howahkan 14 février 2017 10:32

Salut ...long travail, merci

cela nous raconte l’histoire des humains quand ils ne coopèrent pas..ne partage pas, ne s’entraide pas et tout ceci par simple refus de le faire..

tout ce qui est dit dans ce texte intéressant vient de là..mais d’où vient le fait de ne pas cooperer, de ne pas partager, de ne pas s’entraider, de ne pas vouloir être dans une vraie paix, pourquoi sommes nous devenus si tarés et dangereux ...ce n’est pas à moi de réellement faire ce chemin pour les autres..

indication, comme je fais depuis 45 ans lancez à la cantonade : voulez vous un monde juste ou on coopère et on partage tout égalitairement...entendez les réponses dont certaines vont être très violentes et là vois saisirez que c’est la masse qui a créé ce désastre..donc le maître..

pas de problèmes je sais que cela na va pas remonter au cerveau,

le maître n’en croit pas ses yeux d’avoir affaire à tant d’ahuris ignorant..mais je vous livre quelques mots d’un écrivain de talent nomme Étienne de la Boétie sur la servitude volontaire

merci à l’auteur de cet article smiley

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"Chose vraiment surprenante (...) c’est de voir des millions de millions d’hommes, misérablement asservis, et soumis tête baissée, à un joug déplorable, non qu’ils soient contraints par une force majeure, mais parce qu’ils sont fascinés et, pour ainsi dire, ensorcelés par le seul nom d’un, qu’ils ne devraient redouter, puisqu’il est seul, ni chérir, puisqu’il est, envers eux tous, inhumain et cruel"

Quand je pense à ces gens qui flattent le tyran pour exploiter sa tyrannie et la servitude du peuple, je suis presque aussi souvent ébahi de leur méchanceté qu’apitoyé par leur sottise

La seule liberté, les hommes ne la désirent point.

Il ne faut pas abuser du saint nom de liberté pour faire mauvaise entreprise.

Pauvres gens et misérables, peuples insensés, nations opiniâtres en votre mal et aveugles en votre bien, vous vous laissez enlever, sous vos propres yeux, le plus beau et le plus clair de votre revenu, piller vos champs, dévaster vos maisons et les dépouiller des vieux meubles de vos ancêtres ! vous vivez de telle sorte que rien n’est plus à vous. Il se1nble que vous regarderiez désormais comme un grand bonheur qu’on vous laissât seulement la moitié de vos biens, de vos familles, de vos vies.

Aux maîtres si on ne leur fournit rien, si on ne leur obéit pas, sans les combattre, sans les frapper, ils restent nus et défaits et ne sont plus rien

E. De La Boétie- 1530-1563


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