Wikipedia est au récit historique ce que l’Almanach Vermot est à la littérature.

C’est un outil de propagande comme un autre.

On ne saura jamais les détails de ce qui s’est passé en Tchétchénie à la fin du règne de cette ordure d’Eltsine. Ce qui est certain, c’est que l’épisode tchétchène a abouti au résultat qu’en Russie, on n’est plus emmerdé avec les attentats islamistes. Et quelque soit la méthode, c’est un bon résultat.

On serait d’ailleurs mal venu de critiquer un supposé false-flag, quand l’Occident est le maître incontesté de cette technique, et quand on sait que les USA se sont spécialisés dans l’excitation et l’armement des extrémistes musulmans pour détruire leurs ennemis.

Ce que je retiens à la lecture des commentaires (je rentre d’un week-end en camping-car dans les marais de Rochefort où je me suis régalé de cigognes, de cygnes, de hérons et de cygnes en vols serrés), c’est ce mélange de respect et d’admiration que Poutine a su attirer sur sa personne malgré le déluge médiatique dont il a été victime.

C’est une immense défaite pour les media et pour le pouvoir oligarchique, et cela marque peut-être le début d’une ère nouvelle, où les menteurs seront épinglés et renvoyés dans les égouts.

Il n’est pas impossible que ce revirement de l’opinion, associé à la prise de conscience de nos gouvernants- enfin- que les USA n’ont pas d’autre but que de les rouler dans la farine, et que leur obéir est suicidaire, marque le début d’une coopération pacifique et fructueuse avec les Russes, un peuple avec lequel nous avons beaucoup plus d’affinités naturelles qu’avec les anglo-saxons.

C’est du moins ce que je souhaite.

Pour ceux qui pourraient penser que je fais partie d’un escadron propagantiste pro-Russe, je n’ai pas de moyen de les détromper : je leur dis simplement que je me suis fait mon opinion tout seul, juste en écoutant parler l’homme Poutine, en prenant acte de ses motivations, et en admirant ses réalisations.

C’est bien l’homme politique auquel l’adjectif « salopard » me parait le moins approprié.

Oui, j’admire ce type, et on m’aurait surpris si on m’avait prédit que j’aurais un jour de l’admiration pour le moindre homme politique (depuis que De Gaulle et Chavez sont morts...).

Si, quand même : Asselineau pourrait être ce grand homme qui nous manque tant. Qui d’autre ?