HELIOS HELIOS 6 juillet 2012 23:06

Tout cet article, non pas sur les faits, mais sur les extrapolations qui en sont faites, est completement farfelu, désolé m Asselineau.

En effet, a la difference de la France, de L’Allemagne, la Finlande a travers ses banques ne detient pratiquement aucun prets octroyes aux PIGS.
C’est a dire que la Finlande n’a strictement rien a perdre si ces pays se cassent la gueule, bien au contraire. En consequence elle peut etre exigente sur les conditions de son aide.

La Finlande est un pays qui a subi diverses invasions et a du utiliser des monnaies qui ne lui appartenaient pas, elle s’en est toujours sortie et l’Euro ne change rien pour elle et d’ailleurs, plus l’Euro est fort, plus elle est satisfaite pour son peuple. Rappellons au passage que ce sont les multinationales qui n’aiment pas l’Euro fort... toutes les autres entreprises, ainsi que le peuple lui-même, sont favorisés lorsque la monnaie est forte.

La Finlande peut aider les pays, en delicatesse avec leur budget, a rembourser leur dette, mais pas sans contrepartie. Cette contrepartie est en fait contractuelle et ne souffre aucune derrogation, celui qui demande doit se soumettre a celui qui paye, c’est toujours comme cela que ça se passe.

Et justement, les garanties qu’elle exige pour son aide sont tout a fait salutaires, car elle permettent de mettre a plat l’usage et (notamment) la traçabilité des montants offerts...


C’est d’ailleurs ce modele la que nous devrions tous employer pour participer a l’assistance et la solidarité europeenne.... et cela n’a rien a voir du tout avec une eventuelle sortie de l’Euro ou un abandon de l’UE elle-même.


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