Commentaire de Gérard Faure-Kapper
sur Un client a demandé à COLOMBO d'enquêter auprès de sa banque


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Gérard Faure-Kapper Gérard Faure-Kapper 6 juillet 2017 10:35

« Nous n’agissons que dans la légalité » C’est la principale défense des banques que je lis dans les conclusions en réponse. Comme toutes les professions, les banques oeuvrent dans un cadre législatif qui, à mon avis, est pas mal fait. Le problème, c’est que le client de St Pierre le Moutier, de Bourg St Andéol ou d’Autreville sur Moselle, n’a pas à faire au Conseil de l’Europe, mais à un directeur d’agence qui se prend pour le petit baron et règne sur sa ville. Comment peut-il appliquer des lois qu’il ne connaît pas. Alors, il agit d’instinct avec ses clients. Et ce n’est pas son égo surdimensionné qui va le modérer. Cela donne des agissements vis-à-vis des clients, totalement abérants., à des années lumières des textes. Si les banques respectaient la loi, je serais au chômage, et l’économie, notamment locale, s’en porterait beaucoup mieux. Les banques respectent la loi ? Ca c’est la théorie. En pratique, c’est totalement faux. Quant à négocier avec les banques, c’est possible, si vous avez des placements et une famille à l’abri du besoin. Sinon, aucune chance. Que les clients doivent vivrent selon leurs moyens, c’est évidents. Que certains franchissent la lignent jaune avec des dépenses somptuaires, c’est un fait. Une Béhème ou un séjour au Bahamas ne sont pas parmi les produits de première nécessité. Mais les banques ne doivent pas en profiter pour achever le client avec des pratiques usuraires comme elles le font., et s’enrichire sur la misère. On n’applique pas la peine de mort à un voleur de voiture. Un an ferme est suffisant. Enfin, vous parlez d’un certain Macron. C’est qui ?


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