Marc Filterman Filterman 28 décembre 2014 00:44

« Pourtant, à très faible puissance quand l’apport calorifique est négligeable, des effets subsistent et ne peuvent être expliqués que par des interactions »spécifiques« entre les ondes et des récepteurs à définir (membranes près d’un changement de phase, protéines, complexe ligand-récepteur, substrat-enzyme, etc...). Dans ce dernier cas, il apparaît que la notion de dose est importante puisque certains effets paraissent cumulatifs. »

Je ne suis pas l’auteur de cette phrase ci-dessus qui figure dans une étude de 1991. Son auteur est-un de vos amis, Bernard Veyret du CNRS, dont des études ont été payées par les opérateurs. Sauf que depuis qu’il est membre du comité Scientifique de Bouygues Télécom, comme le Pr Roland Masse de l’académie de médecine, qui remplace désormais le Dr. Anrengo, maintenant il fait les affirmations ci-dessous :
Après le coup du soleil en oubliant de nous parler des insolations, il a aussi oublié de nous parler des durées d’exposition, il nous a fait le même GAG le 15/10/2013 avec la face éclairée de la lune (sic) où il déclarait :
 « Pour du 3G ou du WiFi, c’est encore moins, on tombe à 0,8 microwatt ». Comparons maintenant, au hasard avec la lune. Lorsqu’elle est pleine, elle émet une puissance de 50 microwatts par mètre carré quand le soleil, lui, émet 1000 watts, soit 1 milliard de microwatts par m2 lorsqu’il est au zénith proche de l’équateur." (sic)
Je ne savais que le spectre de la radio et téléphonie mobile, étaient les mêmes que celles des spectres lunaire et solaire. Vous qui passez votre temps à dénoncer les AMALGAMES, là y a pas mieux, CHAPEAU, vous mélangez tout pour imposer votre vérité au service des télécoms.


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