ddacoudre ddacoudre 16 décembre 2016 19:19

bonjour Desmaretz .G

excellent article, seulement une petite remarque. « une part du sauvage sommeille toujours en nous ». la torture et toutes les souffrances’ guerre« etc. que »nous nous infligeons sont de nature culturelle. le sauvage animalier dans une société d’abondance ne se livre aucunement à se genre d’activité, il se contente d’assumer sa suprématie dans le groupe. l’humain ne dispose d’aucun moyen naturel pour tuer, ni dents effilés ni griffes acérées capable d’infliger des blessure mortelles. pour manger de la viande il a d’abord du être charognard avant de trouver le moyen de taillader la peau et la viande. je dis souvent en plaisantant nous étions chasseur de grenouilles. c’est avec la rareté que l’humain a commencé à façonner des outils et découvert leurs usages pour assurer sa prédominance, et petit a petit sortir de ce que tu appelles l’état sauvage ou d’autres disent l’état naturel. toujours est -il qu’il faut qu’il dispose d’une accoutumance à la souffrance et à la mort de ces victimes que ce soit pour se nourrir ou répondre au développement culturel qu’a entrainé sa sédentarisation et la production de biens et services rares.à ce titre le travail est directement issu de la souffrance auquel étaient soumis ceux qui peinaient pour nourrir les autres notables comme distorsion du dominant animalier « culturalisé ».
cordialement. http://ddacoudre.over-blog.com/pages/La-rarete-est-une-invention-geniale-7886790.html


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