ddacoudre ddacoudre 3 février 2017 11:13

bonjour fatizo

ton analyse se comprend sur la base d’une seule comptabilisation d’une organisation capitaliste dans laquelle nous vivons
 soit l’on procède sur le principe des vases communicants ce qui implique de savoir à qui l’on va retirer des revenus pour les redistribuer à d’autre ce qui ce fait depuis des lustres et qui impose pour progresse de favoriser le crédit pour faire de la création monétaire et la détruire par le remboursement du capital tandis que les prêteurs empochent les intérêts ce qui augmente les revenus de ceux qui sont assez riches pour prêter de la monnaie, tandis que les autres perdent en pouvoir d’achat ceux car le bien acquis lui revient plus cher. mais il est possible d’envisager d’avoir recours à une création monétaire par le rachat de la dette par la BCE faute de pouvoir politiquement émettre de la monnaie compte tenu des accords européens, soit sortir de l’euro pour disposer d’une latitude politique.
donc ses propositions sont parfaitement réalisable, mais s’il reste dans la comptabilisation actuelle il va seulement redistribuer différemment la part du gâteau. le capitalisme n’est pas redistributif il est fait pour le particulier et pour l’accumulation, il ,ne sera jamais social si on ne l’y contraint pas. or notre société compte toujours suivant ses critère d’où se pose la question que tu soulève d’où il retirera les financement ou bien la question stupide par excellence combien ça coûte, comme si l’homme n’était pas venu au monde sans monnaie et que pour toute chose l’on soit obliger de passer par la bourse des riches.
l’esprit bloqué nous avons pris l’habitude de compter ce que l’on peut faire avec la monnaie et non de compter ce que nous ne pouvons pas fa&aire parce que l’on en a fait une marchandise qui acquiert de la valeur par sa rareté.
cordialement.http://ddacoudre.over-blog.com/pages/Le-capitalometre-8441227.html.


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