Commentaire de eau-du-robinet
sur L'UE va financer des « trolls » pour contrer les eurosceptiques en vue des élections de 2014


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eau-du-robinet eau-du-robinet 14 février 2013 11:02

Voici un sujet pour les Trolls !

Le grand marché transatlantique prévue pour 2015 reçoit un coup d’accélérateur par l président américain Barrak Obama en personne (c’est passé hier dans les informations à la télé).

Dans son édition dominicale, la Neue Osnabrücker Zeitung a révélé par la voix de son ministre des Affaires étrangères, Guido Westerwelle, les objectifs profonds de la construction européenne : l’instauration vers 2015 d’un marché transatlantique sans entraves.
En fait, ce ministre n’est que le porte-voix d’une politique préparée en amont depuis longtemps. En effet, l’objectif consistant à créer un bloc transatlantique unifié est clairement affiché sur le site de la Commission européenne.
Tous ces documents sont relayés par le très puissant institut euro-américain, le Transatlantic Policy Network (TPN) ou en français « le réseau politique transatlantique » . Bénéficiant de l’appui financier d’une multitude de multinationales (Boeing, Microsoft, Nestlé…) et d’une myriade de think tanks (Chatham House, CFR, Bruegel…), le TPN est dirigé par le député anglais au Parlement européen, James Elles. Ce Parlement européen, véritable courroie de transmission, est à l’origine de l’élaboration de nombreux textes appelant entre autre à la création d’une assemblée transatlantique.
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Finalement, toute cette politique élaborée depuis longtemps par les élites était déjà résumée par le fondateur de la très mondialiste Paneurope, Richard de Coudenhove-Kalergi, qui, recevant en 1950 la plus haute distinction en faveur de la construction européenne, le « Prix Charlemagne », appelait à une « Union atlantique », véritable « Fédération à trois » où l’Angleterre ferait « le pont entre l’Amérique et l’Europe ».
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A terme, c’est une plus grande symbiose entre les politiques et les législations américaines et européennes qui va être à l’œuvre. Mais l’on ne voit pas pourquoi et comment l’hyper puissance yankee n’imposerait pas ses normes et ses usages, dans la « protection » de l’environnement et des consommateurs, dans le domaine de la santé, au sujet du problème très sensible des OGM, , de la législation sur les produits chimiques. Tout cela se traduira inévitablement par une régression, à la grande satisfaction de ceux qui tentent, avec une obstination remarquable, de déréguler tous ces secteurs, sans trop de succès jusqu’à maintenant. Il est assuré que le Traité transatlantique va leur donner le sésame pour ouvrir toutes les portes, d’autant plus que ces combinaisons sont ficelées sans contrôle démocratique.
Ce traité achève donc la perte de la souveraineté de l’Europe, qui, pour autant, n’en a eu que dans l’étroite marge que lui laissait la puissance américaine. Celle des 27 nations européennes a pris fin l’an dernier, par le Traité d’équilibre budgétaire européen. Or, les lois qui régissent les relations internationales sont comme celles de la nature, nonobstant l’inévitable hypocrisie inhérente à l’espèce humaine. Le plus fort impose sa volonté, que l’on essaiera d’incarner, par exemple, par l’usage obligatoire de l’anglais comme langue maternelle.
.Parallèlement, la création d’un espace commun de contrôle des populations, d’une aire de coopération transatlantique en matière de « liberté de sécurité et de justice » est prévue d’ici 2014, surtout au profit de l’ultra sécuritaire Etat américain, obsédé par le terrorisme et encouragé par le Military Commissions Act of 2006, qui permet de poursuivre toute personne quelle qu’elle soit, y compris non américaine, considérée comme ennemi, « combattant illégal ».

L’étape suivante sera la réalisation d’un pouvoir exécutif, qui sera institué dans les dix ans, et qui usera comme il l’entend de la force judiciaire, policière et militaire. Les peuples devront se plier. Et comme le processus de domestication ne s’effectuera pas sans réactions, il est probable que des révoltes auront lieu, sans doute violentes, avec des réponses répressives adéquates. Une ère de dictature s’annonce.

Nous sommes, nous, Français, Européens, à un tournant de notre histoire. Sera-t-il dit que nous ne savions pas, et que, quand il sera trop tard, nous n’ayons d’autre choix qu’entre la servitude et la mort ?
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Lundi 4 février 2013, une dépêche de l’agence Reuters est tombée :
« L’union européenne a levé lundi les restrictions qu’elle faisait peser sur l’importation de plusieurs viandes américaines, une décision constituant le premier pas vers un accord de libre-échange qui concernerait près de la moitié de la production mondiale. [...]

L’interdiction des importations de porcs vivants et de viande de boeuf lavée dans l’acide lactique, justifiée par des objections de l’UE sur les conditions d’élevage et d’hygiène dans la production de viande aux États-Unis, doit être levée le 25 février.

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Puis après c’est le tour de la libéralisation de toute sorte des pesticides des OGM ... le tout soutenu par une »Projet non existant« de tracabilité.
Les industrielles se battent vehement contre une traçabilité ... voyez donc le scandale actuel avec la viande de cheval découvert dans le hachis parmentier de chez Findus ou en Angleterre ou on à trouvé en vente de la viande de porc »étiquette comme viande de bœuf« ...

Ce contrat de dit »libre échange transatlantique" nous conduit à la perte des nos dernières libertés ! La liberté des multinationales c’est la perte de nos liberté à nous opposer contre la malbouffe et contre l’ingérance politique des américains sur le sol européen !

Cette Europe dirigé par intermédiaire de 15.000 lobbyistes payée et travaillant aux services des multinationales et des banques privées on en veut pas.

Et maintenant avec notre agent l’Europe franchit vraiment les limites, avec une arrogance sans limites, en fiancent une campagne pro européenne pour convertir les Eurosceptiques. Trop c’est trop !

L’Heure de quitter cette Europe qui à détruit les services publiques, qui alimente artificièllement la crise par son programme d’Austérité (Austérité pour les peuples en Europe) car l’Austérité ne concerne pas les multinationales ni les banques privées.

Sortons de l’Europe ...il y à URGENCE .... et vite !


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