Commentaire de L’enfoiré
sur Être francophone dans un pays anglophone
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
Bonjour Raymond,
Toujours intéressé de lire un article d’un Québecois comme vous. Ici ou sur une autre antenne.
Ce sujet-ci est particulièrement intéressant. Dans ma folle jeunesse, j’ai pensé partir au Canada. A cette époque, je ne fixais pas mon choix sur la partie francophone ou anglaise. Nous avons chez nous cette même proximité de communautés différentes et marquées. Passons à l’article.
Vancouver, c’est un peu la Méditerranée européenne, non ?
Donc, des enseignants français mais pas d’élèves québecois et pas d’anglophones canadiens ?
« L’anglais ça s’attrape » Phrase qui m’a interrogé sur le sens à y mettre.
Je dirais que des langues s’attrapent toujours dès le plus jeune âge.
Nous avons les meilleurs polyglottes en Belgique quand les parents proviennent des deux communautés. Pas d’aversion à avoir entre les langues. Ce sont de « bêtes outils » mais essentiels pour la vie dans le monde. Je râle souvent quand je pense qu’on a fait l’Europe financière sans choisir une deuxième langue commune enseignée comme la première dans les écoles.
Derrière tout cela il y a des raisons politiques. Quand on s’harmonise pas on duplicie les postes au gouvernail.