Hervé Hum Hervé Hum 2 mars 2017 22:42

le titre était alléchant, mais finalement, sans saveur.

Un article de plus insipide qui laisse à penser à la grenouille que, finalement, elle n’a pas d’autre choix que de se laisser cuire.

Juste une chose, personne ne demande du travail pour travailler !

Les gens demandent du travail pour faire bouillir sa marmite avec quelque chose à manger dedans.

Désolé de vous le dire, mais à vous lire, vous êtes une de ces grenouilles qui croit avoir sauté de la marmite, mais qui en fait, n’a fait que sauter dans une autre. Le fait qu’elle soit plus tiède ne change rien à l’affaire. En fait, sautant d’une marmite à une autre, vous continuez à chauffer et au bout d’un moment, ben, vous serez incapable de continuer à sauter et serez cuite pareil que si vous étiez resté dans la même.

Maintenant, si je vous dis comment éviter de sauter d’une marmite à l’autre, c’est à dire, d’en sortir, pas sûr que vous vous préfériez cela, m’est avis que vous préfèrerez rester dans la marmite encore tiède, espérant sans cesse que la prochaine sera encore tiède. A ma connaissance, la majorité des gens préfèrent se laisser cuire à feu doux ou comme vous, se donner l’illusion d’en être sorti, mais surtout pas d’en sortir.

M"enfin, comment peut on encore se prêter au jeu politique alors que ce sont tous des marionnettes uniquement là pour vous distraire et vous faire oublier que vous êtes toujours dans une marmite ?

Pour terminer, la liberté exige une grande discipline intérieure, la servitude un minimum et l’esclavage aucune, car la discipline est imposée de l’extérieur.

Autrement dit, tant que les gens ont besoin de la crainte du bâton du gendarme pour se discipliner, ben, ils resteront soit des serviteurs, soit des esclaves, mais refuseront toujours la liberté. Et c’est bien pour cela que tout est fait pour infantiliser les gens avec des jeux pour débiles profonds et dans le même temps, maintenir une société dans l’esprit de l’état d’urgence permanent.

L’état d’urgence permanent, cher Jeussey, n’est pas que celui de la guerre militaire, mais aussi celui de la guerre économique, qui rend nécessaire les chefs économiques, ces mêmes kleptocrates. Quand l’un faiblit (économique ou nationalisme), on active l’autre, les grenouilles sautant de l’une à l’autre marmite.

Autrement dit, si vous êtes de ceux qui militez pour sortir de l’UE pour revenir aux frontières nationales, ben, vous ne faites que prouver sauter d’une marmite pour une autre. Et ce sont les mêmes qui cuisinent et mangent les grenouilles. C’est à dire, que Soros et Trump, partagent le même repas, mais chacun fait bouillir une marmite différente, l’important étant que les grenouilles ne s’échappent pas, mais passent d’une marmite à l’autre et continuent de cuirent !


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe