J’ajouterai à votre désagréable injonction, que je suis là parce que la propagande lourdingue de vos collègues nuit à ce site que j’aime bien et qu’il m’a paru judicieux de commenter le titre scandaleux de Doctorix.
Je suis encore là pour répondre, avec mesure, à l’incroyable avalanche de commentaires négatifs qui ont suivi ma modeste intervention : 2 lignes.