'on prétend décrire est un piège hélas classique en sciences - et c'est bien pis encore en non-sciences -, et les mésaventures qu'on préfère cacher sous le tapis sont nombreuses. Sans parler de l'aspect du tapis, fort boursouflé.

La langue : premier artefact piégeux.
Certains exemples sont célèbres depuis longtemps. Les grecs de l'antiquité aimaient raisonner, mais ceux dont les écrits nous sont parvenus méprisaient expérimenter, comme ils méprisaient les artisans, eux les aristocrates. Aussi nous ont-ils laissé une belle brochette de bourdes dues à leur adoration pour la langue grecque. Aristote par exemple a projeté les catégories de la langue sur la physique : les graves tombaient car c'est leur nature. Le résultat, la mécanique d'Aristote, n'est vraiment pas bon, c'est une projection d'adjectifs. Zénon d'Elée a brocardé dans des "paradoxes" les contradictions où menait la confusion de la nature avec la langue grecque : Achille ne rattrapera jamais la tortue, car cela peut se décrire par un nombre de phrases grecques infini.

Les pièges des artefacts feuille de papier et ligne de machine à écrire.
Voici quelques cinquante ans, Joseph Davidovits s'était aperçu que nos enseignements et nos manuels de chimie macromoléculaire sont abusés par les propriétés de la machine à écrire : nous écrivons en ligne droite, et des lignes minces, et l'imprimeur aussi travaille ligne à ligne. La croyance commune en déduisait silencieusement que les macromolécules issues d'une synthèse linéaire par addition en bout de chaîne en solution dans un solvant, devaient demeurer déroulées, en ligne droite ou peu s'en faut. Encore de nos jours tous les manuels de chimie macromoléculaire exhibent des dessins de plats de nouilles déroulées. Or Davidovits, en bon chimiste, s'aperçut vite que la molécule déroulée, nécessite beaucoup plus d'énergie dans le solvant que la molécule repliée, puis pelotonnée à mesure de sa croissance ; après quoi, chaque micelle peut bien être déformée lors du passage dans la filière pour obtenir du fil tissable ou tressable, elle demeure micellaire, ne se déroule jamais ; ce sont les contacts entre micelles qui prennent en charge tous les cisaillements. Son modèle était apparemment le seul à prédire nombre de propriétés macroscopiques, dont la plus notable à ses yeux était l'entropie de fusion, mais aussi la viscosité. Après quoi Davidovits eut la malchance d'exagérer la régularité géométrique de la macromolécule pelotonnée, lui aussi entraîné par l'artefact de la feuille de papier par laquelle nous communiquons entre nous, il a donc modélisé les micelles macromoléculaires en raquettes planes ; ce qui était une erreur. Paul John Flory fit l'exagération inverse : pour lui les macromolécules étaient exclusivement statistical dans leur géométrie, donc globalement sphériques, sans distinction entre grand axe, et petits axes. Mon expérience de mécanicien en laboratoire donnait toutefois raison au modèle de micelles ellipsoïdal, avec grand axe bien marqué. De même, les marins à voile achètent des drisses préétirées (plus chères), où les grands axes micellaires sont alignées avec la traction sur la fibre. Tout au contraire, les alpinistes utilisent des cordes dont le polyamide est recuit (les grands axes micellaires sont dans tous les sens), et peut absorber le choc d'une chute, mais une seule fois : quand les grands axes micellaires sont alignés par la contrainte de choc, la corde n'est plus utilisable en alpinisme, bonne à jeter une fois qu'ils sont redescendus dans la vallée. Ou à être recyclée dans des usages qui ne sont plus de l'alpinisme.

Flory eut le Nobel. Davidovits s'était recyclé à faire autre chose, travaillant pour l'industrie.

J'ai eu dans mes rayons un mémoire du Laboratoire Central des Ponts et Chaussées, qui fait la modélisation des bitumes par micelles, globalement sphériques, avec succès. La genèse des bitumes ne réclamait pas une géométrie oblongue, comme celle que nous observons dans les polyamides dont nous nous servons quotidiennement.


Professeur Marmotte :

- Vous noyez le poisson, là ! La chimie et les bitumes, ça n'est que de la basse cuisine ! Ça prouve combien ce savanturier est un krank, nul en maths !

 

En mécanique à notre échelle, l'économie de variables et d'équations est fondée.

Z'Yeux ouverts :

- Rien qu'en astronomie, le calcul des mouvements par gravité de trois corps est déjà incalculable. On comprend qu'astronomes et ingénieurs soient friands de simplification et d'économie. Sans simplicité ou simplifications, il est juste impossible de faire le travail. En mécanique macroscopique, à notre échelle, il est sensé de penser pouvoir isoler un système. L'artillerie avec résistance de l'air et des vents mal connus et irréguliers, c'est déjà compliqué, mais si on peut supprimer l'air tout est simplifié, et devient bien plus facile à calculer. Telle est la mécanique constatée dans l'espace, qui certes contraste avec nos expériences quotidiennes de terriens, où il y a des frottements partout. Un compas gyroscopique, certes c'est compliqué et coûteux à fabriquer, il faut un vide pour minimiser la perturbation par les frottements fluides, et de grandes précautions aussi contre les frottements solides. Au final ça marche bien, avec une précision et une stabilité sans commune mesure avec ce que donne le compas magnétique de secours.

Si par la pensée et même expérimentalement on peut délimiter et isoler un système mécanique qui est à notre échelle, le danger intellectuel était d'extrapoler aveuglément vers la microphysique, en postulant sans preuves ni vérification, que ça marcherait aussi bien. Ce piège a bien fonctionné, hélas.


 

Frontières sûres et reconnues ? Quelques mises en garde dans d'autres métiers.

De quoi se compose un système quantique ? Le physicien dans la chapelle dominante n'a aucun doute que sa liste d'objets quantiques qu'il met en équations est une liste sûre et complète. C'est contre cette certitude qui nous semble hâtive et incorrecte que nous allons argumenter. Mais dans ce sous-chapitre préalable, nous allons faire un retour sur les pathologies découlant d'une délimitation psychique défaillante chez des sujets.
Quand on enseigne les premiers rudiments de mécanique, soit la mécanique statique élémentaire, à des élèves de seconde, une de leurs difficultés est frappante : beaucoup ont un mal de chien à délimiter un système mécanique, à poser ses frontières, et lister les actions entrantes et les actions sortantes. Si cette étape n'est pas acquise, le reste du bâtiment est fondé sur de la vase, tout s'écroule bientôt.
Cette pathologie est exacerbée chez les inventeurs de mouvements perpétuels, ou autres machines "surunitaires" : ils ne sont jamais au clair avec les frontières de leur cafouillazibule, avec les intrants et les sortants. Et quand on discute avec eux, ils ne tardent guère à exhiber de nombreux symptômes psychotiques ; leur délire technique est projeté depuis leurs propres malformations et infirmités acquises.
On sera éberlué par le tragique cas "AIXOGEN MOTORS" : http://deonto-ethics.org/impostures/index.php?board=33.0

La célèbre controverse des années trente entre Niels Bohr et Albert Einstein met en évidence le contraste entre un Einstein sûr de ses frontières psychiques, et un Bohr demeuré envahi par les irrationalités maternelles :
 A ma gauche, le champion Albert Einstein, qui proclame : « Mon papa, il est rationnel et légaliste, il ne joue pas aux dés, lui ! ».
 A ma droite, le champion Niels Bohr, qui lui réplique : « Ma maman, elle n'a jamais été rationnelle ni prévisible. Nous devons nous borner à ne lui poser que les questions qui lui agréent, et qui ne nous valent pas une paire de claques ! », et surtout pas d'où viennent les bébés !
 A ma gauche, Einstein reprend : "Mon papa, il n'est pas méchant, mais il est trop subtil pour ta maman !" (Subtle is the Lord).
 Vous aurez tous reconnus le débat qui opposait depuis le congrès Solvay de 1927, Albert Einstein à "l'école de Copenhague", initiée par Born et Heisenberg, reprise par Bohr. Point culminant de la controverse en 1935, par l'article d'Einstein, Podoslky et Rosen, connu sous le nom de "paradoxe EPR".

Je pourrais hélas donner d'autres exemples plus tragiques, tels que les dégâts produits sur mon fils à mesure qu'il était envahi par une mère devenue paranoïaque, et de plus en plus envahissante et despotique, alors qu'à moins de trois ans, il était encore autorisé et capable de poser ses frontières : "Toi tu veux que je sois sage, mais moi j'aime pas être sage !". Sous la loi de la corruption, les fruits n'ont pas tenu les promesses des fleurs.
 
 

Délimiter un système quantique ?

Dans une note à l'Académie des sciences en septembre 1923, confirmée par sa thèse en 1924, Louis de Broglie établissait son théorème de l'harmonie des phases, où il démontrait que la célérité de phase valait c²/v, où v est la vitesse de groupe, identique à la vitesse usuelle en macrophysique. D'où il découle que dans le repère propre de l'électron, où sa vitesse est évidemment nulle, la vitesse de phase est infinie, dans toute son étendue spatiale, l'électron est partout en phase. Par ailleurs, pour qu'un "observateur" puisse observer la transformation lorentzienne de la fréquence intrinsèque de l'électron mc²/h, il est nécessaire que cette onde, soit l'électron lui-même, ait une étendue non négligeable, à la fois finie et intrinsèquement floue.
De Broglie ne pouvait en déduire les conséquences importantes, car il ne parvenait pas à conclure que cette onde est l'électron, il persistait dans l'illusion corpusculariste, et ne donnait à l'onde qu'un rôle de pilote du mythique corpuscule.
La conséquence de cette étendue spatiale non négligeable et de cette vitesse de phase infinie, est qu'au moins dans de la matière condensée, et probablement en toutes circonstances, tout quanton, tout fermion notamment est constamment baigné par les battements, le clapotis si vous préférez, des ondes brogliennes de tous ses voisins, sans qu'on sache précisément dresser la liste de qui est voisin, et qui ne l'est pas. Tel est le bruit de fond broglien.
En 1928, Dirac a révolutionné tout cela de façon définitive, en prouvant que l'onde électronique n'a pas une seule composante mais quatre, dont deux sont à rebrousse-temps. Du coup, il devenait discutable d'extrapoler vers la microphysique quantique, la propriété d'irréversibilité du temps, pourtant si bien démontrée et vérifiée en physique macroscopique. Non, nous n'allons pas faire ici l'algèbre des tenseurs d'ordre 2 sur un espace de dimension 4 ; nous ne faisons ici que la vulgarisation.
Dans les années 30 et suivantes, Schrödinger a prouvé que selon l'équation de Dirac, pour les interactions électromagnétiques il faut considérer une seconde fréquence intrinsèque, 2 mc²/h, et que la fréquence spatiale Dirac-Schrödinger de l'électron est celle qui ramène les lois quantitatives de la dispersion Compton à la loi de Bragg, fondement de la radiocristallographie.
En 1941, John Archibald Wheeler et Richard Feynman ont exploité ce succès de Dirac et de Schrödinger avec une théorie de l'absorbeur, ils ont calculé que toute la masse de l'électron provenait de sa masse électromagnétique, provenant de toutes ses interactions vers le futur et vers le passé avec toutes les autres charges électriques de l'Univers. Comme s'il pouvait crier "A moi ! La légion ! On m'accélère !"... Ce qui laisse entier le mystère de l'origine du restant de masse des deux électrons lourds : le muon et le tauon.
Lien :
http://authors.library.caltech.edu/11095/1/WHErmp45.pdf



Or peut-on écranter le bruit de fond Broglie-Dirac ? Rien du tout, pas plus qu'on ne peut écranter la gravité. Avec tout ce clapotis d'ondes brogliennes, qu'il est impossible de suivre par aucune instrumentation, il est impossible de prédire quand et quelle transaction émetteur-milieu-absorbeur va se produire. En aucun cas les frontières d'un système quantique réel ne sont à notre disposition : elles sont intrinsèquement lointaines, floues et fluctuantes. La désexcitation d'un atome, ou de son noyau s'il est instable ne peuvent être prédites que de manière statistique, sur les grands nombres. Seul le grand nombre peut statistiquement effacer les fluctuations du bruit de fond broglien. Seuls les grands nombres mettent en évidence que la plupart des très très nombreux absorbeurs potentiels sont d'impédance équivalente, vus des émetteurs, excepté s'ils présentent des résonances fréquentielles précisément accordées sur la fréquence qu'on émet vers eux. Or, malédiction des astronomes (!), la thermodynamique implique que les émetteurs sont beaucoup moins nombreux et bien plus facilement repérables que ne le sont les absorbeurs. C'est ce qui excuse le déni des absorbeurs par la chapelle dominante des anti-transactionnistes. Excuse un peu faible quand même, depuis qu'on connaît avec Fraunhofer les raies sombres ou raies d'absorption dans la couronne solaire, et leur interprétation par Kirchhof, toujours au 19e siècle ; ce qui fut formalisé ultérieurement par les coefficients d'Einstein, en 1916.

Ce débat avait déjà eu lieu sur Usenet avec Bernard Chaverondier et Didier Lauwaert en décembre 2003, mai 2004, janvier 2008, juin 2008...

On résume : fin de l'illusion, vous ne pouvez pas délimiter ni isoler un système à l'échelle microphysique, ou quantique. La complexité sauvage de son environnement persistera à déjouer nos ruses d'expérimentateur. Les espoirs de manipuler suffisamment l'environnement pour au moins mettre en évidence cette affirmation sont minces : les fréquences impliquées dans le bruit de fond broglien sont largement au delà de nos moyens expérimentaux. Une seule mesure directe de la fréquence électromagnétique de l'électron existe, menée à l'ALS de Saclay :

Experimental observation compatible with the particle internal clock,
by M.Gouanère, M.Spighel, N.Cue, M.J.Gaillard, R.Genre, R.Kirsch, J.C.Poizat, J.Remillieux, P.Catillon, L.Roussel.

http://aflb.ensmp.fr/AFLB-331/aflb331m625.pdf

http://aflb.ensmp.fr/AFLB-301/aflb301m416.pdf

Naturellement quand on rappelle ces faits, on est couverts d'insultes et de mépris par les croyants à l'esprit tubé. Exemple :
https://www.researchgate.net/post/Is_a_subquantal_structure_possible_which_is_compatible_with_relativity_and_free_will
Les physiciens sont des animaux territoriaux comme les autres, aussi teigneux et de mauvaise foi que les autres dès qu'ils sont inquiets pour la domination sur leur territoire.


En échange de cette complexification inattendue du domaine théorique de principe, nous obtenons un grand allègement des calculs, quand nous tenons compte du fait que tout fermion a une fréquence intrinsèque mc²/h, donc une longueur d'onde en vol, laquelle contraint sévèrement la largeur du fuseau de Fermat de la propagation. Hors du fuseau de Fermat (fermion ou photon), la contribution est nulle. Evidemment, les configurations interférentielles ménagent plusieurs branches de fuseaux de Fermat, qui diffèrent en longueur optique d'un nombre entier de longueurs d'onde, et cela pour le même quanton, photon, électron ou neutron, voire molécule.
 

Les fluctuations quantiques du vide.

En général, les croyants nous lancent à la figure que ces fluctuations brogliennes, qu'ils n'enseignent pas, sont donc de l'imaginature (selon le vocabulaire pittoresque de Mathurin Popeye). Sauf que de nombreux autres croyants diplômés travaillent sur les fluctuations quantique du vide, inclusivement l'effet Casimir qui a été expérimentalement prouvé avec une précision de 1 %, qui sont essentiellement la même chose, sauf qu'ils ne les regardent que du point de vue du vide, et pas de celui des émetteurs et absorbeurs potentiels, pouvant transiger grâce à la hasardeuse faveur de quelque rogue wave (vague scélérate, bien plus haute que les autres).
 

 

Conclusion : deux sortes de "indétermination".

Il faut distinguer deux faits distincts, qui sont présentés aux étudiants comme un seul principe d'indéterminisme ou d'incertitude.

Le premier est la dissimulation des propriétés de la transformation de Fourier réétiquetées comme principe d'incertitude de Heisenberg. Nous n'avons pas traité cela ici, vous le trouverez dans le livret La microphysique que l'on vous conte n'est pas la bonne.

Le second vous est reproduit ci-dessus : vous ne pouvez pas délimiter ni isoler un système à l'échelle microphysique, ou quantique. La complexité sauvage de son environnement persistera à déjouer nos ruses d'expérimentateur. Le restant de l'Univers persiste à s'inviter sur la paillasse de l'expérimentateur. On peut trouver cela fort désespérant mais le défi demeure posé, et personne l'a relevé encore à ce jour...



46 réactions


  • JC_Lavau JC_Lavau 2 janvier 2016 16:38

    Barrez le mot « ennemis », SVP. Il était barré sur l’original et à la prévisualisation, mais la biffure disparaît à la publication définitive. J’ignorais cette prochaine trahison.
    Le vocabulaire de Mathurin Popeye aurait dû rester en italiques, hélas l’italique s’est perdu en route : « imaginature ».
    Pour le moment, je ne vois pas d’autres erreurs.


    • JC_Lavau JC_Lavau 2 janvier 2016 16:41

      @JC_Lavau. « statistical » aussi aurait dû rester en italique, mot étranger.


    • Homme de Boutx Homme de Boutx 2 janvier 2016 17:49

      @JC_Lavau
      des soucis avec l’éditeur....

      Mon dernier titre « résonnons par l’absurde », et vous savez ce qu’il est devenu....

      des histoires de grosses caisses reprises en cœur.


    • Shawford43 2 janvier 2016 17:51

      @Homme de boots

      Raisonnement par l’absurde qui ne touche aucun des fous d’AV desquels j’émerge. Y’a pas un hiatus là ?


    • La mouche du coche La mouche du coche 2 janvier 2016 18:08

      Magnifique article délirant qui montre bien que la physique quantique est une vaste escroquerie à mille lieue de la science véritable.


    • Homme de Boutx Homme de Boutx 2 janvier 2016 19:13

      @Shawford43
      en quoi êtes-vous concerné ?


    • Blondinette43 2 janvier 2016 19:17

      @Homme de Boutx

      Le blondinet ? par pas grand chose

      alors que moi ! smiley smiley smiley


    • JC_Lavau JC_Lavau 4 janvier 2016 11:58

      @La mouche du coche. Je t’encourage à faire tes propres articles où tu démontreras ta « science véritable » à toi que tu as.


    • popov 4 janvier 2016 16:11

      @La mouche du coche

      à mille lieue de la science véritable

      Heu, c’est quoi la science véritable ?

  • Homme de Boutx Homme de Boutx 2 janvier 2016 17:54

    « Seul le grand nombre peut statistiquement effacer les fluctuations du bruit de fond broglien. »
    est-ce en rapport avec votre nombril et la condensation sur la terrasse ?


    • Homme de Boutx Homme de Boutx 2 janvier 2016 22:45

      @Homme de Boutx
      "La désexcitation d’un atome, ou de son noyau s’il est instable ne peuvent être prédites que de manière statistique, sur les grands nombres. Seul le grand nombre peut statistiquement effacer les fluctuations du bruit de fond broglien. Seuls les grands nombres mettent en évidence que la plupart des très très nombreux absorbeurs potentiels sont d’impédance équivalente, vus des émetteurs, excepté s’ils présentent des résonances fréquentielles précisément accordées sur la fréquence qu’on émet vers eux.« 

      Ne seriez-vous pas »l’inventeur de la « théorie de l’esprit de serre du co2 et pas du nucléaire » ?
      ça collerait parfaitement : imaginez cette pauvre molécule de C02 perdue en altitude à -50°C est qui se laisse exciter par un émetteur judicieusement accordé à 200 °K sur sa raie à 15µm et donc réchauffée et si on vous suit, après s’être refroidie au milieu des autres molécules voire même en se comportant en émetteur surchauffé, elle va avoir du mal à retrouver son état d’avant... mais à un moment, après avoir joué ainsi les cigales elle va obligatoirement y revenir tout en restituant l’énergie qu’elle a absorbé. Drôle de vie..
      Il vaut mieux croire que la chaleur se disperse dans l’espace comme dans tout milieu, sachant que l’air est un isolant, qu’il peut stocker, en plus de la chaleur, une certaine quantité d’eau, et que cette eau est relativement prévisible même si elle peut être liquide à -40°.
      Ainsi, chaque fois que vous injectez chaleur et humidité dans l’air, ces dernières se diluent simplement et rapidement par mélange à un point que la température de l’air n’évolue que de façon imperceptible, limitant donc leur élimination par « les voies naturelles ». Cela suffit à expliquer le devenir de toute l’énergie déterrée par l’homme.


    • JC_Lavau JC_Lavau 3 janvier 2016 00:54

      @Homme de Boutx. Ton délire technique, n’hésite pas à en parler à ton psychiatre. Nous les bénévoles, nous ne pouvons rien de plus pour toi, à l’altitude où tu es perdu.


  • Le Gaïagénaire 3 janvier 2016 00:11

    JC_Lavau 2 janvier 16:38


    Ces petits « bruits » ne m’ont pas empêchés de vous comprendre. D’entendre le message sur l’onde porteuse.

    J’ai bien reconnu : Les mensonges donnent des fleurs mais pas de fruit.

    Bonne Année.




  • JC_Lavau JC_Lavau 3 janvier 2016 00:48

    « Rogue wave » aussi aurait dû rester en italiques. L’éditeur de SPIP perd bien des choses en route.
    Le gras de ces titres a été perdu aussi :
    La langue : premier artefact piégeux.
    Les pièges des artefacts feuille de papier et ligne de machine à écrire.

    Ainsi que les interlocuteurs du lecteur Curieux :
    Professeur Marmotte :
     - ...
    Z’Yeux ouverts :
    - ...


  • JC_Lavau JC_Lavau 3 janvier 2016 16:54

    Je renvoie à Quand des sommités niaisent à pleins tubes
    http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/quand-des-sommites-niaisent-a-154357
    pour le prix payé à avoir oublié la fréquence temporelle et la fréquence spatiale d’un quanton.
    Déjà traité ici le 18 juillet 201.

    L’expérience de Gouanère et al. avait déjà été présentée ici, à
    http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/coluche-nous-avait-explique-154321
    le 12 juillet 2014.

    L’usage des Fuseau de Fermat par l’expérimentateur a déjà été illustré à
    http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/contrafactualite-penrose-elitzur-155565

    ...


  • HClAtom HClAtom 3 janvier 2016 22:22

    Merci pour cet article.

    Si je comprends bien il y a dès lors un paradoxe évident : toutes les théories de physiques décrivent à la base des systèmes d’études fermés en première approximation, or il n’était déjà pas facile de réaliser cela en mécanique classique, et vous ajoutez que c’est encore moins imaginable en MQ, où il faudrait même carrément ajouter dès le départ un second principe d’incertitude, lié à cette impossibilité d’isoler un système.

    On comprend bien que seul l’univers dans son ensemble pourrait éventuellement être pris pour un système fermé (sauf multivers interagissant), mais bien évidemment aucun sous-ensemble de cet univers ne peut jamais être isolé, car il est forcément en interaction avec les autres sous-ensembles. Il serait donc en effet intéressant de concevoir nos théories de physique en intégrant ce fait dès le départ, au lieu qu’elles supposent une impossibilité.

    Cela me fait penser à un autre paradoxe, dont j’ai déjà parlé sur Agoravox : nos théories de physique partent du principe que le mouvement perpétuel n’existe pas, et pourtant nul n’est capable dans cet univers de trouver un seul objet qui soit strictement immobile. Et pareil, si vous osez en parler, simplement en parler, ... tous les dogmatiques de la Terre vous tombent sur la figure, hurlant à l’anathème. Le débat est interdit.

    Pas facile de faire de la science contre des gars qui refusent de prendre en compte l’évidence des résultats expérimentaux, mais se disent pour autant être les seuls vrais scientifiques. C’est peut être d’ailleurs de là que découlent tous ces paradoxes = ;o)


    • JC_Lavau JC_Lavau 3 janvier 2016 22:51

      @HClAtom. On a déjà fait plus clair et mieux rangé.
      « Mouvement perpétuel » désigne un artefact, ou système mécanique, voire électrique, construit de main d’homme, et prétendu fournir du travail gratuit.
      Aucun lien avec les mouvements astronomiques, ni même avec les usines marémotrices. Tu es donc en plein gloubigoulba, car tu n’acceptes pas la discipline de lexicalisation, tu n’acceptes aucune définition contractuelle.

      Tu n’as pas défini ce qui est interaction et ce qui ne l’est pas, à tes yeux. Tu n’as pas saisi le point essentiel de l’article. Je n’ai pas ajouté de principe d’incertitude. J’ai remplacé un postulat par une preuve d’explication physique. Quand à la preuve des faits, elle n’était plus à faire.

      En 1986 John Cramer ne donnait pas d’explication au fait que cette transaction se produisait, et non pas une des milliasses d’autres, toutes aussi individuellement imprévisibles. Cela restait un mystère inexpliqué. Toutefois je n’ai pas créé là une sixième interaction fondamentale, j’ai traité un autre problème, bien plus terre à terre. J’ai prouvé que vous ne pourrez jamais lever cette véritable incertitude là, celle qui « décide » ou hasarde quelle transaction. Il n’existe pas de substructure subquantique qui serait déterministe, il existe au contraire une superstructure imprévisible qui échappera toujours à nos ruses d’expérimentateurs.


    • Blondinette43 4 janvier 2016 00:23

      @HClAtom/Zip

      Yup et il est bien vivant, il dort à 15m de moi. A chacun de faire sa crise de foi(e) ou pas avec ces informations de première main.


    • HClAtom HClAtom 4 janvier 2016 08:50

      @JC_Lavau
      Désolé, non, « mouvement perpétuel » signifie ce que signifient les mots. En revanche « Mouvement perpétuel des physiciens » correspond bien à ce que tu nous décris. Les mots ont un sens.

      Mais où donc ai-je donc prétendu que tu avais « créé une nouvelle interaction fondamentale » ?

      Cela dit il est vrai que ton article est difficile à suivre, j’ai donc pu passer à côté de concepts importants s’ils n’étaient pas suffisamment bien expliqués.


    • JC_Lavau JC_Lavau 4 janvier 2016 11:01

      @HClAtom.
      Assume tes blagues : « aucun sous-ensemble de cet univers ne peut jamais être isolé, car il est forcément en interaction avec les autres sous-ensembles, » et "nos théories de physique partent du principe que le mouvement perpétuel n’existe pas,’
      Mais rien ne t’empêche de présenter des excuses pour avoir écrit des bêtises.


    • JC_Lavau JC_Lavau 4 janvier 2016 13:34

      @HClAtom : «  nul n’est capable dans cet univers de trouver un seul objet qui soit strictement immobile »...
      Mais dans quel repère ? Tout objet solide est immobile dans son repère. Il est vrai qu’à part la petite exception des planètes bien solidifiées comme la Lune, les objets solides sont rares dans l’Univers. La bielle d’une locomotive à vapeur est immobile dans son repère, qui n’est certainement pas galiléen.


    • HClAtom HClAtom 5 janvier 2016 19:28

      @JC_Lavau,
      Et bien voilà qui est plus raisonnable que de me dénigrer bêtement, et surtout qui respecte plus ta « Charte des débats », affichée sur ton site. Merci pour ça.

      Si on peut en parler calmement, oui, absolument, je ne remets rien de tout ça en cause, je ne propose d’ailleurs rien d’autre, je ne fais que m’interroger sur ces paradoxes de la physique : la théorie part toujours d’un système isolé, mais un système n’est jamais isolé, de systèmes immobiles dans leurs référentiels, mais tous les référentiels sont en mouvement ...

      Mon propos est simplement de dire qu’il serait peut-être intéressant de se pencher plus avant sur ces paradoxes. Une physique partant de postulats plus en accord avec la réalité serait-elle envisageable ? Serait-elle possible à décrire mathématiquement ? La physique statistique par exemple me paraît être une avancée dans une telle direction, et elle fonctionne très bien, dès lors nous pourrions imaginer une mécanique qui s’en inspire, voire qui en découle.


    • JC_Lavau JC_Lavau 8 janvier 2016 08:28

      @HClAtom. Tu as compris ce que tu dis, toi ?
      Moi non plus.


    • HClAtom HClAtom 9 janvier 2016 12:30

      @JC_Lavau,
      Ah bien sûr, si tu ne connais pas la physique statistique ...
      Et si tu n’es capable que de mépris et d’insultes au lieu d’arguments ...
      Et tout ça parce que je t’ai dit que ton article est intéressant ...

      Je te suggère de prendre quelques vacances car visiblement tu en as besoin.


    • JC_Lavau JC_Lavau 9 janvier 2016 16:37

      @HClAtom.
      Depuis quelques années, il ne me semble pas avoir lu de toi une seule intervention où tu aies manifesté un esprit clair ni rigoureux. Comme ça m’a échappé, n’hésite pas à donner le lien vers un exemple, l’exemple qui rachètera tout le reste..

      Exemples de critères de qualité que je ne t’ai jamais vu remplir :
      Les termes doivent avoir été définis ; leur usage se conformer au contrat lexical et sémantique précédent.
      A chaque fois, la référence concrète et expérientielle a été donnée, est vérifiable.
      Exprimer avec précision ton propre point de vue.
      Ne pas truander ce qu’on prétend être le point de vue ni la position d’autrui.
      Il est à l’échelle humaine de pouvoir résumer ce que tu prétends avoir voulu faire passer.
      ...

      Essaie d’appliquer mes critères de qualité, et tes interventions en seront transfigurées.


  • robin 4 janvier 2016 13:47


    Le second vous est reproduit ci-dessus : vous ne pouvez pas délimiter ni isoler un système à l’échelle microphysique, ou quantique.

    C’est peut être bien pour ça qu’un système de propulsion réputé théoriquement impossible comme celui-ci est finalement peut être possible :

    http://fr.ubergizmo.com/2015/11/06/nasa-confirme-propulseur-emdrive-fonctionne.html


    • JC_Lavau JC_Lavau 4 janvier 2016 13:58

      @robin. Les preuves sont encore très insuffisantes et fragiles, pour qu’on encourage à spéculer là dessus.
      Dans ce que nous savons du protocole, des infos manquent totalement : orientation par rapport au Soleil, à la course terrestre, aux directions des principales sources de rayonnement cosmiques actuellement répertoriées dans notre bras galactique. Liste certainement non exhaustive.


    • JC_Lavau JC_Lavau 4 janvier 2016 14:00

      @JC_Lavau. Mmh... accord en nombre : rayonnements cosmiques.
      Le relecteur semble distrait aujourd’hui.


  • JC_Lavau JC_Lavau 11 janvier 2016 15:31

    Contre-ordre : l’adresse donnée est celle d’un texte périmé.
    Depuis j’ai repris cela sous Libre Office, ai fortement remanié le plan, le titre et l’un des protagonistes. Adresse du texte actuel en pdf :
    http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/Physique/Microphysique_contee.pdf


  • JC_Lavau JC_Lavau 15 janvier 2016 22:29

    Depuis plusieurs années, voire décennies, les différentes variantes d’expériences « à choix retardé » ont abondamment prouvé que l’émetteur de deux photons corrélés demeure lié aux deux jusqu’à ce que soit faite la plus tardive des deux absorptions. Adieu donc au rêve d’artilleur d’un émetteur non lié à l’absorbeur.

    Demeurait toutefois le rêve d’une délimitation latérale. Ci dessus, je crois avoir donné la preuve que c’est impossible dans le principe même.

    Une image poétique et visuelle ? Dans la mise en scène de février 2007 à l’Opéra Garnier de A Kékszakállú Herceg Vára (Le château de Barbe Bleue) par les metteurs en scène La Fura Dels Baus, avec Béatrice Uria-Monzon dans le rôle de Judit et Willard White dans le rôle du duc Kékszakállú, l’impossible lit de leur impossible amour, harcelé des mains et des passages furtifs des précédentes épouses de Kékszakállú.
    https://www.youtube.com/watch?NR=1&v=wDaIe-vWmp8&feature=endscreen
    à 4’ 10".

    S’isoler vraiment ? Vous y croyez ?


    • patate 16 janvier 2016 09:32

      @JC_Lavau

      Votre vision ondulatoire de la matiere ne me choque pas mais comment expliquez vous le quanta d’energie ?

      En tous cas merci de m’avoir fait decouvrir le phenomene au nom allemand imprononcable ainsi que l’experience d’aspect.

    • JC_Lavau JC_Lavau 16 janvier 2016 13:43

      @patate. Tsittèrbévégoung en translittération française...

       Ce n’est pas l’énergie qui est quantifiée, mais l’action par cycle : h.

      Très minoritaires sont les émissions ou absorptions de photons qui ne soient tenues par des règles de quantification strictes : transitions d’un état stationnaire vers un autre état stationnaire, tous deux significativement stables ou métastables. La raison avait été donnée dans la thèse de Louis Victor de Broglie en 1924, puis confirmée par l’équation d’onde de Schrödinger de 1926. L’onde de phase de l’électron doit boucler très exactement autour du noyau, une fois, ou deux fois, ou trois fois, etc.

      Deux émissions a priori non quantifiées :
      1. Le rayonnement synchrotron d’une particule chargée, dont l’ERSF de Grenoble est une usine remarquable. Réservez votre temps de faisceau un an à l’avance, et avec un dossier technique très détaillé de l’expérience que vous projetez.
      2. Le Bremsstrahlung ou freinage d’une particule dotée d’une masse et chargée arrivant dans un milieu transparent et réfringent où sa vitesse de groupe est supérieure à la vitesse de la lumière. https://fr.wikipedia.org/wiki/Rayonnement_continu_de_freinage

      Je connais mal le Bremsstrahlung, mais je sais que toutes les expériences que l’on monte dans le prolongement d’un virage à l’ESRF, elles, sont de nature à choisir des fréquences des photons X qu’elles transigent avec le faisceau \beta émetteur. Or c’est la transaction complète qui fait le détail de la fréquence, de la phase, de la durée, et de la polarisation du photon transigé.


    • patate 16 janvier 2016 14:23

      @JC_Lavau

      la loi de stephan boltzman du rayonnement d’un corps noir egalement il me semble ?
      Peut-etre est-ce a quoi vous faites reference dans la loi de transition d’un etat stationnaire a un autre...

    • patate 16 janvier 2016 14:34

      @JC_Lavau

      Je me suis mal exprime, oubliez mon message precedent...
      Comment expliquez vous la quantification de la loi de boltzman si la lumiere est un phenomene uniquement ondulatoire ?

    • JC_Lavau JC_Lavau 16 janvier 2016 15:26

      @patate. Uniquement ondulatoire certes, mais tenue à chaque extrémité, à l’échelle individuelle.
      Ce qui n’avait rien d’évident en macrophysique.


    • patate 16 janvier 2016 17:18

      @JC_Lavau J’essaie de comprendre dites le moi si je suis completement a cote de la plaque. pour vous le rayonnement synchrotron est du a des artefact plus petit que la longueur de planck qui commutent ensemble pour donner une energie superieure a la constante de planck ?

      Vous dites souvent emetteur recepteur,pourtant un trou noir ne me parai pas un recepteur valide et l’evaporation de swartz-hawking existe ?


    • JC_Lavau JC_Lavau 16 janvier 2016 18:19

      @patate. Je ne m’occupe pas du tout de cosmologie. A chacun son métier.
      Croire à « la longueur de Planck », très peu pour moi. Je ne me souviens pas avoir exposé ici mes raisons de ne plus faire confiance à l’extrapolation illimitée de la géométrie familière, apprise autrefois en classe, au domaine microphysique. Elle a des horizons inférieurs de compétence.
      C’est détaillé aux pages 29 et 37 de l’opus cité :

      La microphysique que l’on vous conte est-elle bien la bonne ?

    • patate 16 janvier 2016 18:52

      @patate
      Et vous accordez benefice a la constante de planck d’ou decoule la valeur h. Pourquoi la valeur de planck ne deviendrai pas la valeur de l’artefact ? L’aberration est fixe ou est-elle rejetter a l’infini ?


    • JC_Lavau JC_Lavau 16 janvier 2016 18:54

      @patate. Moi j’arrête là. Etudiez votre cours.


  • JC_Lavau JC_Lavau 16 janvier 2016 19:04

    Je vois mal ce qu’on peut bien glander en astrophysique et en cosmologie, si on ne commence pas par maîtriser la physique atomique et la spectroscopie.


    • patate 16 janvier 2016 20:16

      @JC_Lavau
      Et si l’evaporation est la resultante du passage de l’energie a travers de l’aberration du niveau superieur ?



    • JC_Lavau JC_Lavau 16 janvier 2016 21:27

      @patate.
      En somme vous harponnez des mots au hasard, présumant que leur accrochage sur votre accroche-poisson, ça va coder un message ?


    • patate 20 janvier 2016 14:21

      @JC_Lavau

      j’ai lu votre trait de microphysique hier.
      prcis, concis et efficace. je suis largu au niveau
      mathmatique mais mes notions en chimie organique, chimie minrale et physique
      relativiste mepermette de saisir l’a-propos

      je me permet de saisir l’habit de votre personnage curieux

      postulat 1 : tout change nergtique se fait a partir du
      phnomne metteur-rcepteur rsonnance ondulatoire (postulat de
      laveau)

      postulat 2 : il existe un univers A’ de la taille de la longueur de
      planck peupl d’un bestiaire de phnomnes nergtiques de
      longueur d’ondes infrieure a la longueur de planck. bien sur cet univers
      accouche d’un phnomne relativiste de vitesse C’

      reprenons notre discussion, pour vous il existe une commutation entre des
      artfact de longueur infrieure a la longueur de planck qui aboutit a une
      nergie suprieure a la constante de planck.

      pour moi ces artfacts font la longueur de planck.

      plaons cette commutation dans l’univers A’.
       cette commutation ne se comporterait-elle pas comme un trou noir ?

      imaginons une transaction nergtique entre l’univers A’ et notre univers A

      il faut un metteur dans l’univers A’ : je ne vois que l’univers A’ entier
      il faut un rcepteur dans l’univers A : je ne vois que nos artfacts de la taille de la longueur de planck

      phnomne de rsonance ondulatoire de laveau coup par la barrire de planck.
      rsultante dans l’univers A’ : l’vaporation de hawking’
      rsultante dans l’univers A : rayonnement synchrotron

      pour en revenir a vos mtaphore de pche : il est pas frais mon
      poisson ?

  • JC_Lavau JC_Lavau 13 mars 2016 12:40

    Suite aux colères grotesques d’une chercheuse israélienne qui ne trouve pas, l’évidence a surgi du plus énorme des postulats subreptices et clandestins enseignés partout en MQ : le postulat anti-relativiste.

    Selon eux, le temps demeure celui du dieu d’Isaac Newton, qui pouvait tout voir simultanément et instantanément. Mathurin Popeye diagnostiquerait que c’est de l’imaginature.

    Selon eux, et hélas aussi selon le formalisme qu’ils enseignent, le temps est un paramètre universel et ubiquiste ; Ils font comme si le temps du laboratoire était universel. Or déjà le premier photon venu viole leur postulat anti-relativiste : il voyage à temps propre nul ; la réaction qui le crée à l’émetteur et la réaction d’annihilation à son absorbeur sont pour lui simultanées, et également causales. Simultanées selon-le-photon mais pas d’une durée nulle, sinon aucune expérience d’interférence ne réussirait, car chaque photon serait de longueur de cohérence nulle. Deux molécules d’un même gaz, chacune ayant une vitesse différente dans des directions différentes, n’ont pas le même écoulement du temps ; cela tous les relativistes le savent, alors que les enseignants de la MQ copenhaguiste en sont inconscients et ignorants. Ceux qui sont en charge d’un accélérateur de particules savent fort bien que l’électron ou le proton accélérés ne sont plus du tout dans le temps du laboratoire, mais le professeur de MQ l’ignore, et écrit le contraire au tableau noir.


  • JC_Lavau JC_Lavau 8 mars 2020 20:03

    La dernière livraison de PLS (Pour la Science) contient deux articles qui se croient novateurs, en réalité routiniers et conservateurs : 




    Avec des observateurs « en état superposé », et ne remettant jamais en cause un seul des vingt-deux postulats subreptices, restés au pouvoir depuis 1927... 

    Listons ces postulats subreptices, enseignés partout :
    http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Physique/22postulats.pdf

    Ce résumé rapide était nécessaire, vu que la 9e édition du manuel a pris plus de cinq mois de retard. Il est difficile d’être partout.


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