julius 1ER 26 novembre 2015 10:13
Ceux à qui on attribue une appellation japonaise qui n’a rien à voir avec la réalité actuelle sont des mercenaires, pas des kamikazes.Rien à voir

@M de Sourcessure

c’est devenu générique le terme « kamikaze » car l’aller-simple pour le paradis peut-être envisagé et
 matérialisé de multiples façons ....
chez les japonais durant la 2ie guerre mondiale c’était d’abord avec des « bombes volantes avec ailes emportant 1 tonne de TNT » cette bombe d’abord transportée par un bombardier , le pilote pas seulement fanatisé mais alcoolisé et peut-être shooté aux amphétamines scellé dans le cockpit.... pas beaucoup de choix si ce n’est se crasher soit sur un bateau soit dans l’océan mais avec la même issue fatale ..... il y en eut quelques milliers mais comme les bombardements américains sur le Japon altéraient la production de ces engins de morts .... il fût « demandé » aux pilotes d’avions durant les derniers mois de guerre d’aller se crasher aussi sur des cibles potentielles comme la demande n’était pas aussi persuasive que cela on leur promettait aux pilotes.... des représailles sur leur famille s’ils n’acceptaient pas de « mourir en bons japonais » ....sic

pour nos kamikazes djihadistes, c’est un peu la même chose sauf que d’abord on a commencé avec des gens souvent femmes ou enfants de transporter des colis que l’on faisait sauter à distance à l’insu de leur plein gré si je puis dire ... et maintenant on a des guerriers qui tuent avec des armes conventionnelles et qui se font exploser comme issue ultime .... quel est leur degré de consentement et de coercition dans ce processus, difficile à évaluer car comme avec les japonais peu ou pas de survivants du fait de ce processus à sens unique !!! 

et donc pas de témoignage sauf peut-être ceux qui renoncent à se faire exploser mais là pas encore vu de témoignages de repentis dans les médias !!!! 

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