Aristide Aristide 1er mai 2016 15:25

@vip


« toute exigence émanant d’une hierarchie doit emporter l’adhesion du salarie ou du fonctionnaire. »

Où avez vu que le salarié ou le fonctionnaire doive adhérer à une exigence sur une tache, une action, une activité, ... de son travail exprimée par un supérieur hiérarchique ? Nul besoin de chercher des exemples oiseux, il s’agissait d’un ordre sur une activité liée au travail d’un enseignant et bien comprise de tous : la participation aux activités pédagogiques de l’établissement.

Le lien de subordination implique l’obéissance aux ordres donnés par le supérieur hiérarchique. En l’occurrence, l’expression très claire du chef d’établissement vous demandant de se rapprocher du club existant n’avait pas à être discuté. Sur le sujet, nul besoin de contester son droit d’organiser les activités de son établissement, c’est de sa responsabilité. 

Vous parlez de pressions subtiles, de soumission aveugle, ... alors qu’il s’agit de la relation hiérarchique que l’on appelle ordre. Un ordre peut être discuté avant, ce qui a été fait, une fois la décision prise par celui qui en a la charge, on exécute pour la part qui nous est confiée et dans le cadre donné. 

La subordination a les limites fixées par le contrat de travail et porte sur la fonction que vous assumez, des taches confiées, ... Que vous le vouliez ou non, il ne pouvait en aucun cas décider seul de ce qu’il voulait faire dans l’établissement, il fallait l’approbation du chef d’établissement. Il ne l’a pas eu, il a persévéré. Il est en faute, grave même car touchant au coeur du contrat de travail..

L’attitude de malade tenu tout au long de ce conflit n’est que la démonstration de son impossibilité à occuper cette fonction d’enseignant. Heureusement, il ne sévira plus ....



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