Corinne Colas Corinne Colas 20 janvier 2014 20:34

Quand on veut vendre un système, il faut nous convaincre de son bien-fondé. L’adage « l’homme est un loup pour l’homme » très à l’honneur chez les psychopathes est censé justifier les décisions de ces mêmes malades... Tout ce qu’ils font, c’est évidement pour notre bien.

 smiley

Le pire, c’est que nous les croyons, braves idiots de base qui ne feraient pas de mal à une mouche...Difficile d’imaginer une manipulation ! Pourtant s’ils réussissent, c’est justement parce qu’ils font appel à nos « vertus ». Eux qui n’en possèdent aucune, vantent le courage, le patriotisme etc. Et quand il le faut, ils n’hésitent pas à nous contaminer en diffusant leurs fausses valeurs« à travers les médias, la télévision étant l’outil par excellence pour nous transformer. Ainsi, ils peuvent dire : »voyez je ne suis pas un salopard puisque vous êtes (devenu) comme moi«  ! Aujourd’hui, les techniques sont tellement améliorées que le virus se répand à grande vitesse (comme un train ?). Pour la protection du système, il est nécessaire de modifier le plus grand nombre. 

Dans ce film, la parabole sur le système est la seule innovation (mais bon, il serait temps de se réveiller un peu, nous savons que Mr Hollande par ex, n’a pas été mis à son poste par la plèbe). 

Nonobstant l’invention du train, il y a toujours participation à la propagande avec comme message : la désespérance. On veut nous convaincre de la nécessité du système inégalitaire en vigueur au motif qu’intrinsèquement (encore une fois) : l’homme est mauvais par nature. Cette incantation »religiopolitique« a permis aux dingos de maintenir les normaux sous leur joug depuis la nuit des temps. Ceux s’échappant du train ici, n’étant que la fameuse exception qui confirme la règle... Et puis il faut bien maintenir un peu d’espoir dans la populace, en même temps, cela permet de s’occuper des têtes qui dépassent ! Ceux qui sont des rebelles sont soit récupérés par le système, soit à l’écart occupés à s’inventer une nouvelle vie. (Ils cultivent des choux sans pesticides et montent des maisons en paille) smiley

Voilà, cet article est si bien fait qu’on peut analyser un film sans l’avoir vu... 
Quelle époque ! »La septième compagnie" était bien plus subversive en comparaison...

Hein qu’il nage bien le chef ?

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