Il manque à cette liste le génocide le plus constant sur terre européenne : celui commis sur plusieurs siècles sur le peiple irlandais. Commencé en 1360 (Kilkeny status pendant la colonisation anglaise de l’Irlande), il connut son apogée au dix-neuvième siècle et la succession des « famines organisées » qui n’ont rien à désirer de celle organisée par Staline en Ukraine. Sans avoir à remonter à l’antiquité, comparant des choses comparables, le cas irlandais reste flagrant. On pourrait aussi dire, comme l’indique cet article, que plusieurs outils de confinement et de destruction massive basé sur une caracteristique identitaire, comme les camps de concentration, furent des inovations britanniques.