njama njama 26 septembre 2016 13:18

Le ch. 6 particulièrement (si vous souhaitez zapper les précédents) sur la fameuse « main invisible du marché » d’Adam Smith censée assurer la régulation heureuse des activités humaines, ... l’homme étant mu en bonne partie par la cupidité.

« L’homme se trouve conduit par une main invisible à remplir une fin qui n’entre nullement dans ses intentions . (...) Tout en ne cherchant que son intérêt personnel, il travaille souvent d’une manière beaucoup plus efficace pour l’intérêt de la société que s’il avait réellement pour but d’y travailler ».

La démonstration du chapitre aboutit à conclure à quel point la psychologie et l’anthropologie sont consubstantielles à toute analyse économique.

Et que, La « loi du marché » n’est donc nullement une loi économique, mais un avatar de la psychologie. Elle est la résultante de la somme des désirs, des vices et des intérêts divergents des différents acteurs de l’économie.

La situation actuelle de l’économie mondiale révèle plutôt qu’en fait d’harmonie, les mains bien visibles des tenanciers cupides de la finance internationale sont en train de conduire la planète entière au bord du gouffre


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