Commentaire de wesson
sur Hollande et la classe politique à poil
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@berry
Amusons-nous avec votre argumentaire
- choisir la date très symbolique du 14 juillet.
Alors que le 15 juillet à 6 heures du matin était bien plus adapté ...
- choisir ses victimes qui ne lui ont rien fait (il ne s’en est pas pris à sa femme par rancœur)
Un peu comme le pilote de la germanwings. Le laius sur son épouse, là je n’ai pas compris)
- choisir un mode opératoire pour faire le maximum de dégâts avec peu de moyens.
prendre les outils que l’on connait le mieux
- repérer les lieux
La promenade des Anglais, l’un des lieu les plus connu du monde, dans une ville ou il vivait depuis des années
- louer le camion
très certainement symptomatique du djihadisme le plus virulent
- le mettre en place 1 jour à l’avance
Plusieurs, mais ça change quoi ?
- acheter une arme de poing et des munitions
et aussi se doter d’armes factices, totalement inutiles dans le mode opératoire choisi
Dans votre inventaire, vous prouvez quoi ? Qu’il y a eu préméditation ? Ben oui, le simple fait d’avoir loué le camion et l’avoir garé sans rien en faire en attendant le jour fatidique est effectivement un élément allant dans ce sens.
Mais vous n’avez rien apporté qui permette de qualifier le caractère religieux de son acte, mais par contre laisse bel et bien transparaître la folie derrière tout cela.
Comment expliquer les armes factices, la grenade trouée, tout cet attirail de plastique ? En quoi pouvait-il être utile ? Et ou est la ceinture d’explosif que les djihadistes ne manquent jamais de porter lorsqu’ils commettent des attentats ?
Tout porte à croire qu’il s’agit bel et bien de l’acte imbécile d’un déséquilibré, passé de la dépression à la folie. Quelque chose qu’il est impossible de prévoir ou d’empêcher, même dans le cadre d’un état policier dans lequel vous cherchez à nous faire basculer.
Mais là encore pas d’inquiétudes : Hollande et Valls ont parlé : c’est un djihadiste ! Et le message a bien été reçu par les enquêteurs et les médias : on va tout faire pour le laisser penser, puis enterrer la chose dans une interminable enquête qui accouchera d’une souris dans 10-15 ans, comme l’affaire de Tarnac.