Ouallonsnous ? 12 février 2017 12:28

@GetREDy

Et actuellement dans le régime siono-fasho-hollandiste ;

"Les quatre policiers responsables de l’interpellation sont placés en garde-à-vue le lendemain et une enquête est ouverte pour « viol en réunion par personne dépositaire de l’autorité publique. »

Pour leur défense, les policiers expliquent qu’un coup de matraque aurait été porté aux fesses, après que le pantalon du jeune homme soit tombé tout seul… Ce qui expliquerait, selon eux, la perforation de l’anus. On ne rigole pas, s’il vous plait, ce sont des fonctionnaires assermentés.

Dimanche 5 février, coup de théâtre, le parquet requalifie les faits, non plus en « viol en réunion » mais en « violences en réunion ».

On pourrait croire qu’il s’agit là d’une bavure, d’un cas isolé, qui ne concerne en aucun cas la police en général. Ah bon ?

« Je vais te violer et on va voir si tu filmeras la police »

Septembre 2016, un enseignant chercheur de 28 ans filme avec son téléphone portable l’interpellation mouvementée d’une femme par des policiers à la gare de Saint-Denis.

Deux policiers s’approchent de lui et le menacent : « On va te violer, ça te plaît, ça ? Je vais te violer et on va voir si après tu filmeras la police. » (1)

Selon l’enseignant, les policiers lui font ensuite des clés de bras et touchent à plusieurs reprises ses fesses. Quand ils trouvent sa carte de professeur, ils lui disent : « T’es prof ? Quand l’état islamique viendra à la Sorbonne, tu vas les regarder en te branlant ? »

Une plainte est déposée. Les policiers, eux, continuent tranquillement à faire régner la terreur, pardon la loi, dans notre belle démocratie.

Octobre 2015, Drancy, un homme de 28 ans vient d’être arrêté par la police municipale pour tapage nocturne. Alors que les policiers le forcent à monter dans un voiture pour le transférer à Bobigny, il ressent une violente douleur dans les fesses et hurle, puis se met à pleurer. Un policier lui dit : plus jamais tu parleras comme ça de la police municipale, tu te rappelleras de nous” (2)

A 4 heures du matin, il est amené en consultation chez un médecin qui constate une perforation de l’anus et lui prescrit 10 jours d’ITT. Son ADN est même retrouvé à l’extrémité de la matraque télescopique du policier. Pour sa défense, le policier explique que sa matraque a… « dérapé ».

Ici encore, la « justice » veille. Le policier vient d’être jugé… pour violences volontaires, mais pas pour viol. Le procureur requiert 6 mois avec sursis. Le jugement sera rendu le 20 février.

La police ne viole pas. Elle violente. Nuance

C’est le second scandale de cette affaire. Non contents d’avoir violé un homme, ce qui est prouvé par l’examen médical réalisé immédiatement après les faits, les policiers mentent comme des arracheurs de dents afin d’aboutir à une requalification des faits. Et ils y arrivent.

Le viol est réprimé par l’article 222-23 du code pénal. Il est défini comme « Tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu’il soit, commis sur la personne d’autrui par violence, contrainte, menace ou surprise. ».


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