Antoine 18 juin 2015 23:34

Ouais, mais il ne faut pas y mettre ce qu’il n’y a pas : Beethoven n’était rempli que de lui-même et n’a pensé à Bonaparte qu’après coup en cherchant parmi les vivants un visage renvoyant à sa propre image. D’ailleurs, un peu plus tard, Hans von Bûlow a baptisé cette symphonie « Bismark » sans plus d’intérêt. Enfin le parallèle entre Napoléon et Hitler est d’un total ridicule !


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