demissionaire bonalors 4 décembre 2016 08:56

@gogoRat
Bonjour
Je vous avez bien compris et pris le tps de vous lire car vous aviez pris le tps de me repondre, c’est la politesse la plus elementaire.
Vous semblez adepte de la redistribution alors je souleverais les paradoxes suivants qui minent nos societes :
- pour se battre economiquement parlant, comme on ne peut changer la regle du jeu on ne peut que l inflechir
- l europe est necessaire et aurait du etre construite sur 5 alliances uniques, le marche commun qui existait depuis longtemps, la defense, les ’grandes alliances industrielles’ qui existaient deja, les ententes protectionistes contre l OMC, et la securite interieure, mais certainement pas la monnaie, bien que l’Europe avait le devoir d’infléchir la dérégulation des marches financiers.
- Alors on nage dans un ocean de paradoxes, car la repartition ne peut etre que tres limitee, et uniquement significative si les pays sont riches, tres riches.
- aujourd hui tous sont anti-europeens et ils n ont que tres partiellement raison d’un point de vue economique, mais ds leur vie de tous les jours 100% raison. On a succombe a l Europe de la finance, on aurait du construire une Europe politique
- Alors ? on est entre dans un mode survie et n’avons absolument plus aucune vision ou strategie, car tres simplement, on a plus les moyens d aucune politique, donc notre non choix se justifie pleinement.
- La redistribution n est pas que sociale, car les gouvernements menacent et pénalisent uniquement les victimes de ce systeme, mais essentiellement elles profitent aux privilégies qui soit disant ’travaillent et œuvrent’ pour ce meme etat. On en voit le resultat avec le Bataclan, et le chomage ... Alors on vote anti-systeme, mais on est bien incapable de definir, ce dernier. Ce paradoxe est le dernier os que les politiciens et medias rongent de facon névrotique car la fin de l histoire se profile ...


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