@Shawford
Bon il a le Franxit, attitude visant l’opposition à l’UE actuelle. Deux visions, une europhobe et une europhile. Déjà tu te positionnes où ?
Les europhobes, ben c’est clair, projet nationaliste et franxit préalable forcément. Même si on ne sait pas où on va après, selon la liste de courses tout va bien se passer, le référendum d’initiative populaire règlera tout ça. C’est un choix et comme tous les choix il ne pourra comporter une rationalité absolue (UPR ou FN).
Les europhiles, ben c’est clair, projet internationaliste et franxit négociable pour ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain. Démarche complexe, parfois obscure mais indéniable vu qu’il y a un programme, un mouvement, que le représentant n’est pas un « leader » et que ce programme propose une vision de la vie en france qui peut donner envie de se battre quitte à devoir sortir. Mais c’est plus nuancé et diplomatique bien que déterminé dans l’action envers les pays et son peuple.
Ici les Rase-lino (peut pas m’empècher  ) veulent quelqu’un qui tranche le cordon, soit, et pour eux toutes dicussions, rapport de force, combat qui concernent l’évolution des humains et rapport entre eux est déjà de la compromission et pourtant la vie n’a d’intérêt , pour moi, que dans cette confrontation. Pour vous la dimension nationale est un absolu qui n’a aucun intérêt à être dépassé, chacun chez soi et les moutons seront bien gardés, on échangera nos cuillères et fourchettes si on ne se les jettes pas à la gueule..
Alors du coup, pas franxit sauf si on nous y contraint mais comme dit Asselineau, indépendance nationale, ça me va bien comme définition. Il faut développer l’art du compromis dans l’intérêt de tous.