Féminines, à quelques heures d’intervalle.

Par une conjonction inattendue, 

celle de la conscience partagée d’un danger imminent,

ou d’esprits libres.

Qui prennent de la distance au terme d’une campagne électorale,

trop longue, enlisée, ensablée, 

« langweilig »

offrant le spectacle d’une plage à marée basse,

livrant aux regards quelques rochers tranchants, 

des algues glauques et ça et là une boue huileuse.

Sans affirmer une franche adhésion, ni enthousiasme envers celui ou ce qui apporterait tout puisque ailleurs il n’y aurait rien.

Deux articles suggérant ,plutôt distillant, l’idée de substituer lors du 1er tour des élections aux convictions le principe d’éviction, 

déplacer le jeu des alliances des partis vers les particuliers,

parce qu’il en est ainsi d’une constitution en phase terminale ou la responsabilité du choix entre le pire et celui de l’incertitude incombera aux électeurs.

Les faits relatés demeurent dans un cadre factuel, sont posés sans invectives ou énoncés sans recours aux injures et autres imprécations.

Un peu de tendresse dans le nouveau registre avoxien.

Un plaidoyer convainquant également envers ce risque de subordination auquel out sommes exposés si ce n’est déjà soumis.

Egal was kommt.

Notre liberté tient à ce sentiment que toute subordination à l’utile lui serait fatale,

et peut être le que le droit à l’inconstance en est son dernier rempart.

Remerciements à l’auteure ...