A l’époque, il fallait un ordinateur grand comme une maison pour contenir ce qu’il y a dans votre PC portable : détail important.

Pas de cratère au pied du LEM (on vous explique que le sol est dur : mais par contre, au pied du LEM toujours, on vous montre une empreinte de chaussure : va comprendre...)

Mais l’invraisemblable est ici :

Vous savez ce qu’il faut d’énergie pour mettre un satellite en orbite approximative, et le déluge de feu sous les fusées.

Mais sur la Lune, le job était de mettre sur la même orbite que le véhicule de retour un engin contenant deux hommes, à l’aide d’un carburant dont on a déjà consommé beaucoup pour la descente. A g/6, il fallait atteindre 8570 km/h avec un engin à peine manœuvrable, à un temps T ultra précis (aucun des deux engins ne pouvait effectuer le moindre rattrapage, faute de carburant), et selon un angle parfait (faute de quoi les engins, circulant sur deux orbites différentes, ne pouvaient se rejoindre, l’un étant sur un méridien et l’autre sur un autre).

Succès six fois de suite, sans anicroche.

Vous savez quoi ? Je n’y crois pas.

Ajoutez les ombres convergentes en un même point, et faites comme moi : rejetez ce scénario qui ne mérite pas une série B.