Commentaire de Disjecta
sur Chavez ou la stupéfaction des crétins
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C’est moi qui m’excuse. Effectivement les guillemets s’imposaient pour « gorille » (rendons à Alexandre Adler ce qui appartient à Alexandre Adler).
J’en profite juste pour souligner cette impérissable remarque sur Twitter de Pierre Schapira, adjoint socialiste au maire de Paris en charge de l’international et de la francophonie, le soir même du décès de Chavez (afin de ne pas oublier à qui l’on confie les rênes du pouvoir lorsque l’on s’aventure à « voter utile ») :
« Chavez est mort. Paix à son âme. Mais libération pour les Vénézuéliens d’une dictature épouvantable. »