gélone,
une fois n’est pas coutume, je vais citer Catherine Ségurane :
« Non, les Espagnols ne »plébiscitent" pas l’austérité et les banques.
Mais,
pris entre d’une part une gauche qui propose l’austérité et les
banques, et d’autre part une droite qui propose les
banques, et l’austérité, ils n’ont pas vraiment eu le choix.
La démocratie, c’est fini ..."