Commentaire de howahkan Hotah
sur Le sens de la vie


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howahkan Hotah 10 août 2016 15:37

@Neymare

Oui je saisis, ce n’est que hier en parlant avec cet ami que ce sens là est apparu..avec clarté..
Là il me faut revenir sur le mot de conscience..

pour moi le mot conscience désigne ce qui est à la fois le programme de la pensée analytique et le contenu mémorisé, y compris la mémoire du futur idéal...c’est donc à la fois l’observateur et l’observé ( merci k) ..

mais bon on va pas chipoter smiley

si il n’y a pas d’observé donc d’analysé donc d’analyseur, là se produit quelque chose mais ce n’est pas les limbes de la non pensée qui sont là...

par contre je ne saurais dire si la conscience est vide ou pas vide, je ne sais pas..mais pour moi tout cela reste et il s’agit d’autre chose qui se met en route...ce que j’appelle ici sur avox, nos capacités oubliées..
..
par contre je suis largué sur ceci : Donc pour toi, tu es l’observateur (« Je ») qui expérimente la vie d’Howahkan, mais tu n’es pas Howahkan, car tu ne peux être l’observé. Si, moi, en tant qu’observateur, je décide, après ma mort, d’expérimenter la vie d’Howahkan, pas de problème : je serai le témoin de ta vie, sans qu’une seule virgule en soit changée. C’est comme quand on regarde un film, quelque soit le spectateur, le film est le même.

Mon approche de l’observateur observé s’est produit par hasard en vivant ce qui semblait être souffrance comme le le faut et en ne faisant donc rien avec la pensée pourquoi ??

lorsque je souffre, la pensée croit que c’est un élément séparé qui n’est pas elle...sa façon d’analyser en tant que programme est d’être un observateur qui va regarder l’objet de son analyse, cela marche dans les domaines pratiques et physiques...

mais dans le cas de quelque chose de non physique ??? 

Cette souffrance me fait mal, j’essaye alors d’agir sur cet élément que je vois séparé de moi, toujours la configuration du programme de la pensée en route, donc à savoir un centre qui sait et observe et l’objet de son observation , il y a binarité

moi agit-analyse sur la chose observé, or dans ce cas elle n’existe pas, il y a juste moi dont l’état est qualifié et ressenti comme une souffrance comme le crayon est rouge..la souffrance est un qualificatif pas un objet séparé qui est la souffrance, on n’est plus dans la dualité mais dans ce qui est un, unitaire..là ou la pensée ne doit jamais aller sais je maintenant !!

c’est comme si le crayon rouge ne voulait pas être rouge qui est son état de couleur décidant que ça n’est pas lui, à ce niveau c’est aberrant et surtout faux et provoque encore plus de douleur = plus de névroses = plus de violence= plus de non sens etc etc

ceci est donc une illusion, n’est pas le réel et que j’ai découvert la première fois ou j’ai laissé être cette souffrance parce que je venais d’être vaincu par cela sans atteindre le stade de l’idée de suicide prêt à accepter ce qui arriverait, j’ai laissé la souffrance m’envahir sans rien attendre du tout donc quoique-il arrive furent les mots exacts...et et et, elle a disparu de suite !! accompagné d’une sorte de bien être étrange sans cause connues, de beaucoup d’ énergie etc etc et +++ après...

des flashs instantanées de compréhension a brûle pourpoint, des visions, des révélations de l’inconscient, d’autres résolution de souffrance etc et dernièrement la révélation en plusieurs fois du programme de la pensée....

 ce moment que je décris ici est la chose principale que j’essaye de dire ici et en général par écrit ..car d’autres peuvent en tirer quelque chose si ils trouvent par eux même que « faire » quand je vais mal, allez mal est a double tranchant , soi je fuis est c’est le calvaire car je ne peux fuir c’est moi qui est comme cela , soit je ne fuis pas....

si je ne fuis pas je me trouve dans cette situation : je souffre, j’ai ai plein le cul car j’ai tout essayé je pense et rien ne marche..alors vaincu j’arrête de résister, de faire le kéké des villes ou des bois, je suis à genoux « je » est à genoux et laisse le malheur être sans rien attendre du tout ce qui va alors impliquer tout l’inconscient dans cette situation....

c’est comme si le crayon rouge ne voulait pas être rouge qui est son état de couleur décidant que ça n’est pas lui, à ce niveau c’est aberrant et surtout faux et provoque encore plus de douleur = plus de névroses = plus de violence= plus de non sens etc etc

la souffrance qui est souvent l’état de la pensée, si si , si elle est vécu sans rien attendre ni vouloir, juste vaincue, se transforme en un catalyseur qui va réveiller nos autres, certaines de nos autres capacités dont une sait retrouver la source de ce qu fait mal de par elle même car c’est son boulot,cela se passe tout seul et est trop rapide pour la pensée c’est le moment ou le basculement dans le cerveau va se produire....peut être pour la première fois ou pas..

ceci est le départ de choses impossibles....je sus faire cela par moi même très jeune puis l’ai perdue et l’ ai retrouvé après , comme pour moi il n’y a personne d’exceptionnel, ni de spécial, seule la pensée va croire cela , qui est faux , cela est donc là pour tout le monde..

si cela n’ait pas le cas alors c’est L’Origine qui est démente mais cette énergie étrange si en paix parfaite qui délivre ’une sorte de contentement absolu n’est visiblement pas démente....

c’est donc la pensée qui agissant tel un dictateur sur le cerveau crée cette démence....

Par contre si je cherche quelque chose en pensée avec ce programme analytique, rien que la même chose ne va se passer et même faire augmenter le problème

donc jusqu’à un certain niveau c’est à la pensée de faire le travail c’est elle qui a les clés de sa propre délivrance, mais elle doit juste les laisser libre d’accès...

c’est un travail d’équipe...

aujourd’hui après cette découverte par hasard ce premier moment ne pouvant plus se reproduire à l’identique , lorsque je pense et ressent ce mal être de vivre je sais que je ne dois pas y toucher...et à chaque fois je dois retrouver un nouveau moyen pour ce faire sans que ma pensée interfère et c’est là que j’ai compris pourquoi la souffrance même si elle n’est pas extrême heureusement ...sans cela la pensée ne va jamais renoncer à son leadership par ignorance brute et habitude routinière...

le temps passe et « on » apprend à développer le repérage de plus en plus tôt de ce qui autrefois devenait souffrance ....le mental est de plus en plus alerte car il n’est pas con, la souffrance il n’en veut pas c’était juste que avant il ne savait pas......

etc............
 ..
post scriptum : je n’ai pas relu.....


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