Analis 12 janvier 2017 19:52

@jaja

Jaja, vous êtes le type même du gauchiste qui croit tout savoir, qui n’hésite pas à sortir la réthorique anti-complotiste indigente des impérialistes, montrant bien combien votre pensée est formatée, sclérosée et faussement anti-système, n’hésitant pas à plonger à fond dans une pensée elle-même conspirationiste de façon grossière. De toute façon, les gauchistes à pensée pré-digérée comme vous, au NPA et apparentés, sont les idiots utiles du système capitaliste et impérialiste. 11-9, AZF, Libye, Syrie, vous gobez tout ce que sa propagande sort, aussi grotesque soit-il.

Et cessez de vous référer à la manifestation de Toulouse, les réfugiés syriens en France, très peu nombreux par rapport au total, comme ceux de l’Union européenne en général, ne sont pas du tout représentatifs. N’ont été acceptés que ceux qui déclaraient être contre Assad, les autres étaient de toute façon découragés d’avance par le fait que l’État français avait fait savoir qu’il n’accepterait pas les supporteurs d’Assad. De tout façon, la plupart des réfugiés syriens détestant la France et sa politique, ils n’allaient pas se rendre dans un pays qu’ils rendaient responsable de leur malheur. Même si une minorité pouvait à contrario penser qu’il était moral de venir dans un pays qui leur devait des réparations. Mais la plupart de ceux qui se sont rendus en Europe (à la différence de ceux qui restent dans les pays voisins) sont atteints de la haine de soi, j’ai vu sur d’autres sites des descriptions de syriens qui détestent leur pays, l’identité et la culture arabe en général, il souhaite que leur pays soit vassalisé par les occidentaux et Israël. En bref, les rebelles recrutaient parmi deux catégories à l’opposé du spectre des opinions, des islamistes et des arabes haineux d’eux-mêmes. Les deuxièmes, lâches comme il se doit, ont en majorité fui quand les choses tournaient mal, et les syriens ne veulent de toute façon plus d’eux. Ne restaient guère que les islamistes, souvent sanguinaires.

Et oui, à Alep Est, il n’y avait plus que ça, les « civils » étaient en fait des activistes, les quelques vrais civils qui restaient (en tout 300 000 personnes sur plus d’1,2 million, mêlant supporteurs intégristes des rebelles et vrais civils) étaient gardés en otage, désireux de fuir et empêchés par les rebelles qui n’hésitaient pas à les tuer quand ils empruntaient les couloirs ouverts à leur disposition pour fuir les combats. Ceux qui ont quand même réussi à partir étaient heureux de chercher protection auprès des forces gouvernementales.


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