Vous avez raison, il ne faut pas l’oublier, ce zigoto.

Ces scènes de ralliement rappellent ceux qui, à la libération de Paris, s’étaient mis vite fait un brassard de FFI et sillonnaient les rues à la recherche d’une femme à tondre.

J’imagine les futures scènes de liesse populaire, les types avec les brassards de macroniens grillant les feux rouges et violant les limitations de vitesse pour célébrer l’avènement du Parti Unique.

Une ombre au tableau : la Citroën 15 n’existe plus.