Commentaire de Alren
sur La dictature de l'émotion et la Syrie


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Alren Alren 8 avril 2017 16:52

@Jeussey de Sourcesûre

À partir de faits avérés, on aboutit à une philosophie de pacotille sur « l’homme moderne » qui serait plus émotif « qu’avant ».

L’auteur totalement ignorant de l’histoire, ne réalise par à quel point un Voltaire et un Rousseau ont tiré (pour la bonne cause) sur la ficelle de l’émotion afin de convaincre leurs contemporains.
Il ignore à quel point les très jeunes aristocrates dirigeants du Moyen-âge, quand la vie était si courte que rares étaient ceux qui connaissaient leurs grands-parents, avaient des comportements dictés par l’émotion plutôt que la raison.

On retrouve dans ce texte les poncifs du déclinisme, à une époque on aurait parlé de « décadence », typique de l’authentique réactionnaire, de cette droite rancie par l’âge.

C’est à l’opposé absolu du dynamisme que propose l’Avenir en commun pour une France jeune.


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