@ Louve
Je suis sûr que même avec la baguette et le béret tu resteras belle comme un coeur.
@ Grandgil
Note cette phrase : "Moi qui vous écris de l’étranger, je peux vous le dire,
c’est en traversant les océans que je me suis sentie française. Et ça,
ils ne pourront pas nous l’enlever puisque c’est dans notre coeur et
dans les tréfonds de notre âme."
Et si c’était universel et qu’on ne faisait jamais que le vêtir avec ses pauvres vêtements à soi ?
Il y une très belle chanson italienne, poignante, qui parle de la douleur de l’exilé : ’lacrima napolitana’.
http://wikitesti.com/lacreme_napulitane/