Commentaire de Croa
sur Transition énergétique : Présidentielles 2017, entre intentions et réalité…
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À pemile,
OK je vois, ça permet de produire à moins cher en investissement (pas de synchronisation chiadée.) C’est donc bien un bricolage tout de même.
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- Avec un alternateur synchrone à aimants permanents le rendement est de presque 100% alors qu’avec ton système les pertes sont importantes. Il faut évidemment que la machine soit synchronisée...
- ou non synchronisé : En ce cas peu importe la fréquence de sortie puisque la solution consiste à redresser l’alternatif pour en faire du courant continu puis à refabriquer de l’alternatif avec un onduleur qui, lui, sera synchronisé avec le réseau. C’est la solution idéale pour une éolienne soumise à des vents variables garantissant une exploitation maximale du potentiel (mais ça coûte plus cher.)
(Actuellement on sait faire à aimants des génératrices jusqu’à plusieurs dizaines de kW,
il n’y a que les très grosses génératrices synchrones qui soient à
excitations, mise à part celles qui ont besoin d’être régulées
évidemment, ce qui n’est pas le cas des alternateurs utilisés en réseau.)