Emile Mourey Emile Mourey 29 décembre 2016 00:58

@Antenor


Je dis « messie essénien » car le chapiteau exprime très exactement le « signe » par lequel il devait se faire reconnaître quand il viendra. À Gourdon, idem mais le signe est l’offrande des prépuces. À Sainte-Foy, le signe qui doit apparaître est un Christ qui n’est pas Jésus de Nazareth mais un Christ du ciel, dans le ciel. Dans l’épitre de Jacques, le Jésus, Christ, est dans le ciel. Tout à fait d’accord pour nommer « christ » le messie du chapiteau. C’est probablement ainsi que les fidèles de l’époque le désignaient, mais « christ du ciel pas encore descendu », et par conséquent, pas encore crucifié. Et les évangiles ? toute l’histoire montre qu’il a fallu une succession de conciles pour imposer une lecture littérale non prophétique.

La Gaule ? Non pas connectée avec la Judée mais avec Israël. Pas toute la Gaule mais principalement Chalon. Il y a une logique. En - 88, colonie juive à Gourdon (fresques), en 250, ils sont assez nombreux pour imposer à Chalon la construction du troisième temple. Connaissant leurs textes, notamment prophétiques, c’était même pour eux, une obligation. Le retable de Mont-Saint-Vincent montre qu’il l’ont financée et probablement aussi d’autres constructions ; murailles ....Les seuls chrétiens qui habitaient à Chalon, juifs d’origine ou convertis, étaient des chrétiens croyant en un christ du ciel. Quand saint Marcel est venu pour les convertir au christ de Nazareth, on lui a interdit l’entrée et il fut mis à mort.

Et puis, il y a les documents dont je fais état et contre lesquels on ne peut aller. C’est comme ça mais ce n’est pas une raison de renoncer à sa religion et à sa foi. De tous temps, l’homme a évolué ; il n’y a pas de raison pour que cela s’arrête.

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