@Robert Bibeau
« En passant le paysan que tu décris n’existera plus en tout cas en Amérique du nord... »
Il y aura toujours des petits producteurs, notamment bio, qui auront quelques vaches et des cultures variées, quitte à avoir une autre activité en parallèle.
Par rapport au prolétaire citadin, même pas capable de faire pousser des pommes de terre, dans un bac sur son balcon, son potentiel de survie dans ta période révolutionnaire, est multipliée par 100. Et par 200 s’il a quelques copains comme lui, dans son coin, avec des armes et suffisamment de munitions.