Samson Samson 30 décembre 2016 17:08

« Autant, le premier joue au Président de la Nation la plus forte, la plus honorable, la plus responsable du destin du monde, autant, le second, est Président d’un peuple et d’une Nation qui ont leurs mots à dire quant à la destinée de notre monde. »

Tout est dit !

Hors la force du symbole, soit voir un métis accéder à la présidence de la première puissance mondiale 50 ans après la fin de la ségrégation, que pouvait-on réellement en attendre d’autre ? Que ce soit Bush, Obama ou Trump, le président des USA n’est jamais que le porte-parole d’un état profond qui ne s’embarrasse guère d’états d’âme, et la preuve est faite depuis bien longtemps que, pourvu qu’il trouve les sponsors pour financer sa campagne, n’importe quel clown peut en assurer le show.

Après les nombreux prix Nobel d’économie récompensant l’orthodoxie de l’Ecole de Chicago ou ces prix Nobel de la Paix attribués à Roosevelt, el-Sadate, Begin, Peres, Rabin, Arafat, Lê Đức Thọ et Kissinger, quoi de plus cohérent que remercier préventivement Obama pour ce qu’il n’allait - faute de volonté ou de moyens - pas mettre en œuvre ?

Réjouissons-nous de ses atermoiements et son manque de « volontarisme » à embrayer sur le false-flag chimique de La Ghoutha, sans quoi la réduction de la Syrie en cendres sous une pluie de missiles n’eut été que le prélude à l’attaque de l’Iran, désormais différée suite à la neutralisation russe du casus belli nucléaire.

Pour le reste, Obama n’apparaît que le pantin de cet establishment dont il reçoit les ordres, incapable même de faire respecter sa parole par son administration et ses propres généraux, et d’autant moins fiable pour ses « alliés » que - pour ne vexer personne - ses engagements varient et diffèrent jusqu’à se contredire en fonction des interlocuteurs.
Soit tout le contraire d’un Poutine qui - disposant des moyens de faire respecter sa parole - peut s’offrir le « luxe » d’un discours cohérent avec ses engagements tant nationaux qu’internationaux.

A noter que même physiquement, le contraste entre la vaine marionnette Obama et un Vladimir Poutine dont la stature - toute en présence et force de conviction - s’impose toujours plus au fil du temps, est de plus en plus flagrante.

Je profite de ce post pour vous souhaiter - ainsi qu’à vos lect(eur/rice)s - un joyeux Noël et vous présenter mes meilleurs vœux de bonheur pour une année 2017 potentiellement riche en surprises et rebondissements divers, pourvu qu’ils nous mènent vers plus de paix, de justice et de prospérité partagée par toutes et tous. smiley


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