Commentaire de Montulet
sur L'horreur n'est pas économique, elle est politique


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Olivier MONTULET Montulet 4 février 2017 17:01
« L’horreur n’est pas économique, elle est politique » certes si (et seulement si) l’on considère que les politicien(ne)s et médias sans exception ont réduit la politique à l’économique orthodoxe (c’est à dire le néolibéralisme dont une face est le capitaliste) prônée par leurs gourous les économistes dont la pseudo-science n’a de de scientificité que l’allure du à l’usage simpliste (même s’il semble obscure au large public donc, en déduisent-ils, sérieux) du langage mathématique. Le confort de laisser le choix aux « experts » (ce qui vaut aussi souvent pour les juges) est le renoncement innacceptable et anti-démocratique des politiciens à faire de la politique. Tous les problèmes sociaux (au sens le plus large et sur l’ensemble de la planète) contemporains sont du à se renoncement et sa soumission à une idéologie obscurantiste au surplus abjecte puisqu’elle ne sert que les dominants détenteur du capital ou de parcelles de pouvoir (de ne soumettre tout le monde à la docte sacrée). La publicité et le sport, ce qui explique les flots gigantesques d’argent qui les inonde, sont, dans ce monde de bas instant d’égocentrisme et maximalisation amorale de son profit égoïste, les deux principaux vecteurs de l’idéologie, les médias, tous confondus y compris le cinéma, en étant au surplus les relais serviles. C’est donc bien l’économie prise comme un modèle idéologique naturel indépassable qui est seule responsable de tous les désastres contemporains mondiaux, les politicien lui ayant abandonné absolument le pouvoir politique qui est celui de défendre le bien être, au sens le plus large, de tous les citoyens de par le monde, l’économie n’étant pas cause mais conséquence des échanges, et pas que matériels, de la vie sociale humaine. L’économie n’est qu’un fait social parmi d’autre historique et local. Prétendre le contraire est une hérésie fondement de la pseudo-science économique que toutes les analyses épistémologies sérieuses révoquent. Même les fondements et l’usage des mathématiques en économies ont été jugés comme nuls et non-avenus par les épistémologues et philosophes des sciences sérieux. Multitudes de références sont disponibles. C’est sans doute la seule raison pour laquelle les pseudo-scientifiques nommés économistes méconnaissent la pratique de cette discipline, l’épistémologie, pourtant fondement de la recherche scientifique objective. Nous devons cesser de donné le pouvoir aux économistes et aux financiers. Il est urgent de le leur reprendre, c’est peut-être la seule révolution à entreprendre car seule prémisse nécessaire et indispensable pour faire émerger du corps social les solutions aux problèmes actuels (dont environnementaux, problèmes très secondaires aux vu de l’importance des problèmes sociaux et démocratiques).
 

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