Commentaire de Taverne
sur Le Printemps de notre Etre


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Taverne Taverne 20 septembre 2016 21:48

@Christian Labrune

« du presque rien » : je vois que j’ai affaire à un connaisseur en Jankélévitch qui prisait particulièrement cette notion de « presque rien ».

Sur l’instant : « Toucher ce presque rien qui invisiblement nous transforme et qui pourtant demeure irréductible à toute description. »


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