Commentaire de Macondo
sur Quand Jupiter dérape...


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Macondo Macondo 4 juillet 2017 07:21

Quel carnage verbal ! Depuis le Grand, c’est la première fois qu’un monarque appelle un chat, un chat. J’y vois les sans dent lovés dans un foulard Hermès, les damnés de la terre trempés nus dans la poésie surréaliste du capital. A titre personnel, entendre le haut de pyramide relancer le grand débat universel sur les classes sociales me réjouirait plutôt. Il est dommage de constater que la base de l’édifice ne saura se saisir de l’offrande, la partie médiane (celle qui est presque rien) ne lui proposant d’y voir qu’une insulte, non un puissant éclairage, un chemin sans détour, une quête à atteindre sans faillir. Le reproche à faire à Jupy, c’est d’avoir omis d’ajouter qu’ils sont ici au moins dix millions. Sa raison ? Qui permet au sommet de faire sous lui (de rire) et de se rouler dedans, ces ânes bâtés sont juste infoutus de seulement se compter. Rien, de rien, et sûrement pour encore longtemps ...


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