emphyrio 8 juillet 2012 11:05

Et encore un poste méprisant de Pie, qui prescrit un philosophe comme un apothicaire donne des pastilles. D’ailleurs, c’est docte et sans pertinence, François Asselineau semblerait même rejoindre Popper, par la critique du dirigisme historique que nous impose les élites. Merci d’avoir évoqué ce monsieur.


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