Commentaire de Jean Keim
sur La grande illusion
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@gaijin
Oui, mais il ne faut pas se leurrer, tout le temps, en tout lieu, la ronde des pensées est là, une conversation, quelqu’un parle de Dieu et hop la pensée turbine et s’empare du sujet qu’elle connait bien, un souvenir d’une lecture, d’une conférence entendue auparavant, les croyances personnelles, tout se met en place automatiquement par habitude et sortent les mots magiques que nous prononçons des millions de fois « moi -je ».
Avec simplement l’attention, je n’ose pas dire avec une prise de conscience tant ce mot est mis à toutes les sauces, une certaine qualité de pause s’instaure, un ralentissement du processus, et ça fait du bien avant la reprise de la folle du logis ... il manque qq. chose, trop de ceci et pas assez d’espace ...