Amnesty International, c’est cette officine qui, au plus fort de la terreur khmère rouge, écrivait dans son fameux rapport annuel :
« En l’absence de tout observateur impartial, il a été impossible de vérifier les allégations d’exécutions massives et de représailles. alors que le département de la recherche a remarqué qu’un certain nombre de ses allégations reposaient sur des affirmations sans solidité et des récits de seconde main, » 1976, p. 89