Commentaire de louphi
sur La France au Mali : une guerre juste ?


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louphi 13 février 2013 21:07

SEPH 

Vous avez jeté bas votre masque anti-impérialiste. C’est cela le plus important aspect qui ressort de votre récitation ci-dessus. Vous récitez le coran de l’anti-impérialisme arabo-berbère, autre visage de l’impérialisme mahométan en Afrique du Nord.

« Vous acceptez la charia peut-être en Libye mise en place grâce à l’intervention programmée de l’OTAN ? »

La question s’adresse plutôt car c’est vous qui, par votre galanterie à l’égard du mahométanisme, plaidez pour la charia en Libye instaurée par les alqaïstes installés par l’OTAN avec l’appui de la Ligue mahométane arabe. La charia, ce n’est que le mode de société prôné par le mahométanisme que vous défendez.

« Ce que vous appelez » barbarie mahométane" est="est" par="par" et="et" autres="autres" groupes="groupes" qui="qui" en="en">span>

Al-Qaïda ne fait qu’appliquer les préceptes de Mahomet et rien d’autre.

« Alors, que veut dire ce concept général de « barbarie mahométane » ? C’est une ineptie qui permet au colonialisme de justifier ses conquêtes, ses exactions. C’est un langage de néoconservateur, le plus éculé mais redoutablement efficace depuis le 11 septembre. Puisque cela à permis l’invasion de l’Irak, de l’Afghanistan,.... »

L’idéologie et la pratique de la barbarie mahométane, c’est le Coran et le Sunna, transcriptions livresques des idées, de la vie de Mahomet et sa bande de gangsters, idéologie dont chaque musulman et musulmane est imbibé, pas seulement ceux qui montent au front comme les alqaïdistes. Voilà très exactement ce « ...que veut dire ce concept général de « barbarie mahométane » ». Si vous ne la connaissez pas, vous trouverez ci-après quelques extraits de cette funeste idéologie tirés du Coran.

« Alors où sont les 10 millions de maliens séquestrés et terrorisés par les rebelles !!! »

Votre mémoire est si courte qu’en seulement à peine 1 mois, vous avez oublié que la rébellion touareg alliée à l’armada des combattants d’Allah, paradaient et semaient la terreur sur la moitié du Mali et s’apprêtaient à s’emparer de tout le Mali ! C’est normal pour un partisan de l’impérialisme mahométan.

« De plus, vous mélangez tout…Al-Qaida…AnsarDine…Mujao…MNLA…AQMI…AZAWAD… ».

Vous avez tout le loisir que vous voulez pour démêlez les inextricables fils qui nouent toute cette mouvance berbéro-arabo-mahométane, seigneurs de guerre dans le Sahel. C’est votre affaire de défenseur du mahométanisme.

« De façon générale : ces indépendantistes sont essentiellement des Kountas, des Maures et des Touaregs, ceux que les Noirs du sud appellent les « peaux pâles » et qui sont les premiers habitants de ces deux tiers Nord du Mali au-desus du Niger : l’Azawad. »

Vous opérez ici une grande escroquerie vis-à-vis de l’Histoire. Ce que vous racontez sur l’ancienneté des caravaniers nomades berbéro-touaregs par rapport aux populations noires dans le Sahel est tout à fait faux, archi-faux. L’ancienneté des caravaniers nomades arabo-berbères par rapport aux populations NOIRES, NÈGRES, que ce soit au Sahel en particulier ou en Afrique du Nord en général, même au Moyen-Orient et au-delà, est une fable pondue par l’imagination des pillards et des envahisseurs.

Et pour cause, voici.

Tout d’abord, c’est en Europe, dans la péninsule ibérique (France, Italie, Espagne, Portugal), que l’homme blanc est apparu, il y a environ 25000 ans, à la fin de la dernière période glaciaire qui a sévi en Europe. C’est l’Homme de Cro-Magnon. Cette apparition de l’homme Blanc est le résultat d’une mutation génétique, dans cette région, de l’Homme NOIR venant d’Afrique.

Cette mutation génétique de l’Homme Noir en Homme Blanc s’est produite suite à un séjour de l’HOMME noir de plusieurs millénaires dans ce climat glaciaire. Pour se retrouver dans la péninsule ibérique, l’Homme Noir était passé à gué par le détroit de Gibraltar, en Afrique du Nord. Le niveau des océans, en cette période glaciaire, était alors suffisamment bas pour permettre le passage à gué par le détroit de Gibraltar. Ce sont des données scientifiques que personne ne conteste. Rien que cela, le Touareg, homme de race blanche, ne pouvait pas se retrouver en Afrique du Nord avant les peuples noires.

Poursuivons. Les Touaregs (ou Berbères) sont une branches des populations blanches, nomades barbares, originaires des pays européens du pourtour de la méditerranée. Les indo-européens sont une autre branche de populations blanches ayant migré vers l’Asie à travers le continent. Les sémites (juifs et arabes), sont le produit du métissage des indo-européens, au Moyen-Orient, avec les peuples noirs autochtones rencontrés au cours de leur migration.

Les Touaregs commencèrent à poser pied en Afrique du Nord environ vers 1300 avant Jésus-Christ. Populations nomades barbares, les Touaregs, comme les autres populations blanches nomades indo-européennes, étaient attirés par les conditions de vie favorables des civilisations Noires sédentaires autochtones du Moyen-Orient et d’Afrique, en particulier l’Egypte des Pharaons. Jusqu’en 625 avant J-C, les peuples noirs autochtones d’Afrique du Nord avaient toujours refoulé les Touaregs et leurs compagnons indo-européens. Les Egyptiens, peuples noirs peuple noir de Pharaon, désignaient l’ensemble des populations blanches qui déferlaient chez eux, par l’expression « peuples de la mer ». C’est dire que du temps des pharaons, les « peuples de la mer, populations de race blanche, étaient étrangers sur le continent africain et au Moyen-Orient.

Ce n’est qu’à partir de l’invasion de l’Egypte Noire des pharaons, par les « peuples de la mer », que les Touaregs, entre autres populations blanches, et les sémites, prendront le dessus sur les autochtones noirs. Les peuples noirs autochtones, subissant des massacres, seront alors progressivement décimés, délogés et refoulés au Sud, en particulier vers le Sahara. Les populations noires survivantes d’Afrique du Nord seront progressivement réduites en esclavage par les envahisseurs blancs, les « peuples de la mer », les Berbères et les indo-européens, et plus tard par les sémites (juifs et arabes). C’est ainsi que s’est formé le Maghreb berbéro-arabe.

A partir de ces conquêtes, les Touaregs (berbères) et les indo-européens, ensuite les arabes, instaurèrent un régime de pillage des civilisations noires. C’est ce pillage qui a permit au peuples indo-européens de la méditerranée d’accéder à la civilisation. C’est ainsi qu’était sortie la première civilisation indo-européenne de l’Histoire, la civilisation Grecque.

Contrairement aux peuples de race noire, les peuples de race blanche pratiquaient l’esclavage (1). Le ravitaillement en esclaves se faisait au moyen des razzias. Par des conquêtes successives, les « peuples de la mer », berbères et indo-européens, soumirent tous les peuples noirs en esclavage d’abord en Afrique et au Moyen-Orient. La branche sémite (juive et arabe) décréta l’esclavage de l’Homme Noir comme étant la condition d’existence de l’Homme blanc. La branche sémite consigna ce décret dans un livre qui s’appelle la THORA pour les juifs, le CORAN pour les arabes. La branche sémite offrit ce livre à son Dieu Yahvé, alias Allah. La THORA scelle l’alliance éternelle et divine entre les descendants de Cro-Magnon.

Ainsi, depuis des millénaires, la prospérité de l’occident s’est bâtie sur l’esclavage à outrance des peuples noirs à partir de son berceau l’Afrique. Les Touaregs, avec les arabes, n’ont cessé de jouer chacun sa partition. Les Touaregs, pour leur part, ont par exemple joué le rôle de précurseurs des conquistadors portugais qui, plus tard, procéderont à l’extermination des amérindiens. Jusqu’à ce jour, les Touaregs, avec les Arabes restent en Afrique, au sahel, les conservateurs indécrottables de ces pratiques esclavagistes à l’encontre des populations noires autochtones.

En effet :

«  Presque deux siècles après que les Anglais ont interdit la traite atlantique [le 2 mars 1807], il reste encore des esclaves dans certaines régions qui bordent le Sahara. Les choses ont cependant commencé à changer au Niger, un pays semi-désertique au cœur de l’Afrique de l’Ouest, où vient de se produire l’une des plus importantes libérations massives d’esclaves qu’on ait vues.

Au moins 43 000 personnes seraient maintenues en esclavage au Niger, où cette pratique n’a été déclarée illégale qu’en mai 2004. Selon la nouvelle loi, les propriétaires d’esclaves, principalement des membres de tribus touarègues vivant dans les régions les moins peuplées de ce grand pays qu’est le Niger, peuvent être condamnés à des peines allant jusqu’à trente ans de prison. Cette loi a été sans grand effet jusqu’à présent. Mais un puissant chef touareg, Arrissal Ag Amdagh, a récemment décidé de libérer tous les esclaves vivant dans son campement, à Inatès, à la frontière du Mali, lors d’une cérémonie publique à laquelle ont assisté des représentants du gouvernement. Il s’agit du premier affranchissement d’esclaves en masse dans l’histoire du Niger, et les abolitionnistes espèrent bien qu’il servira d’exemple. » (2).

Chacun comprend parfaitement que les Touaregs n’ont aucune légitimité pour revendiquer quoi que ce soit au Mali en particulier et au Sahel en général. S’ils ne veulent pas être administrés par les Noirs, qu’ils aillent où qu’ils veulent, en Occitanie d’où ils viennent par exemple, mais qu’ils ne restent pas en Afrique !

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(1) La Thora

(2) (SEPT MILLE ESCLAVES AFFRANCHIS
- Aide et Action
)



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