Norbert Van der Meulen Norbert Van der Meulen 22 octobre 2011 17:25

bien que je sois en grande partie d’accord sur les effets induits de la planche à billets,il n’en reste pas moins que pas tout à fait d’accord avec vous sur le deuxième paragraphe,le BCE par les traités ne peut prêter de l’argent aux états,mais aux banques ,oui,c’est là le problème.Comment reprendre un contrôle sur la BCE,en modifiant le,traité de Lisbonne ou en ajoutant un amendement unilatéral..là,il n’est pas question de croissance ,mais de faire face à une crise bancaire,le fait de mettre en circulation plus de monnaie,ce que font les américains,ne serait pas si désastreuse que cela,l’euro plongerait à un niveau qui serait globalement le sien en Europe,avec une parité correspondant au dollar par exemple.Cela serait une dévaluation ,c’est évident,mais cela serait transitoire et permettrait à l’Europe de survivre.et là on pourrait effectivement se donner des marges de manoeuvre pour des relances.Si l’Allemagne ne le veut pas ,c’est parce qu’elle se sent bernée par les autres,mais son astuce à elle a été de faire une dévaluation compétitive en créant la TVA sociale,qui permettait aux patrons de payer moins de charges sociales,ce qui fait que ce gagnant-gagnant employeurs-salariés,fut profitable aux exportations en baissant ainsi les prix de produits exportés.le Problème en France,c’est que les patrons ne joueront pas le jeu(on l’a vu dans la restauration...) et que la Tva allemande n’était que de 16% et ne l’ont monté qu’à 19%,nous,nous devrions passer de 19% à 23 ou 24 % pour être sûr de l’effet positif de la mesure TVA sociale...quant à la planche à billet,si inflation il y a,j’en conviens ,on peut aussi estimé que les peuples souffriraient moins et et on laisserait au temps faire son oeuvre.
Norbert Van der Meulen,Officier Marine Marchande retraité


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