Commentaire de Christian Labrune
sur Quand il est interdit aux vieux d'aimer ....


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Christian Labrune Christian Labrune 28 septembre 2016 23:38

 à l’auteur,
Je ne comprenais absolument rien à ce que je lisais. Il me paraissait, sans trop en être sûr, qu’on avait dû faire une sorte de procès pour outrage à la pudeur à deux vieux surpris au milieu de leurs ébats dans un endroit plus ou moins public alors que, s’il s’agissait de jeunes, on préfèrerait évidemment fermer les yeux. De fait, c’est une situation qui prêterait tout au plus à sourire, et non point à se scandaliser : il n’y a pas d’âge pour la bagatelle, du moins en France..

J’ai fini par me dire que la clé de l’énigme devait être dans les deux noms cités tout en haut de
page : Muhammad et Fatima Nejjar. J’ai interrogé Google, et il me m’a pas fallu très longtemps pour apprendre que ces deux-là, avant d’être des vieux, étaient de ces islamistes qui affectent d’être fort chatouilleux sur la question de la vertu, celle des fille en particulier, de ces crétins qui organisent un peu partout dans les pays musulmans, en Iran comme dans l’Etat coranique ou dans un Maroc gouverné par les islamistes, et même désormais dans nos banlieues françaises, une sorte de police des moeurs caractéristique des totalitarismes les plus odieux.

Que des vieillards lubriques forniquent autant qu’ils le peuvent avec leur conjoint(e), des maîtresses ou des amants, je trouve ça tout à fait bien, mais que des islamistes obscurantistes et ostensiblement ennemis de toute entorse à la répugnante « morale » de l’islam se trouvent pris au piège de leur propre connerie et condamnés par eux-mêmes dès avant l’acte fatal, je trouve que c’est un très juste retour des choses. Ils n’auront pas volé, ces deux hypocrites, de se couvrir à tout jamais de ridicule. Merci à Allah de les avoir si opportunément démasqués. Allah akbar !

Notez bien qu’en France, on rigolera un certain temps, parce qu’on est gaulois et qu’il n’y a rien qui nous amuse tant que la bagatelle. Mais ailleurs, par exemple à Raqqa ou en Iran, il pourrait leur en cuire. Peut-être même au Maroc : je ne sais pas du tout comment la chose se sera terminée et je ne pense même pas que je chercherai à le savoir : ça ne mérite pas un tel effort.

Ce ne sont pas les rieurs qu’il faut incriminer en la circonstance, lesquels ont mille fois raison de se tordre en se tapant sur les cuisses, mais une monstruosité de l’islam qui est bien, décidément, partout la même.


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