Commentaire de JL
sur L'Art contemporain : Spinoza et Frédéric Lordon...
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
@Taverne
vous dites : mais le beau est à part.
Je vous rétorquerai : « nous ne tendons pas vers une chose parce que nous la jugeons belle mais au contraire nous jugeons qu’elle est belle parce que nous tendons vers elle. »
La chose possède intrinsèquement des qualités qui relèvent, ou bien du bon/ mauvais, ou du beau/laid, ou du vrai/faux, etc. Et parfois, de plusieurs à la fois.