Ce qui est formidable avec le prolétariat américain vu par Robert Bibeau, c’est qu’il n’a pas besoin d’une structure de rassemblement ni d’une organisation représentative pour concevoir et mettre en oeuvre une stratégie complex et subtile. Sans doute cela fonctionne-t-il à la manière de la fourmilière grâce à une intelligence collective et l’utilisation de traces olfactives ?